OF THE
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Blachier : D'en faire une question morale c'est idiot, c'est-à-dire que c'est pas « les gentils se font vacciner, les méchants ne se font pas vacciner », c'est soit le gouvernement prend ses responsabilités et rend la vaccination obligatoire, et à ce moment-là les gens suivront, soit il ne le fait pas et à ce moment-là on ne peut pas culpabiliser les gens qui ne vont pas se faire vacciner alors que ce n'est pas obligatoire...Le 26 avril 2021, sur RMC, Blachier expliquait son point de vue par rapport à la vaccination des enfants, que préconise l'inquiétante Marie-Paule Kieny :
Praud : Je vais vous poser une question personnelle, vous avez des enfants ?
Blachier : J'ai trois enfants dont le plus âgé a huit ans.
Praud : Est-ce que vous faites vacciner vos enfants ?
Blachier : Non ! De toute façon y a même pas l'AMM, y a même pas l'autorisation de vaccination pour les enfants, donc c'est pareil, faut pas ramener le sujet de la vaccination des enfants en ce moment puisque de toute façon, y a pas l'AMM.
« Tant qu'on n'a pas vacciné tous les adultes, on ne va pas vacciner tous les enfants. Ce qu'il faut, c'est vacciner 100 % de la population vulnérable. »
« J'en veux à tous les médecins du NHS qui ont été stupides au point de croire tout ce qu'on leur a dit, qui n'ont pas traité leurs patients, qui ne leur ont pas permis de se voir, qui ont prétendu que les masques les protégeaient, qui ont prétendu que le test PCR fonctionnait, qui les ont vaccinés alors que la plupart d'entre eux n'en avaient pas besoin. »
Le système immunitaire humain a été et est exposé aux coronavirus émergeants Sras-CoV-1, Mers-CoV (ils ont épargné la population française) et à quatre coronavirus endémiques faiblement pathogènes : HCoV-OC43, HKU1, NL63 et 229E. L'objectif de la thérapie génique de Pfizer est de nous « vacciner » contre le petit nouveau « Sras-CoV-2 » en nous injectant une partie de son ARN, un ARN messager codant pour sa protéine de pointe (Spike).
- « Je ne sais pas quoi qui mettent dans la seringue, mais il faut l'faire, ils l'ont dit dans le poste et à la télé »
- « J'l'ai fait "Pfizer" un nom, tu le dis et t'envoies plein de postillons... tu contamines 20 personnes... »
- « Disent aussi qui faut vacciner les p'tiots, même si sont pas malades... pour me protéger moi... Sinon j'vais m'retrouver à l'hosto avec des tuyaux dans l'nez... Comme y montrent à la télé... »
- « Comprends pas... Suis vaccinée... Y protège pas leur vaccin ? »
- « Suis pas bien... voir mon toubib et mon notaire... »
« Les autorités sanitaires autorisent l'administration de vaccins d'une manière qui menace la santé publique, et plus particulièrement lorsque les preuves scientifiques sont ignorées. La situation actuelle, extrêmement critique, m'oblige à lancer cet appel d'urgence. L'ampleur sans précédent de l'intervention humaine dans la pandémie de Covid-19 risque maintenant d'aboutir à une catastrophe mondiale sans équivalent, et cet appel ne peut être entendu assez fort et assez fermement. » Vaccination Covid-19 - Dernier avertissement par le dr Vanden Bossche = danger
Commentaire:
Comme l'écrit notre collègue Luke Baier dans son article pour SOTT, Éthique et valeurs fondamentales en période de Corona :
« Prenons l'exemple de la constitution allemande. C'est important, car notre constitution, appelée Loi fondamentale, a été rédigée directement après l'expérience nazie. Ses auteurs se sont donné beaucoup de mal pour rendre la ré-émergence d'un tyran en puissance aussi difficile que possible. En outre, ils ont utilisé des concepts modernes pour entériner certaines de nos valeurs les plus profondes, contrairement aux anciennes constitutions, qui ne prenaient parfois pas la peine d'énoncer ces choses. La raison en est peut-être que les gens de l'époque ne pouvaient pas imaginer que les tyrannies fussent justifiées par un droit absolu à la sécurité, car ils considéraient comme acquis des concepts tels que la nature divine des êtres humains, et même l'immortalité de l'âme. Dans la mesure où les dirigeants montraient des tendances tyranniques, ils utilisaient différentes justifications, tels que des arguments religieux et moralisants. Les Allemands après Hitler, d'autre part, savaient exactement à quel point le prétexte de « sauver le peuple allemand du mal » peut être dangereux, et comment il peut être utilisé abusivement pour nous mettre en cage tels des animaux.
Par conséquent, le premier article de notre constitution n'est pas le « droit à la vie » ou quelque chose comme ça, mais ceci : C'est le premier article, et les termes employés sont sans appel : « intangible ». En outre, d'un point de vue légal, cet article est virtuellement sans limites ! Dans la loi, il l'emporte sur tout, sans exception. Il est également immuable - même le Parlement ne pourrait le modifier par une loi votée à l'unanimité. Il est valable « pour toujours » (article 79). C'est le résultat de l'expérience de la République de Weimar, mais cela découle aussi directement du contexte philosophique qui reconnaît que la valeur intrinsèque d'un être humain est plus importante que la vie biologique elle-même (qui appartient au monde des apparences de Kant) .
Examinons maintenant l'article 2 de la constitution allemande : Notez que le paragraphe (1) met l'accent, une fois de plus, sur la liberté. Plus précisément, il s'agit du « libre épanouissement de la personnalité », ce qui renvoie à l'idée kantienne selon laquelle notre valeur intrinsèque réside dans notre autonomie morale. C'est notre dignité. Tout l'article est placé sous la bannière des « libertés individuelles ». Et ce n'est qu'ensuite, dans le paragraphe 2, qu'apparaît le « droit à la vie », qui, soit dit en passant, est avant tout un droit contre l'État, et aussi une obligation de l'État de protéger ce droit contre des tiers (c'est-à-dire la persécution des criminels). Mais parce que les auteurs savaient que le « droit à la vie » peut être utilisé abusivement pour imposer toutes sortes de lois tyranniques, ils insistent à nouveau, dans le même souffle, sur la liberté : « La liberté de la personne est inviolable ». Des hommes sages ! Bien sûr, il peut - et il doit - y avoir des limites légales, mais je pense que l'esprit de cette loi est très claire.
Tout cela signifie, bien sûr, que le « droit à la vie » ne peut en aucun cas être considéré comme absolu. « Chaque vie compte ! » n'est pas un argument valable selon notre constitution. Non, dans la loi allemande, la dignité de chaque être humain compte. Un « morceau de viande administré » n'a aucune dignité et donc aucun droit, pas même le droit de vivre. Donc sans dignité, aucun droit. En clair, l'événement de la mort n'est pas et ne pourra jamais être l'objectif le plus important de l'État. »