Haute trahison du ministère de la Santé : il est l'otage de l'industrie pharmaceutique. C'est dans ce contexte qu'Agnès Buzyn, ministre de la Santé du gouvernement d'Édouard Philippe, annonçait fin août 2017 que 11 vaccins infantiles deviendraient obligatoires dès le 1er janvier 2018, contre 3 auparavant, qui étaient ceux contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP).
Les huit autres concernaient la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l'hépatite B, la bactérie Haemophilus influenzae, le pneumocoque, le méningocoque C. La ministre précisait que « son objectif n'était pas de sanctionner » les récalcitrants, car il s'agissait pour elle « de rendre la confiance dans les vaccins », mais très manifestement, elle continuait de travailler efficacement pour les marchands de vaccins qui la payaient si bien...
Commentaire: Deux milliards ? Où sont passés les 69 autres milliards ? Ou plutôt : où sont placés, dans quels comptes bancaires et de qui ?