Feu dans le CielS


Meteor

Les comètes électriques 4e partie

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alterinfo
The Electric Universe
Thunderbolts, présentation de Dave Smith, 11 février 2010

Voici le quatrième extrait de la série sur l'ouvrage The Electric Universe, copyright © 2002, 2007 de Wallace Thornhill et David Talbott, publié par Mikamar Publishing et reproduit avec l'aimable autorisation des auteurs et de l'éditeur.

Il apparaît à travers cette série d'édition spéciale de Thunderblogs, que la théorie cométaire électrique propose une explication des observations de loin supérieure à la thèse standard. Ayant déjà étudié en détail les principales caractéristiques des comètes, il est à présent judicieux de s'intéresser de plus près à leurs nombreuses particularités de surface énigmatiques, telles que les aiguilles, les fosses et les cratères.

Commentaire: Les comètes électriques - 5e partie


Meteor

Les comètes électriques 3e partie

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alterinfo
The Electric Universe
Thunderbolts, présentation de Dave Smith, 1er février 2010

Voici le troisième extrait de la série sur l'ouvrage The Electric Universe, copyright © 2002, 2007 de Wallace Thornhill et David Talbott, publié par Mikamar Publishing et reproduit avec l'aimable autorisation des auteurs et de l'éditeur.

Comment un minuscule noyau cométaire peut-il maintenir une chevelure parfois plus grande que le Soleil contre la force du vent solaire ? Si la pesanteur était seule en jeu, les noyaux devraient avoir une densité d'un ordre de grandeur plus grand que toute matière connue. Pourtant, dit-on, la majorité des comètes ont une densité faible. Seule la théorie de l'Univers électrique propose une réponse cohérente à ce paradoxe.

Commentaire: Les comètes électriques - 4e partie


Meteor

Les comètes électriques 2e partie

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alterinfo
The Electric Universe
Thunderblogs, présentation de Dave Smith.

Voici le deuxième extrait de la série sur l'ouvrage The Electric Universe, copyright © 2002, 2007 de Wallace Thornhill et David Talbott, publié par Mikamar Publishing et reproduit avec l'aimable autorisation des auteurs et de l'éditeur.

Nous vous présentons cette semaine la théorie cométaire orthodoxe de la « boule de neige sale » et son contraste par rapport à l'hypothèse de la décharge plasmatique (comète électrique). La présentation sous forme d'items permet de voir facilement que l'idée de la décharge plasmatique explique et même prévoit les observations bien plus fidèlement que le modèle cométaire reconnu aujourd'hui.

Commentaire: Les comètes électriques - 3e partie


Meteor

On a sans doute observé un impact sur la Lune

Deux astronomes ont filmé un flash lumineux sur le bord de notre satellite dans la soirée du 11 février. Ils ont peut-être assisté à un impact météoritique.

La Lune étant dépourvue d'atmosphère, elle est en permanence bombardée par des météorites. La plupart sont minuscules et contribuent à une lente érosion de la surface de notre satellite. Mais on ne peut exclure la chute d'un corps plus important. Le 18 juin 1178, cinq moines de la cathédrale anglaise de Canterbury observèrent à l'œil nu un flash lumineux sur le bord du croissant de lune. On découvrit plus tard à cet endroit l'existence d'un jeune cratère de 22 kilomètres de diamètre, nommé Giordano Bruno.

Meteor

Véritables origines de la théorie de la comète électrique

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info

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J'ai reçu dernièrement quelques réponses de gens mal informés qui ont lu ma série d'essais sur l'influence éventuelle de l'électricité dans le Système solaire, qui incluait la nature électrique des comètes.

Plusieurs m'ont écrit pour dire que je n'accordais pas à l'astrophysicien James McCanney ses propres mérites, affirmant même qu'il « est à l'origine » de la théorie de la comète électrique. Certains ont de plus déclaré que Wallace Thornhill, le spécialiste de la théorie de l'« Univers électrique, » a « emprunté » ses théories à McCanney sans mentionner sa paternité.

Ces deux affirmations sont fausses.

McCanney n'est pas l'auteur de la théorie de la comète électrique, car :

1. cette théorie a des racines dans de nombreuses spéculations du 19ème siècle sur les comètes ;

2. l'œuvre catalytique sur le Soleil et les comètes électriques est due à un pionnier du 20ème siècle, Ralph Juergens, dont les publications sur ce thème précèdent de plusieurs années celles de McCanney ;

3. les travaux de Juergens, suivies avec diligence depuis le début par Thornhill, lui ont directement inspiré ses thèses ;

4. l'hypothèse de Juergens, sensiblement différente de celle de McCanney, fut privilégiée par Thornhill qui lui ajouta beaucoup de nuances ;

5. les découvertes de l'ère spatiale jettent le doute sur la thèse centrale de McCanney, alors que ce n'est pas le cas pour celle de Thornhill.

Toujours est-il, il faut accorder à McCanney le mérite d'avoir exploré les phénomènes cométaires d'un point de vue électrique unique, et d'avoir ajouté la « comète électrique » au débat scientifique.

Meteor

Les comètes électriques - 1re partie

The Electric Universe

Thunderblogs, présentation de Dave Smith.

Voici le premier extrait d'une série sur l'ouvrage The Electric Universe, copyright © 2002, 2007, de Wallace Thornhill et David Talbott, publié par Mikamar Publishing et reproduit avec l'aimable autorisation des auteurs et de l'éditeur.


Depuis le début de l'ère spatiale, avec l'évolution des sondes spatiales et des télescopes, toujours plus sophistiqués et fidèles, les astrophysiciens sont exposés à nombre de « surprises » nécessitant un réajustement ad hoc quasi quotidien de leurs théories. Or, parmi les nombreux astres connus partout dans l'espace, rien n'est plus énigmatique pour le modèle cosmologique standard que l'humble comète. C'est pourquoi nous commençons cette présentation par le début du chapitre 4, Electric Comets.

Commentaire: Les comètes électriques - 2e partie


Meteor

Mondes en collision, physique des plasmas... PLANETE X - Ce que la NASA nous cache !

Une interview de James McCanney, astrophysicien.
McC : James McCanney
M : Rick Martin

McC : Laissez-moi d'abord vous expliquer ceci... Pendant longtemps il y eut une dissension au sein de la communauté d'astrophysique entre un type nommé Chapman et Hans Alfhen, de l'Institut suédois. Chapman disait que l'espace était électriquement neutre. Alfhen disait non, nous pouvons voir le plasma là-haut, cela produit des choses étranges, nous ne savons pas quelle en est la cause, mais l'espace n'est pas électriquement neutre, c'est très actif au niveau électromagnétique. Les USA ont l'argent, Chapman est américain, c'est lui qui eut raison.

Il y a un problème de physique très simple qu'on enseigne à chaque étudiant de troisième cycle en science de l'espace, physique et astrophysique. On leur dit: si vous prenez une charge et que vous la placez dans l'espace, alors très très vite - et vous pouvez calculer à quelle vitesse - une autre charge viendra l'entourer et la masquer et on ne pourra plus la détecter électriquement depuis n'importe quelle autre partie de l'univers. C'est un phénomène de masque et si vous avez, pour une raison quelconque, un champ magnétique dans l'espace autour d'un objet, il se passe la même chose, c'est un effet de plasma. Et ça, c'est une des raisons pour lesquelles nous disons que notre gravité est une force totalement indépendante de l'électromagnétisme, parce que les forces électromagnétiques sont masquées de telle façon que la gravité peut "voir à travers" en quelque sorte.

Phoenix

Éruption solaire record et alerte aux aurores polaires

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L'éruption du 15 février vue par SDO. Crédit : SDO/Nasa.
Le 15 février 2011, vers 1h50 (TU), a été observée la plus violente éruption solaire depuis décembre 2006.

Classées dans la catégorie X, celle des événements solaires les plus énergétiques qui soient, ce type d'éruptions est susceptible de provoquer des ruptures de liaisons radio et des averses de radiations dangereuses pour certains satellites. Leur fréquence est très rare.

L'éruption du 15 février (voir vidéo en bas de page) est d'une intensité de 2,2, mesurée sur une échelle de X1 à X9. Elle s'est produite dans l'hémisphère Sud du Soleil, à partir de la région active 1158.

Un record pour le cycle solaire actuel

C'est la plus grande éruption depuis le début du cycle solaire actuel (le cycle 24), commencé le 8 janvier 2008. Elle semble indiquer que l'activité de notre étoile, plutôt calme jusqu'à présent, est enfin repartie : « C'est comme s'il y avait eu l'explosion d'une bombe atomique, alors que nous n'observions que des pétards. Nous avons beaucoup attendu ce redémarrage », commente Guillaume Aulanier, de l'observatoire de Paris (LESIA).

Saturn

Le nuage de plasma va causer une tempête magnétique sur Terre


Les systèmes d'alarme automatiques de l'Observatoire royal de Belgique (ORB) se sont déclenchés à la suite de l'apparition d'une énorme flamme solaire à la surface du Soleil. L'ORB avertit que le nuage magnétique pourrait perturber nos télécoms, jeudi matin.

Une éruption solaire est survenue aux premières heures de mardi. La précédente flamme solaire de cette importance avait été observée en décembre 2006. D'après le site web spécialisé SpaceWeather.com, il s'agit de la première éruption du nouveau cycle solaire (qui dure 11 ans), le 24e du nom. Le pic a été enregistré à 02h56, heure belge. L'ORB avertit, sur base de données récoltées notamment par le satellite belge Proba-2, qu'un nuage de plasma se dirige vers la Terre avec une vitesse supposée de 1.000 km/s. Lorsqu'il rencontrera le champ magnétique terrestre, jeudi matin, cela provoquera une tempête magnétique qui peut perturber les communications radio ou satellite (et donc le système GPS qui s'appuie sur un réseau de satellite).

Saturn

Tyché, une nouvelle planète géante dans notre Système Solaire ?

John Matese et Daniel Whitmire, deux astrophysiciens de l'Université de Louisiane à Lafayette (Etats-Unis), ont fait part de leurs travaux à propos de la possible découverte d'une nouvelle planète au sein du Système Solaire.
Planète
© Inconnu
Surnommée provisoirement Tyché (nom de la déesse grecque symbolisant la fortune, la prospérité et la destinée, soeur de Némésis), elle aurait une masse quatre fois supérieure à celle de Jupiter et se situerait à 15.000 UA (1 Unité Astronomique = distance Terre-Soleil) - 2.250 milliards km (dans le Nuage de Oort) - soit à une distance 375 fois plus grande que celle de Pluton (raison de sa découverte tardive). Elle aurait une température de surface de -73 °C. Selon Daniel Whitmire, elle serait composée essentiellement d'hydrogène et d'hélium (comme Jupiter).

Ces travaux se basent sur les données récoltées par le télescope WISE (Wide-Field Infrared Survey Explorer - NASA) dont le rôle est de cartographier l'intégralité de la carte du ciel via un champ de vision très large en infrarouge. Voici un document pdf résumant les travaux des deux astrophysiciens.