Voici les résultats de la toute première autopsie d'une personne « vaccinée » contre le Covid-19 qui, 18 jours plus tard, a été testée négative lors de son admission à l'hôpital. Toutefois, 24 jours après avoir reçu le « vaccin », l'autopsie a révélé que de l'ARN viral était présent dans presque tous les organes du patient décédé. Le « vaccin », tout en déclenchant une réponse immunitaire, n'a PAS empêché le virus — et surtout pas sa protéine Spike — de pénétrer dans la quasi-totalité des organes de son corps.
ARN viral dans tous les organes
© Inconnu
Il existe des anticorps — comme ceux que le « vaccin » est censé créer — mais ils ne sont pas pertinents car, d'après une étude japonaise, nous savons maintenant que c'est la protéine Spike S1 qui cause les dommages et non le virus Sras-CoV-2 en lui-même. N'oublions pas les déclarations du Pr Bridle :
« Nous savons depuis longtemps que la protéine Spike est une protéine pathogène. C'est une toxine. Elle peut causer des dommages à notre corps si elle passe dans la circulation. »
Hal Turner et son équipe ont parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d'un hôpital du New Jersey le 13 juin dernier. Ils lui ont envoyé les résultats de l'autopsie et lui ont demandé son avis.

Lorsqu'il les a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué :
« Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l'hôpital si vous le faites. »
L'équipe de Hal Turner a accepté de dissimuler son identité.

Le spécialiste a ensuite dit :
« Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du « vaccin ».

D'après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde — finalement — aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d'injection, mais ce n'est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l'ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l'ARN viral dans tous les organes, malgré un « vaccin », indique :
  1. Soit que le « vaccin » ne fonctionne pas du tout ;
  2. Soit que le virus bénéficie d'un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu'il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.
Il s'agit d'une bombe à retardement mondiale. »
Selon le rapport d'autopsie publié par Science Direct, l'homme vacciné était âgé de 86 ans et lorsqu'il a été admis à l'hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires, il a été testé NÉGATIF au Covid-19. Voici ce que décrit le rapport :
« Nous rapportons le cas d'un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le Sras-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate.

Le 9 janvier 2021, l'homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des deux semaines suivantes, il n'a présenté aucun symptôme clinique — tableau 1.

Le jour 18, il a été admis à l'hôpital pour une diarrhée qui s'est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de Covid-19, l'isolement dans un cadre spécifique n'a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d'antigène et la réaction en chaîne par polymérase — PCR — pour le Sras-CoV-2 se sont révélés négatifs. »
Le rapport de l'autopsie précise aussi que les tests n'ont montré dans ses organes
« aucun changement morphologique associé au Covid. »
« Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l'infection par le Covid provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu'elle infecte. CES CHANGEMENTS N'ÉTAIENT PAS apparus chez l'homme vacciné avant sa mort.

L'homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF au Covid, et le rapport indique que selon toute vraisemblance, l'homme vacciné décédé a contracté le Covid après avoir été admis, par le biais de l'autre patient situé dans la même chambre que lui.

Les dommages causés aux organes de l'homme vacciné aujourd'hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu'il ne soit infecté par le Covid par l'autre patient de la chambre d'hôpital.

Pire, une fois que l'homme vacciné a effectivement été infecté par le Covid, celui-ci s'est propagé si rapidement dans son corps qu'il n'a apparemment eu aucune chance. Voici des images des tissus :
Tissus organes touchés par protéine Spike
© Science Direct
Légende Science Direct — Un résumé des résultats histologiques pertinents et des résultats de la cartographie moléculaire est présenté. L'histomorphologie est obtenue par réaction standard à l'hématoxyline et à l'éosine, sauf pour le myocarde du côté droit (coloration au rouge Congo). Le grossissement est indiqué par des barres. Notez que dans les poumons, nous avons également observé des colonies de cocci (flèche) dans les zones granulocytaires. En outre, les résultats de la cartographie moléculaire sont donnés sous forme de valeurs seuils de cycle évaluées de l'amplification en chaîne par polymérase en temps réel pour le Sras-CoV-2. Il est à noter que le Sras-CoV-2 a été détecté dans tous les organes examinés — oropharynx, muqueuse olfactive, trachée, poumons, cœur, rein et cerveau — sauf dans le bulbe olfactif et le foie.
Le rapport post-mortem complet est publié sur Science Direct.

Hal Turner ajoute ce qui suit dans un commentaire en fin d'article.
« Je ne suis ni médecin ni scientifique et je ne peux donc pas offrir une analyse médicale compétente, mais en tant que profane, de mon point de vue, cela ne semble pas très réjouissant.

Le rapport post-mortem dit clairement que
« Ces résultats indiquent que le patient avait déjà développé une immunogénicité pertinente grâce à la vaccination. »
Pourtant, il a été infecté par un autre patient au 24e jour — après la vaccination — lors de son admission à l'hôpital, et est décédé quatre jours plus tard.

Si on lit le rapport en entier, l'histoire est la suivante : Le patient a été « vacciné », il a été hospitalisé pour une colite ulcéreuse due à des caillots sanguins, et pendant son hospitalisation, il a été infecté par un compagnon de chambre asymptomatique, et il est mort quatre jours plus tard.

Ma conclusion : le « vaccin » a conduit cet homme âgé à sa perte.

Je peux me tromper, mais c'est ce que je vois dans le rapport post-mortem.

Je n'ai **pas** pris le vaxx et je n'ai pas l'intention de le faire.

Dans toute cette débâcle du Covid, la seule constante est que la maladie a un taux de SURVIE de 99,8 pour cent. Pour moi, ce n'est pas une pandémie. Pour moi, ce n'est même pas la peine de se faire « vacciner » ; je pense que mon système immunitaire s'en sortira très bien.

Compte tenu de toutes les réactions indésirables au « vaccin », j'en conclus fermement qu'il est beaucoup plus dangereux de se faire vacciner que de contracter la maladie elle-même.

Dieu m'a donné un système immunitaire. Je pense que je vais faire confiance à Dieu sur ce point. Après tout, je crois sincèrement que je ne vivrai pas une microseconde de plus que ce que Dieu veut et, inversement, que je ne mourrai pas une microseconde plus tôt que ce que Dieu veut.

La foi ce n'est pas « croire sans preuve », c'est « la confiance sans réserve ». J'ai confiance en Dieu.

Décès soudain d'un homme de 32 ans

Le beau-fils de ce couple, âgé de 32 ans, est mort d'une crise cardiaque 12 heures après avoir reçu le « vaccin » de Johnson & Johnson.

Le coroner refuse de publier les rapports ; il qualifie la cause du décès de « non concluante ». Beaucoup de ces décès sont tout simplement camouflés. C'est la famille qui vous le dit :

Sources de l'article : Hal Turner Show & Science Direct
Traductions : Sott.net