Après le scandale dévoilé sur l'envoi secret d'une délégation britannique à l'est de la Libye, le Foreign Office britannique a connu de vices critiques de la part des députés de divers partis au sein du parlement.
Le gouvernement britannique a été contraint de s'expliquer lundi 7 mars sur un nouveau couac dans sa gestion de la crise libyenne après le retentissant fiasco d'une mission « diplomatique » secrète à Benghazi.
La mission d'un ambassadeur avait été décidé, encadrée par des militaires, des membres du SAS, les forces spéciales, et deux agents des services secrets MI6.
Les hommes venaient d'arriver de nuit en hélicoptère avec armes, téléphones satellitaires et passeports multiples quand ils se sont fait arrêter par des fermiers libyens qui les ont ensuite retenus prisonniers jusqu'à leur extraction du pays après plusieurs échanges téléphoniques entre Londres et l'opposition libyenne.