Covid


Health

En 2009, Pfizer a été condamné à une amende de 2,3 milliards de dollars pour vente frauduleuse de médicaments

Il y a quelques jours nous rappelions qu'en 2007, le groupe pharmaceutique américain Pfizer avait effectué au Nigeria des essais illégaux de médicaments qui ont tué ou handicapé des enfants. Les pratiques frauduleuses de ce groupe pharmaceutique sans éthique ne se sont cependant pas arrêtées là.
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En 2009, Pfizer a été condamné par la justice américaine à une amende de 2,3 milliards de dollars pour vente frauduleuse de médicaments. La question que cela pose est « peut-on faire confiance au vaccin anti-Covid-19 d'une entreprise aux pratiques si malhonnêtes et criminelles ? » Ci-dessous, la traduction du début d'un article de l'époque de Business Insider qui rapporte ces faits :

Snakes in Suits

Que penser de la menace voilée de Macron sur Brut ?

En réponse à une question du journaliste de Brut sur les élections présidentielles de 2022, Macron a répondu : « Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures, parce que les circonstances l'exigeront et qui rendront impossible le fait que je puisse être candidat. » Une déclaration sibylline et quelque peu menaçante qui n'a évidemment pas du tout intéressé les médias officiels mais qui a fait couler beaucoup d'encre sur les médias sociaux et dans la dissidence, comme j'appelle tout ce qui met en furie l'Establishment.
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© AFP
Vrai ou fake

Je ne pensais pas que Sud radio faisait partie de la dissidence, jusqu'à ce que ce media soit épinglé par l'émission Vrai ou fake de France info, la TV de Macron. Cette émission s'est donné pour mission de ramener vers le droit chemin de la Pensée unique, les brebis égarées dans le « complotisme » (en clair, qui doutent des versions officielles). Ces fake journalistes, mais vrais propagandistes, vont, dans leur zèle, jusqu'à poser de malheureux lycéens-potiches sur le plateau pour les endoctriner en public et servir d'exemples à tous les jeunes qui seraient tentés d'écouter les sirènes de la déviance. Un spectacle écœurant !

Donc, le 10 décembre, les petits soldats du ministère de la Vérité de France-info ont lancé l'anathème sur tous ceux qui osent exprimer une opinion différente de la version du gouvernement sur l'épidémie de Covid et sur tous ceux qui osent leur donner la parole comme Sud radio et André Berkoff qu'ils ont accusé de voyager « avec allégresse dans ce monde de désinformation ».

Plus aveugles que le clergé catholique sur la disparition de la foi, ces fanatiques de la Pensée officielle ne comprennent pas pourquoi, malgré tous leurs efforts, « la galaxie fake-news est en expansion ». Qui sait quelle inquisition ils nous préparent pour en venir à bout...

Syringe

SOTT Focus: Alain Fischer — Mais qui est donc « Monsieur vaccin » ?

Alain Fischer est depuis 2011 membre titulaire de l'Académie nationale de médecine. Il a également été récompensé du Prix Sanofi/Pasteur en 2013 — nous y reviendrons plus loin dans le cadre de ses éventuels conflits d'intérêts. Titulaire de la chaire de médecine expérimentale au Collège de France depuis 2014, ses travaux « considérables sur la thérapie génique » lui ont valu en 2015 d'être lauréat de la plus prestigieuse récompense scientifique nippone, le Japan Prize.
Alain Fischer
© Inconnu
En 2016, Alain Fischer a été chargé par l'ex-ministre de la Santé Marisol Touraine de mener une concertation citoyenne sur la vaccination. À l'issue de cette concertation, les conclusions préconisaient de rendre gratuits et « obligatoires » onze vaccins pour les enfants de moins de deux ans, d'abord de façon temporaire pour restaurer la confiance des Français dans les vaccins. Une mesure qui a finalement été mise en œuvre par Agnès Buzyn au début du quinquennat d'Emmanuel Macron. Le 1er janvier 2018, le nombre de vaccins obligatoires pour les jeunes enfants est passé de trois — diphtérie, tétanos, poliomyélite — à onze.

Il a aussi été de 2007-2016 (deux mandats), directeur de l'Institut des maladies génétiques Imagine, qui fédère les chercheurs de 21 laboratoires, avec pas moins de 1 000 médecins, chercheurs et ingénieurs rassemblés autour d'une même cause, et qui compte 544 études cliniques en cours. Avec une surface de 19 000 mètres carrés, l'Institut situé sur le campus de l'Hôpital Necker s'apparente en bref à un super laboratoire expérimental.

Snakes in Suits

Un médecin sans patient atteint de « despotisme » et en conflits d'intérêt flagrants

Actuellement, des médecins sans patients, voire des scientifiques non médecins, se trouvent très souvent placés au-devant de la scène et inspirent voire dictent aux dirigeants officiels les décisions à prendre. Mes réflexions bondissent ce jour à la vision d'une courte vidéo où un épidémiologiste très sûr de lui explique, quitte à se répéter tant ses arguments sont massues selon son entendement, qu'il est indispensable de vacciner tous les aînés de plus de 65 ans afin d'éviter une prolongation nécessaire du confinement, dans le but d'éviter l'engorgement des services de réanimation à cause d'eux, autrement dit non pas d'abord avec l'intention de protéger toutes ces personnes d'une maladie importante.
Martin Blachier
Pour lui, une évidence qu'il affirme très posément est « que la date du 20 janvier pour une sortie du confinement est impossible. Tout le monde le sait. » Son assurance inclut donc « tout le monde ». Il décrète encore : « On est sur un plateau, on ne peut pas se le permettre. » Avec ce « on » nous vivons dans l'impersonnalité, ce médecin se donne le pouvoir de parler au nom de toute une population qui semblerait homogène.

La différence avec un médecin partageant le vécu réel des êtres humains et cet épidémiologiste est très bien perceptible dans cette vidéo.

Il affirme encore comme s'il s'agissait d'une évidence :
« Ça ne descendra pas tant qu'on n'aura pas vacciné 80 à 90 % des gens qui vont en réanimation. »
Il élimine ainsi la réalité de tous les autres paramètres qui peuvent entraîner une évolution du Covid-19. Évidemment, il en rajoute en avançant la menace d'une 3e vague, évidente si on lève les interdictions des restaurants !

Doberman

Gestion de la pandémie COVID-19 : Inhibition transmarginale de l'humanité

Cet article est pour comprendre pourquoi nous en sommes là, bien que je donne également des solutions à la fin pour en sortir. Encore faut-il prendre conscience que nous sommes victimes d'inhibition transmarginale et qu'il est urgent pour sa survie, d'en sortir. Vous souvenez-vous d'Ivan Pavlov[1] ?
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© Stefano Fabbri
Médecin physiologiste russe, célèbre pour ses expériences sur les chiens. Il est surtout connu pour avoir étudié le concept de conditionnement et la production de salive par des chiens au seul son d'une cloche[2].

Il n'y a aucune raison pour qu'un son provoque une salivation.

La vue de la nourriture est le stimulus normal qui fait saliver un chien. La vue de la nourriture constitue le stimulus inconditionnel (SI). La salivation est la réponse inconditionnelle (RI).

Pavlov associa à la préparation de nourriture un stimulus neutre (SN) : le son d'une cloche. Après peu de temps, le chercheur réalisa que le chien salivait dès qu'il entendait le son (SN), même sans apporter au chien de nourriture.

Le stimulus neutre était devenu stimulus conditionnel (SC), et la salivation, réponse conditionnelle (RC).

Pavlov a varié les stimuli conditionnels.

Cela marchait à tous les coups.

Commentaire: Sur Neuro-Esclaves: Sur l'inhibition transmarginale : Et plus globalement :


Magnify

SOTT Focus: « Vaccin » anti-Covid — Que disent les résultats publiés par Pfizer et quelles conclusions pouvons-nous en tirer ?

Les résultats complets de la phase deux sur trois des tests cliniques pour le « vaccin » Covid-19 de Pfizer-BioNTech ont été publiés jeudi dernier dans le New England Journal of Medicine. Un éditorial lié à l'article scientifique décrit les résultats des essais comme « suffisamment impressionnants pour tenir la route dans n'importe quelle analyse imaginable. C'est un triomphe. » Rentrons un peu dans le détail de ces résultats présentés comme triomphants.
Vaccins anti-Covid Pfizer
© Inconnu
Selon le même éditorial publié dans le New England Journal of medicine qui annonce un « triomphe », voici ce que les auteurs de l'étude, dans un euphémisme flagrant, écrivent par ailleurs :
« Le nombre de cas graves de Covid-19 — un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo — est trop faible pour que l'on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves.

D'autres questions se posent, notamment celle de savoir si des problèmes inattendus d'innocuité peuvent survenir lorsque le nombre de personnes vaccinées atteint des millions, voire des milliards.

On ignore également si les effets secondaires seront plus nombreux avec un suivi plus long [dans le temps - NdT], combien de temps le vaccin reste efficace, s'il limitera la transmission et comment il fonctionnera chez les enfants, les femmes enceintes et les patients immunodéprimés. »
Donc, en gros, ils ne savent pas grand chose et les essais cliniques menés par Pfizer qui ont conduit aux approbations de la FDA et à des milliards de ventes ne permettent en rien de déterminer :
  • Si les cas graves sont plus graves ou non chez les personnes vaccinées ;
  • Quel sera l'ampleur des effets secondaires une fois le vaccin administré à des millions de personnes ;
  • Quels seront les effets secondaires à long terme ;
  • Quelle est la durée de son efficacité.

Syringe

« Vaccins » anti-Covid — Les chants des sirènes dans un océan d'illusions !

Je m'étais promis de me taire mais à la suite de la proclamation du programme français de vaccination anti-COVID, il est difficile de rester muet.
Illusions
© Inconnu
Soyons clairs : je n'ai rien contre ce programme !

Les gouvernants ici et ailleurs sont face au mur de la pandémie et sous leurs pas ils voient le précipice de l'effondrement économique.

Vous préférez quoi ?

Par définition, les gouvernants se doivent d'agir pour rassurer des peuples qui tergiversent entre profonde tristesse et sombre hostilité sans bien savoir encore sur qui ou quoi déverser cette hostilité !

Une politique vaccinale hyperactive permet de donner l'illusion [1re illusion] qu'on tient fermement la barre du navire !

Mais ils ont conscience [2e illusion] des dangers qu'ils courent en s'engageant dans cette voie dont ils espèrent connaître les périls.

Light Saber

« Hold-Up » — Les producteurs contre attaquent

Après la réception médiatique du film Hold-Up, le réalisateur Pierre Barnérias et le co-producteur Christophe Cossé contre attaquent.
Pierre Barnérias & Christophe Cossé
© YouTube
Extraits

Le debunkage de Libération et CheckNews
« Parce que le domaine de la théorie est souvent difficilement conciliable avec celui de la réalité, puissent ces quelques pages les réconcilier. Nous avons gardé tout le texte initial de Libération et réalisé le checking en rouge, afin que chacun puisse juger par lui-même des deux facettes d'une même réalité. »
Le debunkage de l'AFP par FranceSoir
« La condamnation unanime de la presse envers ce documentaire fut telle, qu'il est apparu intéressant de se pencher sur la manière avec laquelle les différents services de vérification des grands médias français ont choisi d'argumenter pour remettre en cause les informations présentes dans ce film.

Il est toujours fascinant de constater le pouvoir que ce type d'articles a sur l'opinion publique. Souvent considérés comme la source ultime d'information, parce qu'en bout de chaîne et donnés par des organes de presse réputés, il semble très difficile, pour ne pas dire impossible, de les contredire. Pourtant, force est de constater, démonstration à l'appui, qu'ils ne sont pas eux-mêmes exempts de tout reproche. »
La vidéo

Che Guevara

Un médecin qui dérange : Après sa suspension pour cinq mois, le pneumologue Patrick Bellier rend son cabinet et en voici les raisons

« Je viens d'être interdit d'exercer parce que je refuse de mettre un masque ». Le docteur Patrick Bellier, pneumologue de Sainte-Foy-lès-Lyon, est suspendu depuis le 8 décembre 2020 et pour une durée de 5 mois. Après cette sanction de l'Agence Régionale de Santé, le médecin « arrête tout ».
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Le pneumologue Patrick Bellier
« C'en est trop, je viens d'envoyer des recommandés. Je rends mon cabinet. J'arrête mes activités. »
Le docteur Patrick Bellier nous a finalement consenti cette réaction, après l'annonce de son interdiction d'exercer pour 5 mois. Le médecin pneumologue, installé à Sainte-Foy-lès-Lyon, a été sanctionné par l'Agence Régionale de Santé pour son opposition affichée au port du masque.

Commentaire: Les bons médecins, ceux qui suivent les règles d'Hippocrate, qui ont une tête sur leur épaule, qui n'ont pas peur de dire la vérité, qui osent affronter le non-sens, ces médecins sont mis au pilori. Des machines, des robots, l'Intelligence Artificielle vont remplacer tous les bons médecins, ceux qui aidaient a la guérison et qui étaient à l'écoute du patient. La tyrannie montre ses crocs. Nous n'avons rien vu encore.

Lire aussi :


Cult

SOTT Focus: Coronavirus : Une nouvelle Inquisition

Installé depuis neuf mois, « l'état d'urgence sanitaire » a atteint le plus intime des individus. Afin de les conformer à des injonctions mortifères, il exhibe le spectacle d'un sacrifice permanent des populations. Celui-ci relève d'un théâtre gestuel, tel celui d'Antonin Artaud[1] qui fait appel à une forme de purgation impactant le Réel des êtres humains.
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La « guerre contre le coronavirus » n'est pas une lutte contre la maladie et ne repose pas non plus sur sa prévention. Si la « pandémie » se limite à l'impact d'une grippe saisonnière, on constate, suite aux mesures prises, une dégradation globale de la santé des individus, confirmant ainsi que cette hostilité est bien une guerre contre les populations.

Dans son dernier discours, le président Macron en précise les dernières modalités, en énonçant la possibilité d'organiser « l'isolement des personnes contaminées de manière plus contraignante,[2]» ce qui pourrait signifier, selon le sénateur Alain Houpert, la création de camps d'internement.

Bien que son cadre d'application ne soit pas précisé, le principe de précaution présente une primauté sur toute autre politique destinée à « gérer des risques incertains[3] ». Dans le cas du coronavirus, il devient un « outil de gestion virtuel de risques virtuels[4]». La « pratique scientifique » est alors réduite au principe moral de responsabilité. Ce dernier se résume à une monstration de la participation des populations à des mesures qui les asservissent. Les mesures de précaution relèvent alors d'une théologie de l'obscène, d'un faire-voir amalgamant responsabilité et culpabilité. Elles s'inscrivent dans une nouvelle religion basée sur le sacrifice.