Des records de chutes de neige précoces, un froid exceptionnel, des grêlons d'une taille énorme, des incendies de forêt dévastateurs, des inondations mortelles, des sécheresses, de puissantes éruptions volcaniques, des tremblements de terre, des boules de feu météoriques incroyables... et sans citer tous les événements, ce mois d'octobre les a tous réunis.
© Sott.net
Dire que ce mois-ci fut le plus extrême de 2020, et même des années précédentes, ne serait pas exagéré. Nous conseillons à chacun de prêter attention à ces événements et de se préparer en conséquence.
Ce fut le mois d'octobre le plus froid jamais enregistré pour les États-Unis, avec
de nombreux records de chutes de neige précoces battus dans le monde entier. Elles ont recouvert les États américains depuis le Montana jusqu'au Nouveau-Mexique, et certaines régions de l'Ouest et du Midwest des États-Unis ont pulvérisé des records de froid.
Lyman dans le Wyoming a battu tous les records avec -35° C ; Potomac dans le Montana a atteint -33,9° C ; et Boise dans l'Idaho a enregistré -13° C, battant ainsi le vieux record de -8° C établi en 1878... et nous n'en sommes qu'au deuxième mois de l'automne.
Le passage d'une puissante tempête verglaçante a engendré un véritable « carnage pour les arbres » à Oklahoma City. La végétation a été détruite et les lignes électriques se sont effondrées, privant d'électricité jusqu'à 300 000 personnes.
La Colombie-Britannique et le Canada ont été en proie à des chutes de neige telles qu'elles ont battu un record vieux de 120 ans, tandis que 80 % de la Russie s'est retrouvée à des degrés divers nappée de blanc.
Sortez vos lainages d'hiver, car si ces tendances se poursuivent, cet hiver pourrait bien être spectaculaire !
Curieusement, et peut-être pour la première fois dans les chroniques historiques, l'océan arctique n'avait pas commencé à geler comme il le fait habituellement en octobre et la saison glaciaire du Groenland s'est arrêtée un mois plus tôt. Pour autant, cette situation ne relève pas d'un « réchauffement climatique », mais plutôt de
la modification des courants océaniques et de l'augmentation de l'activité volcanique, deux symptômes du minimum solaire en cours.
La presse institutionnelle tente de focaliser l'attention sur certains « points chauds » du globe ou de normaliser ce qui semble être le début d'une mini ère glaciaire, tandis que les « mondialistes » planifient une « réinitialisation » économique, politique et sociale, sous prétexte de lutter contre le Covid.
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