Le 11 janvier dernier, les Ehpad des Alpes-Maritimes ont fait « leurs courses de vaccins à la pharmacie du CHU de Nice ».
Personne âgée
© Inconnu
Selon l'article publié dans nice-matin le même jour :
« Ils font la queue avec une glacière, quelques pains de glace, et beaucoup d'attentes. Ce lundi matin, au sous-sol de l'hôpital L'Archet II à Nice, la pharmacie du CHU a des airs de marché sanitaire. On y remplit sa glacière avec un produit minuscule, mais ô combien précieux : le vaccin contre la Covid-19.

"Le gros départ, c'est aujourd'hui", explique Rémy Collomp, chef du pôle pharmacie du CHU de Nice. Près de 4 000 doses distribuées ce jour-là. Ce sont autant d 'Azuréens qui auront reçu la première injection du vaccin Pfizer-BioNTech. Un premier pas, précise le pharmacien : "On attend d'autres livraisons cette semaine".

Après le démarrage timide et très décrié de la campagne de vaccination française le 27 décembre, ce lundi 11 janvier marque une nouvelle étape. à Nice, le CHU honore les commandes de 57 Ehpad privés et 24 établissements de santé (hôpitaux de Cannes ou Grasse, cliniques privées, centres de vaccination...). Ces nouveaux bénéficiaires n'ont pas traîné. »
Mais les choses ne semblent pas bien se passer dans les Ehpad des Alpes-Maritimes. Toujours selon nice-matin, dans un article publié le 16 janvier, les Ehpad de la Côte d'Azur comptent cinquante morts supplémentaires recensés en trois jours :
« Le point de situation présenté ce vendredi 15 janvier par l'Agence régionale de la santé (ARS) révèle un net rebond des décès enregistrés cette semaine dans les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). L'impact de l'épidémie est considérée comme toujours élevée, y compris sur la mortalité.

Elément alarmant, dans le dernier point de situation quotidien Covid-19, communiqué par l'Agence régionale de la santé PACA: le nombre de décès Covid, depuis le début de la crise, est passé à 244 personnes dans les Alpes-Maritimes dans les Ehpad, à la date du vendredi 15 janvier.

Soit cinquante victimes supplémentaires en seulement trois jours... L'avant-dernier bilan, publié le mardi 12 janvier, faisait état de 194 morts dans les Ehpad azuréens.

Comment expliquer ce (re)bond ? Faut-il y voir un signe de l'augmentation de nouveaux clusters ou, autre hypothèse, une retranscription - avec retard - de données des jours précédents ? »
Selon l'article de La Dépêche publié hier 19 janvier, cinq personnes âgées sont aussi mortes après avoir reçu le soi-disant-vaccin, dont trois à Nancy, Tours et Montpellier :
« Les autorités sanitaires françaises ont annoncé ce mardi que cinq personnes étaient décédées après avoir reçu l'injection du vaccin Pfizer-BioNTech. Le ministère a toutefois précisé que ces décès n'étaient pour le moment pas à relier avec l'injection. Tous les patients avaient plus de 75 ans et souffraient de comorbidités.

Le ministère de la Santé a annoncé ce mardi 19 janvier que 139 cas d'effets indésirables graves ou inattendus avaient été recensés en France depuis le début de la campagne de vaccination. [...]

Trois de ces décès ont été enregistrés par le centre régional de pharmaco-vigilance de Nancy, un par celui de Tours, et le dernier par celui de Montpellier. »
Imputer aujourd'hui la faute aux comorbidités et non à la concoction à ARNm ou la paralogie des psychopathes

Mentionner le soi-disant-vaccin à ARNm comme cause de décès ficherait un peu en l'air tout leur plan.

Quand des patients âgés et malades meurent du Covid, on ne parle pas de leurs comorbidités, seul le Covid est responsable. Il s'agit alors d'une horrible tragédie qui nécessite des mesures qui mettent des nations entières par terre et nuisent à des centaines de millions de personnes.

Mais lorsque les mêmes patients âgés et malades passent de vie à trépas suite à des effets secondaires du soi-disant-vaccin, « il n'y a pas lieu de s'inquiéter ». Ils ne sont pas morts du Covid ou du soi-disant-vaccin, seuls les comorbidités sont responsables...

Un exemple s'il en est de la paralogie à l'œuvre au sein de la pseudo-réalité.

La vérité est ailleurs...