OF THE
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« Ça ne descendra pas tant qu'on n'aura pas vacciné 80 à 90 % des gens qui vont en réanimation. »Il élimine ainsi la réalité de tous les autres paramètres qui peuvent entraîner une évolution du Covid-19. Évidemment, il en rajoute en avançant la menace d'une 3e vague, évidente si on lève les interdictions des restaurants !
« Le nombre de cas graves de Covid-19 — un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo — est trop faible pour que l'on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves.Donc, en gros, ils ne savent pas grand chose et les essais cliniques menés par Pfizer qui ont conduit aux approbations de la FDA et à des milliards de ventes ne permettent en rien de déterminer :
D'autres questions se posent, notamment celle de savoir si des problèmes inattendus d'innocuité peuvent survenir lorsque le nombre de personnes vaccinées atteint des millions, voire des milliards.
On ignore également si les effets secondaires seront plus nombreux avec un suivi plus long [dans le temps - NdT], combien de temps le vaccin reste efficace, s'il limitera la transmission et comment il fonctionnera chez les enfants, les femmes enceintes et les patients immunodéprimés. »
« Parce que le domaine de la théorie est souvent difficilement conciliable avec celui de la réalité, puissent ces quelques pages les réconcilier. Nous avons gardé tout le texte initial de Libération et réalisé le checking en rouge, afin que chacun puisse juger par lui-même des deux facettes d'une même réalité. »Le debunkage de l'AFP par FranceSoir
« La condamnation unanime de la presse envers ce documentaire fut telle, qu'il est apparu intéressant de se pencher sur la manière avec laquelle les différents services de vérification des grands médias français ont choisi d'argumenter pour remettre en cause les informations présentes dans ce film.La vidéo
Il est toujours fascinant de constater le pouvoir que ce type d'articles a sur l'opinion publique. Souvent considérés comme la source ultime d'information, parce qu'en bout de chaîne et donnés par des organes de presse réputés, il semble très difficile, pour ne pas dire impossible, de les contredire. Pourtant, force est de constater, démonstration à l'appui, qu'ils ne sont pas eux-mêmes exempts de tout reproche. »
« C'en est trop, je viens d'envoyer des recommandés. Je rends mon cabinet. J'arrête mes activités. »Le docteur Patrick Bellier nous a finalement consenti cette réaction, après l'annonce de son interdiction d'exercer pour 5 mois. Le médecin pneumologue, installé à Sainte-Foy-lès-Lyon, a été sanctionné par l'Agence Régionale de Santé pour son opposition affichée au port du masque.
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