Notez la distribution aléatoire des impacts autour du globe. Mais notez également ce que la carte et le rapport joint de la NASA n'indiquent pas : la distribution année par année de ces occurrences d'impacts au cours de cette période de 20 ans. Cette omission leur permet de donner le sous-titre trompeur suivant à leur rapport :
Cela se produit tout le temps : de petits astéroïdes impactent l'atmosphère terrestreEn ne fournissant pas un découpage année par année des impacts, et en incluant leur titre plutôt banal, la NASA nous laisse à penser que ces évènements étaient plus ou moins distribués uniformément au cours de ces 20 années - soit en moyenne, 27 occurrences de météores reconnus en 2013 (556 évènements au total / 20 ans). Mais nous avons de sérieux doutes là-dessus.
Nous savons de la Société Américaine des Météores qu'il y a eu pas loin de 3500 évènements observés juste en 2013 - et seulement aux É.-U. Vérifiez les données par vous-même : parcourez la base de données des évènements de la SAM. Sélectionnez des évènements en 2013 avec aussi bien du « son » qu'une « fragmentation » rapportés. Notez combien des 184 occurrences É.-U. de météores de l'année dernière, qui étaient assez grandes pour être à la fois vues se désintégrant qu'entendues explosant, furent aperçues depuis de multiples états É.-U. À présent, retournez à la carte de météores dans le monde de la NASA de 1994 à 2013. En supposant que sa répartition aléatoire globale soit exacte, nous pouvons tenter un petit exercice d'extrapolation pour obtenir une image globalement significative des évènements météoriques en 2013.
La superficie des É.-U. est de 10 millions de km². La superficie de la Terre est 510 millions de km². En divisant 510 par 10, nous obtenons 51. Donc, 51 x 184 = 9384 occurrences météoriques en 2013 assez grosses pour générer des trainées de fragmentation qui étaient visibles depuis le sol, et produire des explosions atmosphériques assez puissantes pour être entendues depuis le sol. Il y a d'autres facteurs intervenant bien sûr : l'angle auquel un morceau de comète/météore pénètre l'atmosphère, sa vitesse à l'entrée, son interaction électrique avec différentes couches chargées de l'atmosphère, sa composition, etc. peuvent tous influencer la distance qu'il voyagera à travers l'atmosphère avant sa désintégration.
Néanmoins, je pense que nous pouvons tous acquiescer que les chiffres des dangers spatiaux de la NASA sont truqués de telle manière à donner l'impression que les impacts n'arrivent pas si souvent et, plus important encore, « ils se sont toujours produits aussi régulièrement qu'ils le sont aujourd'hui ».
La NASA nous assure que « trouver et caractériser les astéroïdes dangereux pour protéger notre planète hôte est une priorité fondamentale » pour l'agence de l'espace du gouvernement É.-U., et pourtant, elle ne donne aucune indication qu'elle est au courant - ou aimerait que le public en devienne conscient - de l'énorme augmentation des passages de météores durant cette période de temps. Comme a écrit Pierre Lescaudron dans Changements terrestres et la connexion cosmique de l'homme :
« Les données collectées par la Société Américaine des Météores indiquent que le nombre de météores confirmés dans notre atmosphère a augmenté de 700 % au cours de la période de 2005 à 2013. Plus de 2000 météores confirmés furent observés au-dessus des É.-U. en 2012, près de 3500 furent observés en 2013. Cela se chiffre à 64 % d'augmentation d'une année sur l'autre. »La NASA aura indubitablement accès à une plus vaste couverture des données que la SAM, qui a commencé seulement à rapporter après que l'augmentation des occurrences de météores ne fut en premier remarquée et traquée par SOTT.net en 2012. Néanmoins, l'agence continue à être à la hauteur de sa réputation (« Jamais Une Réponse Directe ») en échouant misérablement dans son rôle d'information du public sur la réalité de la menace des « roches de l'espace ».
La tendance de la NASA aux ruptures schizophréniques avec la réalité n'aurait pas pu être plus ironiquement illustrée que par le double évènement qui se déroula le 15 février 2013, lorsque les agences de l'espace, les « experts » et les médias de masse rassuraient le public que l'astéroïde 2012-DA14 était censé frôler sans danger notre planète. Il le fit, mais dans les heures suivantes, un autre morceau distinct de comète/astéroïde fendit inopinément l'atmosphère et explosa au-dessus de la ville russe de Tcheliabinsk.
Donc, la question est, si c'est vraiment une priorité fondamentale pour le gouvernement É.-U. de publier réellement les statistiques précises sur les Dangers à Proximité de la Terre, ou si c'est plus simplement basé sur la gestion de la perception par la « science contrefaite » ?
La NASA nous rassure en disant qu'elle travaille sur des technologies de déviation d'astéroïde, dont la plupart sont manifestement absurdes. Comment peuvent-ils dévier des objets s'ils ne peuvent même pas tous les voir arriver ? La seule véritable déviation visible sont les efforts pour distraire le public des météores à l'approche en minimisant la menace qu'ils posent et faisant paraître que nos « autorités » sont aptes à nous protéger.
Alors que la Station spatiale internationale doit effectuer, avec une régularité croissante, des manœuvres évasives pour esquiver les « déchets de l'espace », les passages cométaires sont faussement attribués à « d'anciens satellites » - généralement russes - et des tests de missiles MBI - généralement également russes. Il n'est pas difficile de voir comment dans le climat actuel de l'hystérie de la guerre froide 2TM, la menace - réelle ou feinte - d'une guerre mondiale ou régionale sert parfaitement en tant qu'écran de fumée pour maquiller la menace céleste bien réelle.
Comme a dit l'astronome britannique Victor Clube :
« Nous n'avons pas besoin de la menace céleste pour maquiller les intentions de guerre froide, nous avons plutôt besoin de la guerre froide pour maquiller les intentions célestes ! »Oh, évidemment, la NASA dit qu'elle encourage le grand public à « aider à participer à la chasse aux objets potentiellement dangereux à proximité de la Terre via le Tournoi du Grand Astéroïde », tout en minimisant constamment la menace en ignorant l'éléphant dans la salle à manger - l'augmentation choquante des passages météoriques. Comme nous avons dit, tout est dans la gestion de la perception, comme toute autre chose provenant des gouvernements occidentaux ces jours-ci : la superficialité sur la substance est la règle.
La « perception », par conséquent, est que les agences gouvernementales comme la NASA peuvent considérer ces « astéroïdes dangereux » et même les « rediriger » si nécessaire et ainsi, nous « protéger ». Nous pouvons même aider en participant au « Tournoi du Grand Astéroïde » ! C'est de la pure propagande.
Pourquoi nos élites psychopathiques maintiennent-elles cette illusion de contrôle, cette perception de « faites-nous confiance, tout ira bien » ? Eh bien, comme l'écrit Laura Knight-Jadczyk dans son livre, Les comètes et les cornes de Moïse :
[...] étant donné que l'histoire humaine semble se définir par une succession d'élites dirigeantes plus ou moins corrompues - et si nous devons supposer qu'une telle corruption (et son étendue à travers la société) est le mécanisme par lequel une civilisation attire une catastrophe cosmique - accuser et détrôner l'élite est une bonne solution. Cependant, le problème est que ce mécanisme sous-jacent n'est pas compris par les gens, ce qui signifie qu'ils ignorent que, s'ils veulent éviter une autre destruction, ils doivent à tout prix empêcher que n'importe quelle élite corrompue ne s'établisse à l'avenir.
Pour finir, le peuple et l'élite cherchent tous deux un paradigme qui déjoue les catastrophes cycliques, mais ils le font pour des raisons différentes. Les gens veulent se soulager de l'énorme stress d'une catastrophe majeure imprévisible mais certaine, tandis que l'élite veut rester au pouvoir. Le compromis qui remplit ces deux objectifs est l'illusion d'une élite capable de protéger le peuple de n'importe quel désastre. Cette illusion peut prendre diverses formes : rituels pour apaiser les dieux, révision de l'histoire affichant une évolution de l'humanité uniformitariste et sans incident, et des tonnes de propagande.
Ce mensonge fonctionne bien lors des périodes de calme entre deux catastrophes majeures. Toutefois, l'histoire montre que quand les famines, les séismes et les fléaux ont frappé et fait une multitude de victimes, quand les volcans entrent en éruption, que les comètes zèbrent le ciel ou que les tempêtes de météores et les anomalies climatiques s'accroissent, l'illusion s'effondre, la raison d'être de l'élite (c'est-à-dire protéger le peuple) s'écroule, que la cible a toujours été, et sera toujours, au final, les classes dirigeantes. Et elles le savent. Donc, quand des personnes comme Anaxagore, Socrate ou Critias mentionnent ces faits inconfortables, ils sont réduits au silence par le ridicule et la diffamation, voire la mort.
Les symptômes d'une activité cométaire accrue sont systématiquement dissimulés par les élites comme étant des phénomènes dus à l'homme. Les traînées de condensation des avions dues à des concentrations de poussières cométaires atmosphériques plus élevées sont décrites comme des « chemtrails » vaporisés par des agences gouvernementales, les explosions aériennes cométaires toujours plus fréquentes sont présentées comme des tests de missiles, les changements climatiques dus à une activité solaire diminuée provoquée par le compagnon du Soleil en approche et l'essaim cométaire qui l'accompagne sont qualifiés de « réchauffement planétaire anthropogénique ».
En attribuant la cause de ces événements d'origine cosmique aux hommes, l'élite maintient l'illusion qu'elle est aux commandes.
Commentaires des Lecteurs
SOTT ne prête pas attention aux évènements célestes depuis seulement 2 ans mais depuis les années 90.
De plus, il ne faut pas négliger l'impact sur la perception des gens du fait de la propagande sur ce phénomène. A force de dire que c'est banal, les gens le croient et, de ce fait, n'y prête pas vraiment attention. Ainsi, il y a sûrement des passages de comètes/astéroïdes minimisés ou non témoignés, voire même que les gens ne les ont pas identifié comme tels. Il suffit de voir le nombre de vidéo "d'OVNIs" qui sont en réalité des objets géocroiseurs. Un rapide survole de youtube illustre ce point.
Dans le lien proposé répertoriant les évènements de ce type, une augmentation franche est notée depuis 2010. Et il y a un "trou" dans les données de 2006 à 2009 ce qui n'est très cohérent. Ce qui rejoint ce que j'évoque au dessus, du moins en partie. Et même en admettant que les données disponible sont correctes, cette nette augmentation révèle un point inquiétant dans notre environnement spatial. Il n'est pas question de convaincre mais d'informer factuellement et de proposer des données qui laissent à réfléchir.
Enfin, il faut bien garder à l'esprit que beaucoup des données disponible ne sont qu'une partie de la véritable étendue de ces dernières. Comme l'article le souligne, la minimisation est une information en elle-même alors même que l'augmentation est énorme. La NASA étouffe toute objectivité des données en ne les communiquant pas dans leur globalité, ce qui n'est pas très scientifique... Le processus est le même concernant le réchauffement climatique.
Ma question : Je suis allé sur ce lien :
[Lien]
Je suppose que c'est celui dont vous parliez. Il y a effectivement une recrudescence importante de mesures du type dont vous parlez après 2010. Ma question est : qu'est-ce qui permet de dire que cette recrudescence de mesures correspond à une recrudescence factuelle ?
Il est évident que si on commence à observer un phénomène un jour, le nombre de mesures va faire un bond par rapport au moment où on ne l'observait pas. Autres biais possibles : les instruments deviennent plus performants, ou la méthode pour recueillir les témoignage deviennent plus performants, de sorte que tout ce qui n'était pas listé et répertorié avant une date le devient. Cette question est cruciale si vous voulez crédibiliser votre point.
Personnellement, je suis dans le regret de vous annoncer que parcourir youtube ne me suffit pas, scientifiquement parlant. Non seulement ce n'est pas une source fiable, du à la proportion hallucinante de faux, par ailleurs ce n'est pas une banque de données scientifiques. Le nombre de vidéo augmente essentiellement en fonction de l'usage que le public en fait. On ne peut en retirer aucune statistique utilisable, seulement s'y bâtir de fausses impressions.
Une autre question, pour préciser la première : d'où vient cette idée d'une recrudescence chez sott.net ? Le site dont on parle ne semble pas une source suffisante, donc soit on a fait ses propres statistiques (en éliminant tous les biais possibles), soit on se fait cette opinion autrement, mais comment ?
Sinon je suis d'accord avec vous sur la propagande d'une manière générale, mais sur le point ciblé dont nous parlons ici, pour dire que la NASA minimise, il faut pouvoir comparer avec autre chose d'au moins aussi solide, sinon on spécule sur la seule base de la malhonnêteté supposée de la NASA (chose que je veux bien croire, je ne suis pas aveugle sur leurs pratiques, mais il faut toujours pouvoir étayer sur autre chose que sur la rumeur quand on parle d'un fait précis). Or il me semble, mais j'ai peut-être mal vu, que cela est manquant.
Donc voilà, je vous remercie si vous pouvez m'éclairer sur ces points.
L'instrument de mesure dans le lien est : l'humain. Donc pas d'amélioration du détecteur, bien que. Là je reprend ce que je disais précédemment, l'influence de l'opinion publique y joue certainement.
Concernant youtube, il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain. Il y a aussi des données factuelles.
L'idée de recrudescence vient probablement des observations de plus en plus fréquentes et rapprochées. Au jour d'aujourd'hui, la fréquence est telle que même en ne cherchant pas à en observer, on en voit. C'est de la statistique tout simplement. Mais sur ce point encore, je ne parle pas au nom de SOTT et je laisse SOTT amener davantage d'arguments si nécessaire.
Le site n'est certes pas une source suffisante mais il faut bien commencer. Votre position pourrait sembler raisonnable si la confiance n'existait pas. Cependant, cette base de données a le mérite d'exister il nous reste encore la confiance. Ceci ajouté aux observations se faisant de plus en plus fréquemment sans intention de les témoigner, et on aboutit assez logiquement à l'hypothèse que la fréquence augmente bel et bien.
En espérant avoir apporter un peu de lumière sur le sujet et les questions.
Depuis le temps qu'on réfléchit, débat et recherche sur la citation de Clube, voilà qu'il nous re-ponde une guerre "FROIDE"... en live!
Qui sait.. p-t la 1 ère était aussi une sorte de "practice run" pour tester la capacité de diversion?
Ils ne sont qu'à un pas d'imputé aux Russes ou à l'Iran, le prochain impact de "caillou" sur terre...
heureusement pour les Russes le premier (mm si ce n'est pas vraiment le 1er) est tombé chez eux en 2013,
on peut tout imaginer si il était tombé a NY... ouf...
Je crois que l'aspect "Cyclique du cosmos" n'est plus à "prouver" sur ce site (en 4 langues, 5,6..) et son forum, il y à bien des lectures intéressantes sur la bande gauche de l'écran pour celui que ça intéresse vraiment..
Et vue l'activité volcaniques de ces derniers temps je ne peux que recommander de parcourir ces 2 papiers:
[Lien] [Lien]
L'homme se trompe généralement de bonne foi, ce n'est donc pas cela que je remets en cause, ni cette bonne foi qui m'intéresse en soi, elle est juste un critère de base nécessaire. C'est le manque de données pour avancer une hypothèse catastrophiste qui me gêne.
Une hypothèse extraordinaire demande des preuves extraordinaires. Et c'est quelqu'un qui pratique le chamanisme, auteur de fantasy et amateur d'ufologie qui vous le dit. Je ne suis pas fermé, loin de là, seulement je suis bien placé pour savoir, de part mon travail, que pour être convaincant, il faut être méthodique et rigoureux.
[Lien]
Je ne prends pas la défense de la NASA, je note seulement que la contre-argumentation n'est pas encore assez solide (pour moi). Or c'est une condition absolument requise pour convaincre. Des tas de biais peuvent pour le moment expliquer des observations plus fréquentes en apparence, et un plus grand nombre de vidéos postées sur ces sujets (par exemple la diffusion toujours plus importante des appareils de capture d'image, et l'utilisation de plus en plus étendue de supports comme youtube par les gens).
Il est long de répondre à toutes les questions que vous posez, en un minimum de phrases. La position de Sott dans ce domaine (et comme dans les autres), ne repose pas uniquement sur des faits actuels. Il y a toutes sortes de recherches et de lectures qui sont effectuées en amont depuis près de vingt ans.
Je ne saurais trop vous recommander de parcourir la série écrite par Laura Knight-Jadczyk, que vous pourrez trouver sur Sott. En parcourant les rubriques (en haut à gauche) vous découvrirez plusieurs catégories, dont celle-ci « Série comètes et catastrophes » :
[Lien]
Comme vous pourrez le constater à le lecture de ces articles, plusieurs auteurs ont fait l'objet d'une étude minutieuse quant au sujet céleste en question. Il existe également des ouvrages, qui, aujourd'hui, sont essentiels pour appréhender ce type de données. En voici quelques-uns :
En français :
Hiver cosmique, Dr Victor Clube et De Bill Napier, éditions Le jardin des Livres
Les comètes et les cornes de moïse, Laura Knight-Jadczyk, édition Pilule Rouge
Earth Changes and the Human Cosmic Connection, Pierre Lescaudron with Laura Knight-Jadczyk, édition Red Pill Press (bientôt disponible en français)
En anglais :
Cosmic Serpent, Victor Clube and Bill Napier
New Light on the Black Death, Michael Baillie
The Cycle of Cosmic Catastrophes, Richard Firestone, Allen West and Simon Warwick-Smith
The Apocalypse: Comets, Asteroids and Cyclical Catastrophes, Laura Knight-Jadczyk, édition Red Pill Press
Il ne s'agit pas de convaincre qui que ce soit, comme ce fut déjà précisé plus haut, mais bien de proposer des informations, qui permettent au lecteur d'avoir envie d'en apprendre et comprendre plus. Si le sujet vous intéresse, et nul doute qu'il soit passionnant par les temps qui courent, la lecture des supports en français devraient déjà vous donner une idée de ce qu'il se passe actuellement dans notre environnement solaire. Plusieurs articles additionnels sur le sujet se trouvent également dans la rubrique SOTT Focus :
[Lien]
Pour finir je vais tenter de répondre à une de vos questions :
« Autres biais possibles : les instruments deviennent plus performants, ou la méthode pour recueillir les témoignage deviennent plus performants, de sorte que tout ce qui n'était pas listé et répertorié avant une date le devient. Cette question est cruciale si vous voulez crédibiliser votre point. »
Les satellites des planètes de notre système solaire ont fortement augmenté ces dernières années. Cette information est disponible sur Sott et sur le Web. Il a été avancé par la Nasa que c'était justement parce que nous avions des systèmes de mesure plus performants que nous étions en mesure de détecter de plus en plus de satellites, autour de Saturne ou Jupiter, par exemple, mais pas que.
Le hic, c'est que l'on détecte AUJOURD'HUI des lunes plus grosses que celles détectées par les précédents systèmes de détection. Si les satellites nouvellement découverts étaient plus petits que les précédents, alors, oui, cette information de la Nasa serait logique. Mais comme elle ne l'est pas, la Nasa perd en crédibilité, puisqu'elle ment.
Et donc, qu'est-ce qui engendre cette augmentation des satellites autour des grandes planètes de notre système solaire ? Qu'est-ce qui engendre le réchauffement planétaire sur d'autres planètes, comme constaté scientifiquement ?
Pourquoi la Nasa ment ?
Comme a dit l'astronome britannique Victor Clube :
« Nous n'avons pas besoin de la menace céleste pour maquiller les intentions de guerre froide, nous avons plutôt besoin de la guerre froide pour maquiller les intentions célestes ! »
Avouez que cette phrase d'actualité alors qu'elle fut écrite, l'est peut-être encore plus aujourd'hui !
Les informations relatives à l'augmentation des satellites sont disponibles sur Sott et sur le Web également.
Aussi et surtout dans le livre précédemment cité : Earth Changes and the Human Cosmic Connection, Pierre Lescaudron with Laura Knight-Jadczyk, édition Red Pill Press.
Ce livre est une mine d'informations, facilement accessible et que je ne saurais trop recommander à qui cherche à en découvrir plus sur le sujet.
Je note quand même une chose importante en passant. La taille d'un objet céleste n'est pas le seul critère qui rend sa détection possible. Il y a aussi l'albédo, la durée de sa révolution autour de sa planète hôte, la synchronisation éventuelle de son orbite avec la révolution de la planète par rapport à nous, mais aussi, son éloignement, la face qu'il expose au soleil au moment où il serait dans notre champ de vision, et ce sans mentionner que la planète peut aussi tout simplement éclipser ses satellites, soit en faisant barrage entre le satellite et nous, soit en faisant barrage entre le satellite et le soleil. L'éventuelle excentricité de l'axe, ou un fort éloignement, peuvent aussi compliquer la détection.
A cela il faut ajouter le fait que la révolution des planètes externes du système soleil est beaucoup plus longue que la nôtre, ce qui fait qu'Uranus et Neptune sont très éloignées de nous pendant des décennies, voire parfois des siècles (Neptune tourne autour du soleil en 164 ans et n'a été découverte que dans les années 1840, pour n'être observée qu'en 1846. Sa magnitude est si faible que l'existence de ses anneaux n'a été vérifiée que vers 1980, un siècle et demi plus tard.
Donc, tout cela prend du temps, et il est inévitable que des satellites de grande taille puissent rester inconnus, tandis que de plus petits se montrent avant.
Vous admettrez que cela fait beaucoup plus de conditions que juste la taille : ce n'est pas tout à fait comme si nous observions des planètes bien alignées face au soleil avec leurs satellites. C'est donc un autre biais inévitable : les conditions de détection d'un satellite sont parfois nulles ou quasi nulles pendant plusieurs décennies. Donc peut-être que la NASA ment, mais ça ne suffit pas à le démontrer.
Merci en tout cas pour les pistes d'étude.