La France a accueilli le 4e sommet du Partenariat pour un gouvernement ouvert (Open Government Partnership), du 7 au 9 décembre 2016. 70 États y ont participé.
Open Government Partnership Soros
Cette organisation est issue de la réforme majeure de l'administration Obama, l'Initiative pour un gouvernement ouvert (Open Government Initiative), lancée le premier jour de la première administration, en 2009.


Commentaire : George Soros n'en fini pas d'étendre ses tentacules par tous les moyens qui sont les siens vu son immense fortune : fondations, ONGs, contrôle des médias, financement tous azimuts opaques et corrompus, la liste est presque interminable. Il parle d'apocalypse chaque fois qu'un événement va à l'encontre du système (Brexit, Trump, Poutine...). En France, il a, notamment et entre autres, participé au financement d'une campagne de propagande du CCIF, Collectif Contre l'Islamophobie en France, dont le président en 2011, Marwan Muhamad avait déclaré : « Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n'a le droit de nous enlever ça. Personne n'a le droit de nous nier cet espoir-là ».

George Soros assure aussi le financement et le déploiement médiatique des Femen et admet avoir financé la crise ukrainienne. George Soros est aussi à la manœuvre dans sa volonté de dissoudre de l'Europe en l'inondant de réfugiés. Le ministre Hongrois l'a d'ailleurs accusé d'alimenter la crise des migrants en Europe. Ou encore, Soros derrière les Panama Papers et les Pussy Riot. La liste n'en fini pas car on le trouve également - et avec 100 millions de dollars investis depuis 2010 - derrière Human Rights Watch.
  • L'influence de George Soros sur les médias mainstreams étasuniens et leurs pairs occidentaux



Appliquant les principes du philosophe Karl Popper promus par les fondations de George Soros, cette initiative vise à :
  • veiller à la transparence des gouvernements démocratiques ;
  • faire participer les citoyens aux prises de décision via les ONG — et non pas via les Parlements.
Deux autres objectifs ont été ajoutés lors de la création de l'organisation inter-gouvernementale :
  • lutter contre la corruption — sauf lorsqu'elle est assumée par des lobbys enregistrés ;
  • généraliser l'usage des nouvelles technologies.
L'Open Government Partnership a été lancé par la secrétaire d'État Hillary Clinton, en 2011. En application de ses propres principes, cette organisation inter-gouvernementale associe de nombreuses ONG à la fois à ses débats et à sa gestion. La présidence est actuellement détenue par la France et le World Resources Institute. Cette dernière est une association états-unienne créée par les Démocrates et visant à promouvoir le marché de l'écologie en contournant l'Onu. C'est à travers cette ONG que l'ancien vice-président Al Gore a popularisé la théorie de la cause humaine des troubles climatiques [1].
George Soros
© Inconnu

L'Open Government Partnership est d'abord financé par des fondations d'entreprises (l'Open Society de George Soros, l'Omidyar Network très impliqué dans le coup d'État ukrainien, The William and Flora Hewlett Foundation, la Ford Foundation traditionnel partenaire de la CIA) et par ses États membres.


Commentaire : Derrière le paravent de philanthropie des fondations de Soros se cache les machinations d'un psychopathe qui a joué un rôle clef dans le coup néo-nazi en Ukraine ainsi que dans le revirement néolibéral des anciennes républiques de l'URSS : La Russie l'a bien compris, dont le Parquet général a statué que l'activité des deux fondations caritatives Open Society Foundations et OSI Assistance Foundation appartenant au milliardaire George Soros représente une menace pour l'ordre constitutionnel russe. En fait, elle représente une menace pour TOUS. L'inscription sur cette liste entraîne l'interdiction de toute activité de l'organisation sur le sol russe, notamment la diffusion d'informations dans la presse et sur Internet ainsi que les opérations financières ou immobilières.


À l'issue de cinq ans d'existence, chacun peut constater que, contrairement aux engagements de Barack Obama et à ses décrets présidentiels, les États-Unis n'ont jamais été aussi opaques, corrompus et en définitive fermés. Par contre, les autres États membres ont été contraints de s'affaiblir prétendument dans l'intérêt de tous, en réalité dans le seul intérêt des « ONG » et fondations d'entreprise accréditées.

Note

[1] « 1982-1996 : L'écologie de marché », par Thierry Meyssan, Оdnako(Russie), Réseau Voltaire, 22 avril 2010.