Le « Marathon Monday » [Marathon du lundi - NDT] ne sera jamais plus jamais le même pour les Bostoniens. Le 117e marathon de Boston a pris fin brutalement lorsque deux bombes ont explosé en succession rapide à 14 h 50 heure de la côte Est américaine, à proximité de la ligne d'arrivée sur Boylston Street dans le centre de Boston. Au moment où nous publions, trois personnes ont été confirmées mortes, dix-sept sont gravement blessées et 176 autres ont été traitées pour des blessures. Les bombes - espacées d'environ cinq-cents mètres et de dix secondes d'intervalle - ont explosé sur le même côté de la rue, où de nombreux spectateurs s'étaient rassemblés pour acclamer les coureurs sur la ligne d'arrivée.
Des membres qui volent et des rues inondées de sang causés par ce qui était effectivement des bombes antipersonnel conçues pour maximiser les traumatismes sont des faits quotidiens dans les pays occupés par l'armée étasunienne, mais ces scènes macabres ne sont généralement pas visibles dans les rues de la « patrie ». Jusqu'à présent.
Alors que le choc initial s'estompe pour faire place à un récit officiel qui exercera sans aucun doute une pression sur la moindre influence politique de cet acte odieux, nous voulons souligner certaines incohérences que nous avons relevées jusqu'à présent.
Un spectateur du marathon, Fred Milgram, parlant à la radio irlandaise News Talk, a dit qu'il conversait avec le coureur du marathon de Boston, Tim Hare, qui a vu une poubelle exploser. Milgram a déclaré que l'autre bombe était dans le magasin de Marathon Sports près de la ligne d'arrivée. Cela contredit les « sources anonymes proches de l'enquête » (vous souvenez-vous d'eux ?) qui affirment que les explosifs étaient contenus dans des « autocuiseurs de six litres et cachés dans des sacs polochons noirs » laissés sur le trottoir. Milgram a également déclaré que le marathonien Tim Hare avait affirmé qu'il y avait un jeune homme qui avait erré alentour, mettant les gens en garde pendant des heures que « quelque chose allait se passer ».
Un autre coureur du marathon de Boston, Mike Heiliger, a déclaré au journal Squamish Chief qu'une femme portant plusieurs sacs avait raconté aux coureurs allant chercher leurs colis d'avant course samedi (13 avril) dans le centre de Boston, qu'ils allaient mourir s'ils participaient à l'événement.
« J'étais dans le centre-ville samedi et vous savez, vous voyez ces gens dans la rue et vous pensez que c'est juste quelques cinglés », a-t-il déclaré au Chef depuis son hôtel à Boston lundi. « C'était un peu effrayant parce que vous pouviez identifier qui sont les coureurs et je l'ai entendue dire à ce coureur à deux mètres de moi que, « Si tu cours demain, tu vas mourir ».Mais les étranges synchronicités ne s'arrêtent pas là. Dans un article du 12 avril, Firehouse.com rapporte que l'EMS [pour Emergency Medical Services - Services d'urgence médicale - NDT] de Boston déploierait un nouveau dispositif léger et mobile, et immédiatement disponible, pour la première fois au marathon de Boston du 15 avril. Le dispositif est « conçu pour être utilisé dans des situations faisant de nombreuses victimes et donne au personnel des urgences la capacité de le transporter au milieu des foules et d'évaluer un patient dès son arrivée, décrivant son état en temps réel, et transmettant les données aux unités de transport avant leur arrivée aux urgences, et autres caractéristiques. »
« Ne vous inquiétez pas, c'est juste un exercice d'entraînement »
Comme nous l'avons vu maintes et maintes fois, les « exercices » coïncidant avec les « attaques terroristes » sont un thème constant dans les grandes crises qui ont été utilisées pour justifier la « guerre contre le terrorisme ». Du 11-Septembre aux attentats de Londres, aux exercices de tir actifs dans les écoles près de Sandy Hook en décembre dernier, les exercices menés par les services d'urgence dont le commutateur est passé de « l'exercice passif » au mode « actif en temps réel », se sont avérés être des signes révélateurs qui laissent d'énormes points d'interrogation sur les récits officiels des événements.
L'entraîneur universitaire de Mobile's cross-country, Ali Stevenson, qui était près de la ligne d'arrivée du marathon lorsque les explosions se sont déclenchées, a déclaré qu'il pensait que c'était bizarre qu'il y ait eu des chiens renifleurs de bombes au départ et à l'arrivée, aussi bien que des observateurs d'application de la loi sur les toits des immeubles.
« Ils n'arrêtaient pas de faire des annonces aux participants : ‟ Ne vous inquiétez pas, c'est juste un exercice d'entraînement ˮ » a-t-il déclaré à CBS TV Local 15 News.
« Eh bien évidemment, je ne crois pas que c'était juste un exercice d'entraînement », a déclaré Stevenson. « Il semblait y avoir une sorte de menace, mais ils nous répétaient que c'était juste un exercice... Je pense qu'ils ont dû avoir un appel donnant des informations à propos d'une sorte de danger ou de suspicion » Stevenson a participé à plusieurs marathons dans de grandes zones métropolitaines, mais il a déclaré qu'il n'avait jamais vu une telle présence policière accrue lors d'une course. »
C'est une possibilité : que la police locale ait été avertie d'une menace de sécurité le jour de la course, qu'elle ait passé au peigne fin la scène avant et pendant la course par mesure de précaution, et qu'elle ait annoncé aux participants que « c'est juste un exercice d'entraînement » pour éviter la panique et rassurer les gens. Mais les enquêteurs ont depuis catégoriquement affirmé qu'il n'y avait pas de renseignement ou d'avertissement avant l'attaque, ce qui suggère que l'exercice a vraiment été planifié à l'avance.
Comment SAVAIT-il cela ?!
En observant le flux des revendications trompeuses et fallacieuses diffusées par des « fonctionnaires de police » anonymes au lendemain du massacre de Sandy Hook - revendications que les vrais enquêteurs rétracteraient plus tard - nous avons émis l'hypothèse que les exercices synchronisés avec ces attaques offrent une couverture idéale pour s'assurer que les personnes travaillant pour les auteurs peuvent être placées sur les lieux, afin de veiller à ce que la « bonne information » atteigne la presse (et donc la nation) aux moments suivant une attaque. La plupart des participants à l'entraînement répondent innocemment à l'invitation ouverte pour du personnel d'urgence de tous les secteurs, et même des États voisins, à participer à « l'amélioration de la préparation aux urgences », etc. Tout ce qu'il faut, c'est un ou deux (voire plus ?) agents secrets pour se fondre dans l'intervention d'urgence avec le chaos qui s'ensuit, pourvu qu'ils aient la tenue appropriée, une carte d'identité indiquant l'appartenance de l'une ou l'autre des agences à lettres et une habilitation de sécurité, à peu près n'importe qui peut justifier leur présence sur la scène - si par la suite cet élément est remis en question - sur la base qu'ils étaient là pour prendre part à l'exercice.
Rappelez-vous le second homme armé portant un équipement de camouflage noir et capturé dans les bois à côté de l'école de Sandy Hook ? Il a été arrêté, placé en détention puis plus tard discrètement libéré avec l'explication qu'il était « un agent de réserve de l'équipe tactique de police d'une autre ville. »
Et vous rappelez-vous ce type du 11-Septembre ? Son nom est Mark Walsh. Mark a été tiré sur le côté par un journaliste de Fox News pour faire une déclaration immédiatement après que le deuxième avion se soit écrasé dans la tour sud du World Trade Center. Comment a-t-il pu décrire de façon détaillée et succincte un scénario que le National Institute for Standards and Technology (NIST) [que l'on pourrait traduire par : Institut national des normes et de la technologie - NDT] mettrait quatre ans à mettre au point ?
Le NIST avait tort bien sûr, mais c'est une tout autre histoire. Le fait est que c'est une pratique courante pour les opérations secrètes d'être placé sur la scène d'une attaque sous fausse bannière pour rapidement établir le récit officiel à destination des médias.
Assez sûrement, nous avons rencontré quelques exemples similaires à propos de l'explosion du Marathon de Boston. Cela a été rapporté dans le Daily Mail du Royaume-Uni dans l'heure qui a suivi l'explosion des bombes :
Une source qui parlait avec les autorités a déclaré à MailOnline qu'il y avait des cartouches à grenaille dans deux explosions, qui ont disséminé des quantités massives d'éclats sur les spectateurs et les coureurs, quoique la déclaration n'ait pas été confirmée par les autorités.Aujourd'hui, le 16 avril, les enquêteurs ont pu déterminer que les bombes ont été emballées avec des roulements à billes afin de maximiser l'étendue des blessures dévastatrices, mais comment quelqu'un aurait pu déterminer ce fait si peu de temps après les explosions ?
Voici un autre prétendant à la désinformation délibérée, tiré du même article :
La police a déclaré au Boston Globe qu'ils en sont encore à trouver « des dispositifs secondaires » et à presser ceux qui sont encore dans la zone d'en partir immédiatement.En fait, un rapport ultérieur « a confirmé » que sept autres bombes ont été retrouvées et qu'une « explosion contrôlée » a eu lieu à l'extérieur de la bibliothèque JFK autour de 16 h 30. Et pourtant, aujourd'hui, Reuters cite des responsables indiquant qu'aucun explosif additionnel n'a été trouvé dans la région, ne laissant que les deux explosions mortelles. Mais hier, la police de Boston a déclaré lors d'une conférence de presse deux heures après les explosions, qu'il y avait une troisième explosion, celle de la bibliothèque JFK de Boston. Jetant une plus grande confusion à tout cet embrouillamini, fut le précédent rapport d'un incendie à la bibliothèque « peut-être causée par un engin incendiaire », seulement dix minutes après que les deux bombes de la rue Boylston aient explosé.
Pas étonnant que Reuters décrive aujourd'hui la révision officielle de « plusieurs bombes secondaires » à seulement deux bombes comme « un développement qui pourrait compliquer l'affaire ! ». Il semblerait que « compliquer l'affaire », soit exactement ce que le flux de fausses informations est destiné à générer à la suite d'un événement traumatisant de masse.
Le « témoin oculaire » suivant - interviewé dans l'heure après l'explosion - semble également un peu trop confiant et bien informé sur la nature des bombes, à tel point que même le présentateur des nouvelles se sente obligé de dire que personne ne savait vraiment, à ce point, ce qui s'était passé.
Le Marathon de Boston 2013 était dédié à la mémoire des victimes du massacre de l'école élémentaire de Sandy Hook à Newtown, Connecticut, le 14 décembre 2012. Vingt-six secondes de silence ont été observées avant que la course ne commence. La course étant de 42,16 km de long, 1,6 km fut consacré à chacune des victimes. Les survivants et leurs familles regardaient depuis le stand des spectateurs dans la zone VIP de la ligne d'arrivée où la première bombe a explosé hier, applaudissant un groupe appelé « Newtown Strong » - des parents de Newtown prenant part à une collecte de fonds pour des organismes de bienfaisance locaux. Ci-dessous, vous voyez que la bannière marquant le dernier kilomètre comporte une dédicace à Newtown.
Alors que plusieurs personnes ont été interpellées, aucune accusation n'a été portée et aucun groupe n'en a revendiqué la responsabilité, pour l'instant. Il n'y a pas d'autiste, pas de reclus de vingt ans à blâmer. Ce que nous avons en lieu et place, c'est plutôt cette connexion puissamment symbolique - et un rappel de - l'atrocité de Sandy Hook. Le moment de cette attaque - The Patriots' Day, un jour férié commémorant l'anniversaire des premières batailles de la guerre d'Indépendance étasunienne, et traditionnellement observé le troisième lundi de chaque avril - est destiné à rappeler aux gens pourquoi ils ont besoin de leaders forts pour les protéger contre les actes « aléatoire » de terreur. Il y a aussi le fait qu'aujourd'hui, mardi 16 avril, est le jour de l'indépendance nationale israélienne.
Le dégoût est souvent la première réaction à la simple suggestion que seules les figures d'autorité bénéficient des attaques terroristes. Et pourtant, au milieu de leur traumatisme, ils demandent : « qui pourrait faire une telle chose ? » Alors que nous ne pouvons pas citer de noms, l'histoire nous apprend que la source se trouve toujours à l'intérieur « des réseaux ramifiés de conspirations pathologiques communes mal reliés à la structure sociale principale », tel que décrit par Lobaczewski dans Ponérologie politique.
Beaucoup d'Européens âgés doivent être familiarisés avec la « stratégie de la tension » en Europe durant la période de la « guerre froide ». La stratégie de la tension, employée par des agents des gouvernements étasunien et européen, était une tactique qui visait à diviser, manipuler et contrôler l'opinion publique en utilisant la peur, la propagande, la désinformation, la guerre psychologique, des agents provocateurs et des attentats terroristes sous fausse bannière.
La théorie a commencé avec des allégations selon lesquelles le gouvernement des États-Unis et la junte militaire grecque pour la période 1967-1974, a soutenu des groupes terroristes d'extrême droite en Italie et en Turquie où le communisme gagnait en popularité, pour semer la panique parmi la population qui en retour demanderait un gouvernement plus fort et plus autoritaire. Il n'y a aucune raison de supposer ou de croire que, aujourd'hui, les gouvernements sont moins intéressés à contrôler les gens par la peur et la terreur.
Cela rappelle le commentaire de B Fulford qui évoquait des actes terroristes de ce qu'il appelle la cabale nazie sabbatéenene : celle ci voit les rennes du pouvoir lui échapper, et, a l'image des nazis fuyant l'armée des liberateurs en 45, ils sèment ce qu'ils peuvent encore, de terreur.
On a craint que les missiles nord coréens ne frappent la semaine passée, ce sont des explosions sur le sol américain qui ont lieu finalement.
Je peux imaginer que les appareils de l'état sont loins d'être homogènes : des groupes s'y affrontent, une sorte de guerre des polices, avec le peuple comme victimes. Triste époque.