La nicotine bloque le mécanisme du déclin cognitif
Des chercheurs de l'Institut Pasteur, à Paris, ont en effet découvert que les récepteurs qui se trouvent dans le cerveau, sur lesquels la nicotine vient normalement se fixer pendant que le fumeur tire sur sa cigarette, étaient impliqués dans la dégénérescence cérébrale provoquée par la maladie d'Alzheimer. C'est en effet sur ces récepteurs que les peptides qui déclenchent la maladie viennent se fixer. Mais si ces récepteurs sont occupés par la nicotine...
Bien entendu, la solution ne consiste pas à dire aux potentiels malades de se mettre à tirer toute la journée sur des cigarettes, car la nicotine, et les 400 substances toxiques qui l'accompagnent, sont notoirement connus pour provoquer des pathologies graves, à commencer le cancer.
Comment: Une des solutions consiste bien sûr à fumer du tabac de qualité, issu de l'agriculture biologique, et non les cigarettes industrielles, tout à fait nuisibles, elles. Car il faut savoir que :
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Il faut trouver une molécule proche de la nicotine sans ses effets
Mais en revanche, si l'on pouvait trouver une molécule qui viendrait se fixer sur les mêmes récepteurs, sans avoir les effets néfastes de la nicotine, on serait alors capable de protéger les malades du déclin cognitif provoqué par Alzheimer ! La maladie ne serait pas éradiquée, mais ses conséquences sur le système nerveux central seraient retardées, amoindries, voire, annihilées.
Reste maintenant à trouver cette molécule proche de la nicotine. Cette étude a été publiée dans la revue médicale de référence Neurobiology of Aging.
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