Mais il faut dire que cette même presse a également encensé le premier film de BHL qui était si mauvais que personne ne l'a vu dans ce pays (ou pratiquement...), qu'elle a glorifié « Le via d'Adèle qui n'est au final qu'un porno » limite pédophile avec gros plans de cunnilingus à la clé, elle va même jusqu'à défendre de « exposition artistique » qui elle aussi fait ouvertement dans la pédophilie et la zoophilie. Notre société part réellement en vrille...
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Ma chère et tendre épouse rentre hier soir d'une dure journée de labeur (elle ne travaille pas à l'usine non plus) et se jette sur moi (ce que j'accueille toujours favorablement par principe), mais ma joie fut de courte durée...
« Mon chéri, as-tu entendu parler du film « Sausage Party » ? »... qui pourrait se traduire par une élégante « Fête à la saucisse » en français.
Ce film est interdit au moins de douze ans, ce qui veut dire, si j'ai bien compris, qu'il est autorisé aux plus de 12 ans : cela devrait donc commencer à partir de 13 ans... C'est jeune 13 ans, mais comme je suis un vieux con, je ne me rends sans doute pas compte qu'à 13 ans, on peut voir des films que même des adultes de mon âge trouvent profondément agaçants... Et non, je ne suis ni coincé ni « prude » !
En revanche, je revendique le droit à conserver une forme d'innocence et encore plus évidemment pour nos enfants.Comme vous pouvez le voir sur l'affiche du film presque mignonne, on s'attend à un dessin-animé avec des saucisses qui se parlent entre elles dans le frigo avant de se faire assaisonner de « képcheup » (comme le prononce mon petit dernier) qui pourrait être fort drôle... En fait, pas du tout, c'est juste un film X et LGBT qui promeut des sexualités que nous qualifieront « d'adultes » (mais pas de tous les adultes non plus), histoire de rester dans les clous du politiquement correct afin de ne pas être crucifié tout de suite par la police de la pensée.
Alors comme tous les grands discours valent moins qu'une bonne vidéo, je vous propose de visionner la plus belles des scènes de ce « film » et de juger par vous-même.
Cela va sans dire mais nettement mieux en le disant, ne regardez surtout pas ce machin immonde et abject s'il y a des enfants qui traînent autour de vous et même s'ils ont plus de 12 ans !!
Alors qu'en pensent tous les bobos bien-pensants dégoulinant de « môôôôdernité » ?
Pour Le Journal du Dimanche accrochez-vous :
« Une idée jaillit à chaque plan dans ce récit hilarant, trash et référencé qui passe à la moulinette de la dérision des sujets comme l'obésité, la drogue, l'antisémitisme, le conflit israélo-palestinien, le terrorisme. Jusqu'au feu d'artifice final sidérant »...En fait, vous et moi, nous n'avons sans doute pas compris l'art subtil de l'éducation sexuelle de nos pré-ados... On est vraiment des abrutis ! Heureusement, le JDD veille à nous expliquer comment bien penser.
Pour Le Nouvel Observateur : « On a rarement été aussi loin dans le délire bouffon (sauf dans la magnifique comédie musicale sur les cafards, « Joe's Apartment », 1996), et, bon sang, c'est marrant comme tout. La parodie d'« Il faut sauver le soldat Ryan » est, à elle seule, hilarante. Si Mel Brooks fumait des pétards, il aurait pu signer ça. On adore »...Même en me forçant, j'ai du mal à aimer, alors de là à adorer... Mais je suis sans doute comme vous un crétin passéiste qui cherche à « retrouver une France définitivement perdue et partie à tout jamais »...
Pour L'Express, qui aux dernières nouvelles était un magazine autorisé à la vente :
« Ce film d'animation est d'une inconvenance salvatrice et libératoire »...Je suppose que le journaliste voulait plus dire « éjaculatoire » que « libératoire », bien que l'un et l'autre soit sans doute lié... Effectivement, après avoir visionné cette vidéo, je suppose que vous trouverez ça très salvateur pour vos enfants de 13 ans... C'est sans doute le terme approprié.
Pour L'Huma, qui ne peut sortir que parce que les subventions pleuvent :
« Un festival d'absurdités où une saucisse s'évade et tente de sauver sa peau, suivant un parcours du combattant qui louvoie entre drogue et partouze (alimentaire !). Une bonne claque aux réacs américains dopés par le succès du gros blond. »En gros, mes amis, si vous n'avez pas aimé, adoré et apprécié c'est que vous êtes un « pauv'con de réac américain dopé par le succès du gros blond »... Vous savez, le gros blond, c'est Trump, le gros blond gros lourd pour L'Huma, Libé et les autres... C'est vrai qu'après avoir vu ce film, tout de suite, je trouve qu'il est d'une immense finesse, pas comme Trump hahahahaha !
Puis je réserve une place particulière pour l'avis éclairé et lumineux de nos passeurs de vérité, des « sachants » ultimes capables de nous faire penser comme il se doit la modernité que l'on veut vous imposer. Je pense à nos amis de Télérama, l'incarnation progressiste :
« Écrite et interprétée avec une joie communicative par les sales gosses de l'écurie Apatow (Seth Rogen, Jonah Hill, Evan Goldberg, Michael Cera), la comédie s'achève en énorme partouze et prouve qu'avec imagination et talent les pires produits industriels peuvent frôler la métaphysique »...C'est vrai que cette scène de partouze géante où toutes les sexualités se mélangent dans tout ce qu'il y a de plus brutal et bestial (il n'y a plus d'amour là-dedans), autorisée je le rappelle aux enfants de 13 ans, on frôle le « métaphysique ».
Mais chez Télérama, ils sont beaucoup trop forts pour moi, moi je suis un vieux con, je ne peux pas comprendre des choses aussi môôôdernes et complexes, que dis-je, « métaphysiques » !
Alors pourquoi vous parler de ça aujourd'hui ?
Tout simplement parce que j'ai découvert ce film hier sur les bons conseils de ma femme qui était tellement choquée que l'on puisse non pas faire ce genre de film - le genre X est une immense industrie, nous ne sommes pas naïfs - , mais que l'on puisse laisser ce genre de film diffuser à des gamins de 13 ans cela en dit très long sur les grands malades qui nous dirigent et sur ce qu'ils veulent faire de notre jeunesse.
Car nous sommes bien face à une entreprise monumentale de destruction et de déstructuration de nos enfants. C'est insidieux et pourtant c'est violent, très violent en réalité.Les écrans au sens large, qu'il s'agisse de la télé, des tablettes ou des jeux vidéo, entre violence et crime, sans oublier la débilité de certains programmes, occupent le temps de cerveau disponible de nos enfants en les lobotomisant et en excitant en eux ce qu'il y a de moins bon pour favoriser les instincts et pas la réflexion. La société, qui dans son ensemble rend possible par la lâcheté ou la trahison des adultes un endoctrinement jamais atteint au raffinement subtil, vise à faire des enfants des consommateurs crétins dépourvus d'intelligence et d'esprit critique.
Des consommateurs d'objets, de drogue et de sexe... Voilà de quoi assurer le contrôle social des masses et l'enrichissement du totalitarisme marchand.
Encore une fois, nos enfants méritent mieux.
Encore une fois, en tant qu'adultes, nous leur devons amour et protection. Protection de leur innocence, de leur naïveté.
Il faut du temps pour faire un homme. Du temps pour faire un citoyen. Quant à la sexualité, il est de bon sens de laisser à chacune et à chacun la liberté de vivre la sexualité souhaitée, celle pour laquelle chacun est prêt à son niveau. La sexualité est un processus différent pour chacun.
La véritable intolérance n'est pas de vouloir interdire logiquement ce genre de film merdique aux moins de 18 ans, la véritable intolérance consiste à vouloir imposer cela à tous. Cette volonté d'imposer les sexualités et qui devient tout simplement insupportable au plus grand nombre est LA violence faite sous prétexte de modernité à l'ensemble de la population.
Si c'est encore gérable lorsque cela touche les adultes, nous devons évidemment lutter contre ces tentatives lorsqu'elles touchent aux enfants.
Il n'y a pas à dire, je suis un vieux con, et très fier de l'être !
Il est déjà trop tard. Préparez-vous !
« Une histoire est peu racontée c’est celle de la prédominance des juif dans l’industrie du porno, cousine de Hollywood. Même si l’on veut faire l’impasse sur cette donnée ethnique, les faits sont là : les juifs ont joué et continuent à jouer un rôle majeur dans l’industrie du porno en Amérique. L’implication juive dans la pornographie a une longue histoire aux Etats-Unis, puisque les Juifs ont aidé à transformer une culture marginale en industrie principale du pays et en élément constitutif d’Americana. Ceux sont les juifs « true blue ». Juifs colporteurs de cochonnerie.
L'activité juive dans l'industrie de pornographie se divise en deux genres qui quelquefois se chevauchent : pornographes et artistes.
Bien que les Juifs représentent seulement deux pour cent de la population américaine, ils ont été proéminents dans pornographie. Beaucoup de marchands de littérature érotique entre 1890 et 1940 étaient des Juifs immigrés d'origine allemande...
Reuben Sturman, le grand-père du porno américain. Généreux donateur à des œuvres de charités juives.
Après-guerre, le pornographe le plus connu de l'Amérique était Reuben Sturman, le 'Walt Disney de pornographie.' Selon l’appellation du Ministère de la Justice américain. Tout au long des années 1970 Sturman contrôlait la plupart du réseau porno du pays... Dans les années 80 il possédait plus de 200 librairies érotico-porno... Sturman ne contrôlait pas simplement l'industrie pornographique, il était l'industrie.
Finalement il fut condamné pour fraude fiscale et d'autres crimes et mourrut déchu en prison en 1997. Son fils, David, a continué à diriger les affaires familiales. L'incarnation contemporaine de Sturman est Steven Hirsch, a Clevelander juif de 43 ans qui a été décrit comme le 'Donald Trump du porno.' Le lien entre les deux est le père de Steve, Fred, qui était un associé de Sturman. Aujourd'hui Hirsch dirige le Vivid Entertainment Group, surnommé le Microsoft du monde de pornographie, le plus gros producteur de films pornos aux Etats-Unis. Son apport fut d’avoir importé les techniques de marketing des média traditionnels dans le monde de la pornographie. Effectivement, Vivid égale est devenu sous sa houlette l’égale du Hollywood des années 1930 et 1940, particulièrement dans les contrats exclusifs liants Vivid à des stars du porno, engagées et modelées par Hirsch ...
Steven Hirsch
Dans les années 1970 et 80 le nombre d’acteur célèbres, masculin aussi bien que féminin est considérable
Le doyen de cette spécialité hébraïque est Ron Jeremy... Cet homme est tout simplement hideux. Gros, poilu, et laid il arrive pourtant à attirer dans son lit des douzaines de belles femmes.
Comme star juive du porno Ron Jeremy a fait des merveilles pour la psyché des hommes juifs en Amérique… Seymore Butts, aka Adam Glasser, est tout ce que Ron Jeremy n'est pas : jeune, généreux et tonifié... En quelques années, ' Seymore Butts ' - son nom de scène dans la pornographie et aussi sa marque est devenu une des plus grandes franchises dans le film porno... Il est aujourd'hui le plus célèbre magnat juif de l’industrie de la pornographie.
Ron Jeremy l'acteur, il a tourné dans plus de 2000 films et trouve que pirater des film pornos est je cite "immoral"
Adam Glasser ("Seymore Butts")
Glasser emploi 12 personnes, dont sa mère et son cousin... Gertzman (Geai Gertzman, l'auteur de Bookleggers et de Smuthounds : Le Commerce dans la Littérature érotique, 1920-1940) explique que " les Juifs, quand ils se sentent exclus de terrains d’activités, ils se tournent alors vers une profession dans laquelle ils ont deviné qu'ils pourraient se développer en travaillant en communauté » ... Le biznesse de la pornographie nécessite une prédisposition que les Juifs possèdent en abondance : la chutzpah, le culot.. Évidemment, le grand nombre de Juifs dans la pornographie étaient principalement motivé par le désir de faire des bénéfices... Comme le fait remarquer Abraham H. Foxman, Le Directeur national de l'ADL : « Ces Juifs qui sont entré dans l'industrie pornographique l’ont fait avec les même motivations que tous ceux qui poursuivent le rêve américain »"...
Sturman, - donateur généreux à des œuvres de charités juives - et l'acteur Richard Pacheco interviewés ont racontés être des étudiant rabbinique... Y a-t-il une raison plus profonde, au-delà de l’intérêt financier pur, quant à pourquoi les Juifs sont si impliqués dans la pornographie ? Il y a sûrement un élément de rébellion dans la participation d’autant de juifs. C'est très tabou et donc attrayant.
treyf signifie 'le monde de la sexualité défendue, la sexualité du goyim et là on imagine la joies de briser les tabous..." (Reel Kashrut, nourriture juive dans le film, JQ 189, le Printemps 2003)
Selon un anonyme de l’industrie du porno cité par E. Michael Jones dans le magazine Culture Wars (demain 2003), 'le comportement des artistes masculins au cours des années 1980 vient de l’éducation laïque juive et celui des actrices de l’éducation religieuse des externats catholiques.' Le scénario de pornographie standard est devenu, par conséquent, une lubie juive de coïter avec la shiksa catholique...
Selon [Luke] Ford, les acteurs juifs de porno se vantent souvent de « la joie qu’ils ressentent d’être les taons anarchiques, sexuels à la bête puritaine'.
L’implication massive de juifs dans la pornographie, est le résultat de la haine atavique des juifs envers le Christianisme : ils essaient d'affaiblir la culture Chrétienne dominante dans L'Amérique par la subversion morale...
Al Goldstein, l'éditeur de Screw magazine a dit (sur lukeford.com), 'La seule raison qui explique l’implication des Juifs dans la pornographie consiste en ce que nous croyons que Christ est naze. Le catholicisme est naze. Nous ne croyons pas dans son autoritarisme.
" La pornographie devient ainsi une façon de souiller la culture chrétienne et, elle pénètre au cœur même du courant dominant américain (la pornographie est sans aucun doute consommé par les plus Wasp).
C'est un cas du tour révolutionnaire/radical traditionnel d'immigrant Les Juifs en Amérique étant canalisée dans la politique sexuelle plutôt que de gauche.
C’est un exemple du comportement traditionnel radical/révolutionnaire des immigrants juifs aux Etats-Unis canalisé dans le sexe plutôt que dans des partis de gauche. De la même façon que les juifs étaient démesurément surreprésentés dans les mouvements radicaux par le passé ils le sont dans l’industrie sexuelle. Les juifs aux Etats-Unis furent des révolutionnaires sexuels. Une grande quantité du matériaux intellectuel de la libération sexuelle a été écrit par les Juifs. Ceux au premier rang du mouvement qui a forcé l'Amérique à adopter une vue plus libérale du sexe étaient juifs…
Les artistes de pornographie sont un groupe des gens qui prêchent la rébellion, l'accomplissement de soi et la promiscuité. Pourquoi aurions-nous honte? Cette vue d'ensemble et analyse du rôle et des motivations des pornographes et leurs artistes sont destinés à éclairer un thème négligé dans la culture populaire juive américaine. Peu a été écrit sur ce sujet."
Les juifs jouent un role disproportionné partout dans l’industrie sexuelle…Les juifs représentent la plupart des principaux acteurs masculin des années 70 et 80…
Pour finir donnons la parole à Elies Wiesel, alias the holocaust winner, qui dit pas que des connerie.
Dans son Testament d’un poète juif assassiné (1980, Points Seuil, 1995), Elie Wiesel décrit l’Allemagne de la république de Weimar, durant l’entre-deux-guerres :
“ L’Allemagne vaincue donnait l’impression que sur son territoire on pouvait tout se permettre sauf de se prendre au sérieux, écrit-il. On brisait les idoles, on déboulonnait les statues, on défroquait les professionnels de la foi, on se riait du sacré et, pour rire, on sacralisait le rire… La capitale, en effervescence permanente, rappelait les cités pécheresses de la Bible. Le talmudiste en moi rougissait et détournait le regard. Prostitution, pornographie, dérèglement des sens et de l’esprit, perversion sexuelle et autres ; la ville se déshabillait, se fardait, s’humiliait sans gêne, arborant sa dégénérescence comme une idéologie. A quelques pas de Chez Blum, dans un club privé, des hommes et des femmes, ou des femmes entre elles, dansaient nus. Ailleurs, on se droguait, on se fouettait, on rampait dans la boue, on faisait reculer toutes les limites ; cela me rappelait les mœurs des sabbatéens [cf. Psychanalyse du judaïsme, ndle]. On renversait les valeurs, on levait les tabous. Les gens sentaient-ils l’approche de l’orage ? ”
Et deux pages plus loin, Elie Wiesel écrit ingénument : “ Berlin semblait dominée par les Juifs… Journaux et maisons d’édition, théâtres et banques, grands magasins et salons littéraires.Les antisémites français qui voyaient le Juif partout avaient raison… pour ce qui était de l’Allemagne. Les sciences, la médecine, les arts : c’était le Juif qui donnait le ton, qui l’imposait. ” (Le Testament d’un poète juif assassiné, 1980, Points Seuil, 1995p. 100, 124, 126).
Source : [Lien]
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