Meilleur du Web:


Che Guevara

Meilleur du Web: Les USA : le phare hypocrite des droits de l'homme

La chaine Russia Today dénonce les atteintes à la dignité humaine commises par les forces de police contre les manifestants pacifiques.


Wall Street

Meilleur du Web: Les banquiers sont les dictateurs de l'Occident

Image
Nous, en Occident - nos gouvernements -, nous nous sommes créés nos dictateurs. Mais, contrairement aux Arabes, nous ne pouvons pas les atteindre. Écrivant depuis la région même qui produit le plus de clichés au mètre carré que n'importe quelle autre « histoire » - le Moyen-Orient -, je devrais peut-être prendre un moment avant de dire que je n'ai jamais lu autant d'âneries, autant de bêtises absolues, que je peux en lire sur la crise financière mondiale.

Mais je ne vais pas me retenir. Il me semble que l'information sur l'effondrement du capitalisme est tombée si bas que même au Moyen-Orient on ne s'abaisse pas à ce point devant les institutions et les « experts » de Harvard qui ont contribué à provoquer toute cette catastrophe criminelle.
Démarrons avec le « Printemps arabe » - terme en soi déformant verbalement de façon grotesque l'immense prise de conscience arabo-musulmane qui secoue le Moyen-Orient - et ses parallèles falots avec les manifestations sociales dans les capitales occidentales. Nous avons été submergés d'articles comme quoi les pauvres et les défavorisés en Occident « avaient pris exemple » sur le « Printemps arabe », que les manifestants en Amérique, au Canada, en Grande-Bretagne, en Espagne et en Grèce avaient été « motivés » par les énormes manifestations qui ont fait tomber les régimes en Égypte, en Tunisie et - jusqu'à un certain point - en Libye. Mais ce ne sont que des balivernes.

Bomb

Meilleur du Web: Tuerie à Liège, 5 tués et 121 blessés


Journée noire à Liège ce mardi. Un tueur isolé, Nordine Amrani, repris de justice, a tué 5 personnes et en a blessé 121 autres à l'aide de grenades et d'une arme automatique. Posté sur un surplomb de la place Saint-Lambert, cœur de la cité, il a visé la foule de passants située en contrebas auprès de la gare de bus, à quelques pas du marché de Noël. Il était 12h30.

"En sortant de la cour d'assises, j'ai aperçu un homme sur une des terrasses qui surplombe de cinq mètres environ les arrêts de bus sur la place Saint-Lambert. A ses pieds, était déposé un sac, d'où il a sorti quelque chose. Je pensais que c'était une pierre ou un autre objet anodin. Il lancé quelque chose, à une vingtaine de mètres, sur les abribus qui ont explosé", explique Nicolas Gimenne, correspondant de l'agence Belga, témoin des faits. Il entendra quatre détonations importantes puis de plus petites; vraisemblablement des tirs.

Une centaine de personnes se trouvaient sous les abribus et sur la place à cet instant, principalement des jeunes, dont beaucoup venaient sans doute de quitter une salle d'examen. Ce sont aussi principalement des jeunes qui figureront plus tard parmi les blessés.

Commentaire: Un tireur isolé ?
14h 27 Récapitulatif: au moins deux personnes seraient à l'auteur des faits. L'un d'eux s'est donné la mort. L'autre serait toujours activement recherché par la police
14h10 Deux personnes seraient décédées et une quinzaine blessées à la suite de l'attentat qui s'est produit dans le centre de Liège, selon un membre des forces de l'ordre contacté par Belga. Au moins deux auteurs seraient à l'origine des faits. Ils auraient utilisé des explosifs de type thunderflash et une arme kalashnikov.L'un des auteurs serait mort. L'autre a pris la fuite. Il se serait réfugié peu après 13H30 dans une annexe du nouveau palais de justice de Liège. Le Pelonton Anti-Banditisme a investi les lieux. Par contre, la police dément qu'une course poursuite se soit déroulée place Cathédrale. Une rumeur a fait état de tirs dans le quartier. Celui-ci a été bouclé mais le périmètre a rapidement été levé, a constaté Belga sur place. Des objets qualifiés de « suspects » ont été découverts sur la place Saint-Lambert. Les démineurs d'Heverlee vont se rendre sur place.
13h35 Selon un journaliste du Soir, un des 3 tireurs aurait été arrêté par la police

« Véritable chasse à l'homme selon notre envoyé spécial. La police est à la recherche de 3 hommes qui sont sorties armées du Palais de Justice. Il y aurait eu des échanges de coups de feu. Bilan catastrophique: 2 morts et 10 blessés »

« Trois hommes armés seraient sortis du Palais de Justice de Liège et ont ouvert le feu place Saint-Lambert, en plein marché de Noël. Selon notre envoyé spécial, Frédéric Matriche, il y aurait 2 morts et de nombreux blessés. »
Source : Info sur l'attentat de Liège - rtl.be - nordeclair.be et dhnet.be en direct sur leur site

Toute cette affaire ressemble étrangement aux Tueries du Brabant qui avaient ensanglanté la Belgique durant les années 1980. Ces tueries étaient liées à l'OTAN et ses armées stay-behind, plus communément appelés le Gladio.


Wall Street

Meilleur du Web: L'Euro : Ce lit de Procuste...

Traduction : Dominique Muselet pour LGS

Image
Les efforts des leaders européens pour faire rentrer une série de pays différents dans une cage financière rigide sont voués à l'échec. Mais cela fait partie d'un plan sur le long terme pour instaurer une super-monnaie mondiale qui ne pourra qu'apporter plus de souffrances aux travailleurs ordinaires. L'on se demande de plus en plus aujourd'hui "Pourquoi grands dieux les Européens ont-ils accepté de mettre en place une seule monnaie pour toute l'Europe ?"

Dans la mythologie grecque, Procuste était le fils de Poséidon, le dieu des profondeurs marines. Il avait construit un lit de fer à sa taille et il forçait tous ceux qui passaient chez lui à s'y coucher. Si la personne était plus petite que le lit, Procuste l'étirait, brisant ses os, ses tendons et ses veines, jusqu'à ce que la victime soit à la "bonne" taille ; si elle était plus grande, Procuste lui coupait les pieds et les membres.

Ce récit ancien sur le thème de la "taille unique" semble s'être matérialisé à nouveau au 21ème siècle quand les Européens se sont laissés convaincre de s'imposer à eux-mêmes un oxymore ; une contradiction conceptuelle flagrante appelée "l'euro".

La monnaie supra-nationale commune inventée par les Français et les Allemands, boycottée par les Anglais, ignorée par les Suisses, dirigée par les Allemands et acceptée par le reste de l'Europe dans sa bienheureuse ignorance, a finalement tombé le masque et montré son horrible visage : celui d'un système impraticable au service des seuls banquiers au détriment des classes laborieuses.

Gear

Meilleur du Web: Le policier était en état de mort cérébrale avant la visite présidentielle : l'ignoble mascarade funèbre de Sarkozy

Image
Pour se faire réélire, Nicolas Sarkozy est vraiment prêt à tout - mais qui en doutait ? Il était aujourd'hui en visite à Marseille et La Provence consacre plusieurs dépêches à l'événement. « Le président de la République vient tout juste d'arriver à l'Hôtel de police de Marseille, peut-on lire à 10h34. Nicolas Sarkozy a salué le patron de la Police judiciaire, Roland Gauze et le préfet de police, Alain Gardère. Pour rappel, ce crochet du chef de l'Etat (il est dans la ville pour participer au congrès du Parti populaire européen) est lié aux derniers événements dans la cité phocéenne. Notamment l'agression d'un policier, toujours entre la vie et la mort, qui a reçu plusieurs balles de kalachnikov lors d'une course-poursuite.« Deuxième dépêche à 10h59, qui titre Fusillade : Nicolas Sarkozy s'est rendu au chevet du policier gravement blessé : « Avant de se rendre à l'Hôtel de police de Marseille, ce matin Nicolas Sarkozy est allé à l'hôpital Nord, au chevet du policier gravement blessé et qui lutte toujours entre la vie et la mort. Pour rappel, le sous-brigadier Éric Lales, 37 ans, du commissariat d'Aix, a été victime d'une rafale de kalachnikov après une course-poursuite, à hauteur de Vitrolles sur l'A7. » La troisième dépêche annonce 36 minutes plus tard en titre Fusillade de l'A7 : le policier Éric Lales est mort : « Au terme de sa visite à l'Hôtel de police de Marseille, le président de la République a annoncé ce matin, à l'issue de sa rencontre avec les forces de l'ordre, le décès du policier Éric Lales, 37 ans, du commissariat d'Aix, qui a été victime d'une rafale de kalachnikov après une course-poursuite, à hauteur de Vitrolles sur l'A7 dans la nuit de dimanche à lundi 28 novembre. Le président de la République s'était rendu au chevet du sous-brigadier quelques heures auparavant. » La Provence consacre enfin une dernière dépêche à la visite du président-candidat, titrée Sarkozy annonce l'attribution de 150 fusils à pompe pour les Bac : « Au cours de sa rencontre avec les policiers marseillais (à l'Hôtel de ville de Marseille), Nicolas Sarkozy a annoncé l'attribution, pour les Brigades anti-criminalité (Bac) des Bouches-du-Rhône, de 150 fusils à pompe d'ici la fin de cette année. Le président de la République a , par ailleurs, affirmé qu'une réflexion va être menée - avec les constructeurs automobiles - sur le renforcement des pare-brise des véhicules de police afin qu'ils soient plus résistants aux balles. » Plus question du policier décédé, mais un rapport tout de même : le sous-brigadier appartenait justement à la Bac. Et entre parenthèses, la Bac est déjà équipée de fusils à pompe.

Pistol

Meilleur du Web: Aujourd'hui les fusils à pompe, demain l'armée...

En s'impliquant personnellement dans chaque fait divers, le Grand Ordonnateur du Nouvel Ordre Mondial pour la zone France (et Europe) Nicolas Sarkozy savait que cette attitude conduirait forcément à la surenchère !

Et ce qui devait arriver, arriva : Face à la multiplication des violences, liées à la fois aux exemples désastreux donnés par les élites néo-mondialistes dans le monde (assassinats ciblés des opposants, liquidations sommaires de chefs d'Etats autrefois « amis », etc..) et à la politique économique et sociale suicidaire conduite par ces élites et leurs relais (grassement payés), Nicolas Sarkozy vient de déclarer aux syndicats policiers (dont la proximité avec les idéologies pro-NWO questionne) que désormais les BAC (Brigades Anti-criminalité) qui sillonnent les rues des villes et des banlieues de France seraient désormais équipées de fusils à pompe « avant la fin de l'année« .


Einstein

Meilleur du Web: Une conférence hors du commun de Jacques Vallée

Conférence de Jacques Vallée à TEDxBruxelles le 22/11/11 sur les coïncidences et la physique de l'information

Voici la vidéo de la conférence avec les sous-titres en français (17 mn):

-à télécharger, au choix: TEDx-Vallee.flv (65 Mo) ou TEDx-Vallee.mp4 (68 Mo) ou TEDx-Vallee-LoFi.flv (35 Mo)
-ou à visionner directement ici (2 parties):



Le Docteur Jacques Vallée (PhD) est un astronome, informaticien et romancier français (vivant aux USA dans la région de San Francisco) qui s'est distingué à plusieurs reprises de façon remarquable et très originale:
pour avoir été choisi par Steven Spielberg comme le modèle de François Truffaut dans "Rencontres du 3ème type",
par son établissement de la première carte informatisée de la planète Mars pour la NASA,
par son expertise internationalement reconnue dans l'étude des objets volants non identifiés (OVNIs),
pour être l'auteur de nombreux livres d'anticipation et avoir reçu le prix Jules Verne,
pour les travaux qu'il a dirigé dans le cadre du projet Arpanet, le prototype du réseau Internet...

USA

Meilleur du Web: Quelques pensées qui OCCUPENT mon esprit

Traduction par VD pour le Grand Soir

Image
Lorsque la guerre au Vietnam s'est achevée et que les banderoles ont été pliées, le côté sérieux de la plupart des manifestants et leur hostilité envers le gouvernement s'est évanoui. Ils sont retournés, presque sans opposer de résistance, à la course au succès et à la croyance que le monde n'avait le choix qu'entre une « démocratie capitaliste » et une « dictature communiste ». Le verdict général était que la guerre avait été une aberration, une sorte de tâche sur une politique américaine somme toute humaniste. Les soi-disant craintes éprouvées par les pouvoirs en place sur une déliquescence de la République s'avérèrent au final rien de plus qu'un coup médiatique. Un sujet porteur.

Tout ceci pour vous expliquer pourquoi j'ai été réticent à me joindre au mouvement d'occupation. J'ai d'abord pensé que si rien d'autre ne faisait l'affaire, ce serait le froid de l'hiver qui aurait raison d'eux. Sinon, ce serait les exigences de la vie quotidienne - il faudra bien qu'ils gagnent leurs vies, qu'ils assistent à leurs cours quelque part, qu'ils retournent à leurs amis et leurs familles. Récemment, j'ai pensé que c'est la police qui sifflerait la fin de leur merveilleuse partie - car lorsque vous dévoilez la véritable nature du système, le système peut devenir fou.

A présent je n'en sais trop rien. Tous ces jeunes, et les vieux aussi, n'en finissent pas de m'étonner par leur dévouement et leur énergie, leur camaraderie et leur courage, leur optimisme et leur inventivité, leur non-violence et leur conscience aiguë des dangers de la cooptation, leur ciblage des institutions économiques plutôt que des politiciens ou des partis politiques. Sans oublier leurs magnifiques pancartes et slogans, brandis de New York à Washington, tenant bon devant les assauts méprisables de la police et la destruction de leur campement à Wall Street. Ils ont donné à un million de jeunes d'autres idées sur comment occuper le reste de leurs vies et obtenus une couverture médiatique remarquable. A plusieurs reprises, le Washington Post a consacré des pages entières d'articles sympathiques. Le mouvement OCCUPY est pris de plus en plus au sérieux par pratiquement tous les médias.

Pirates

Meilleur du Web: L'Amérique occupée : la loi sénatoriale 1867 permettrait à l'armée de mettre en détention et d'assassiner les manifestants anti-gouvernement dans les villes américaines

Image
Je ne sais pas si tout cela est entré dans vos têtes encore, mais la loi sénatoriale 1867 - la Loi d'autorisation de défense nationale - légalise ouvertement la détention et le meurtre des protestataires d'OWS (Occupy Wall Street, ndt) et l'assassinat de présentateurs d'une émission-débat, de bloggers, de journalistes et de n'importe qui tenant un soi-disant point de vue anti-gouvernemental. C'est une déclaration de guerre ouverte et flagrante contre qui font ne va pas dans le sens des gangsters de TSA (TSA, c'est cet organisme maffieux et pervers qui vous tripote et vous mate à poil dans les aéroports, ndt), de la mainmise de Goldman Sachs sur les nations, de l'arrestation secrète et de la torture des citoyens américains, et autres actes de tyrannie pure faits par un gouvernement hors de contrôle.

Ceux qui avaient enterré leurs têtes dans le sable à propos de l'arrivée proche d'un état policier doivent se réveiller et faire face à la réalité. Les sénateurs des États-Unis essaieraient sciemment et obstinément de voter un projet de loi qui légalise la détention, la torture et le massacre des citoyens américains sans un quelconque jugement en bonne et due forme - et ceci sur le sol américain - ce qui n'est rien de moins qu'une trahison déloyale envers les libres personnes américaines.

Ce sont, nos pères fondateurs l'auraient dit, des actes de guerre contre le peuple. Ils indiquent le plan insidieux pour mettre en place un cadre juridique pour en finir avec la déclaration des droits de l'homme, les protestataires contre le meurtre, et la submersion de l'Amérique par la brutalité totale d'un état policier.

Bad Guys

Meilleur du Web: Mensonges et vérités sur la Syrie

Depuis huit mois, les dirigeants occidentaux et certains médias publics font campagne pour une guerre en Syrie. Les accusations d'une extrême gravité qu'ils portent contre Bachar el-Assad intimident ceux qui s'interrogent sur le bien-fondé d'une nouvelle intervention militaire. Tous ? non, car - avec l'appui du Réseau Voltaire - certains sont venus vérifier sur place et ont pu mesurer l'ampleur de la propagande de l'OTAN. Thierry Meyssan fait le point sur l'état de la guerre médiatique.
Image
Formé à Paris sous l’égide de la France, le Conseil national syrien entend renverser le régime du président Bachar el-Assad. Il est présidé par Burhan Ghalioun, professeur de sociologie à l’université de la Sorbonne (ici avec Alain Juppé, le 23 novembre 2011).
En 1999, lors de la guerre du Kosovo, le Réseau Voltaire s'indigna de ce que la France puisse entrer dans le conflit aux côtés de l'OTAN sans vote de l'Assemblée nationale avec la complicité passive des présidents de groupes parlementaires. Nous considérâmes que le refus du président de la République et du Premier ministre d'organiser un authentique débat augurait de l'opacité avec laquelle cette guerre serait conduite. Aussi, nous prîmes l'initiative de publier un bulletin quotidien sur le conflit. Les sites internet du gouvernement serbe ayant été immédiatement détruits par l'Alliance atlantique, nous ne pouvions avoir accès à la version serbe des événements. À défaut, nous avons souscrit des abonnements aux agences de presse de la région (croate, bosniaque, grecque, chypriote, turc, hongroise etc. ). Tout au long du conflit, nous avons présenté chaque jour un résumé de la conférence de presse de l'OTAN à Bruxelles et un résumé du témoignage des journalistes des pays riverains ; des pays ayant parfois de lourds contentieux avec la Serbie, mais dont les gouvernements partageaient entre eux une même narration des événements. Au fur et à mesure du temps qui passait, la version de l'OTAN et celle des journalistes locaux s'écartèrent jusqu'à ne plus avoir aucun point commun. À la fin, il s'agissait de deux histoires radicalement différentes. Nous n'avions aucun moyen de savoir qui mentait et si l'une des deux sources disait vrai. Nos lecteurs avaient l'impression de devenir schizophrènes, d'autant que les médias ouest-européens ne relayaient que la version de l'OTAN et que, par conséquent, nos lecteurs n'étaient confrontés aux deux versions parallèles qu'en nous lisant. Nous avons continué cet exercice de style durant les trois mois de combats. Lorsque les armes se sont tues et que des confrères et des amis ont pu se rendre sur place, ils ont constaté avec stupeur qu'il n'y avait pas eu « de la propagande des deux côtés ». Non : la version de l'OTAN était entièrement fausse, tandis que celle des journalistes locaux était entièrement vraie. Dans les mois qui suivirent, des rapports parlementaires dans plusieurs États membres de l'Alliance établirent les faits. Plusieurs ouvrages parurent sur la méthode mise au point par le conseiller en communication de Tony Blair qui permit à l'OTAN de manipuler la totalité de la presse occidentale : le « story telling ». Il est possible d'intoxiquer la totalité des journalistes occidentaux et de leur masquer les faits, si on leur raconte un conte pour enfants, à la condition de ne jamais interrompre la narration, de la charger de références réveillant de lointaines émotions, et de lui conserver sa cohérence.