Enfant de la SociétéS


Vader

Trappes : le témoignage de la jeune femme qui a été contrôlée

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La déferlante islamophobe s'accentue : le CCIF a été saisi par Hajar, la jeune femme victime d'un contrôle d'identité musclé par la police nationale à Trappes. A la suite de ce contrôle, son mari a été mis en garde à vue pour avoir osé s'opposer à la violence et aux provocations des policiers. Voici son récit :
Je fais appel à vous car j'ai subi une injustice de la part de la police. Ils ont voulu nous contrôler à cause de mon voile intégral. Comme d'habitude, j'ai coopéré. J'allais lever mon voile lorsque j'ai vu l'un des agents pousser violemment ma mère.

J'ai dit aux autres agents de regarder ce qui se passait derrière, que ça n'allait pas se passer comme ça, qu'il ne fallait pas toucher à ma mère qui n'a rien a voir avec le contrôle, sachant que elle était devant nous.

L'un des agents s'est alors énervé sur mon mari, juste parce qu'il a dit, à propos de ma maman :

"Ne la touchez pas ! Pourquoi vous la touchez alors qu'elle n'a rien à voir avec le contrôle ?"

Le policier a alors dit a mon mari, de manière très agressive et en bombant le torse : « Tu vas faire quoi ? ». Je me suis interposée entre eux pour ne pas que ça dégénère.

Une fois que le policier en a fini avec ma mère, il vient vers moi et fait de grands gestes devant mon visage en me tenant un langage agressif. Apeurée, je lui ai demandé de se taire. Il m'a alors attrapée par le voile au niveau de la tête et traînée avec une force monstrueuse, avant de me plaquer sur le capot de la voiture en me criant : "C'est à moi que tu parles ?? C'est à moi que tu parles, hein ? »

Je me suis retournée puis j'ai aperçu mon mari maintenu à terre par deux policiers qui le menottaient.

Une fois dans la voiture, ils nous criaient dessus comme si on était des chiens. Ils menaçaient mon mari en disant "Qu'est-ce que tu vas faire maintenant p'tite tafiole, hein ? ", tout cela avec les poings serrés et en donnant des coups, dans la voiture.

Une fois arrivés au commissariat, les agents m'insultent de fantôme. Je ne cesse pas de demander à Dieu de l'aide contre cette violence.

Gear

Emeutes en région parisienne : la guerre civile programmée

Alors que les émeutes de 2005 avaient perlé sous le gouvernement de Nicolas Sarkozy jusqu'à nos jours, il semble que l'UMPS se tienne prête à de nouveaux affrontements dans les banlieues : la nomination d'Emmanuel Valls au Ministère de l'Intérieur a constitué un premier signal fort dans la direction de l'affrontement : en effet, ce personnage de la vie politicienne de la zone France est connu sur internet pour ses positions éternellement redevables à un petit Etat du Proche Orient que nous ne nommerons pas, quand même... ce qui ramené à la vie publique en zone France ne peut qu'attiser les incendies à la moindre étincelle !

En effet, le poste de Ministre de l'Intérieur nécessite la nomination de personnalités neutres et irréprochables sur les questions religieuses, compte tenu de le sensibilité du sujet : Or, l'Histoire récente démontre au contraire que l'UMPS a systématiquement désigné des personnalités très engagées en faveur du petit état pré-évoqué, et par conséquent à l'encontre de ses voisins de religion disons « différente ».

Il n'est évidemment pas anodin et accidentel que des personnalités telles que Nicolas Sarkozy, Claude Guéant ou Emmanuel Valls aient été positionnées à ce stratégique de Ministre de l'Intérieur, qui constitue de nos jours en Zone France un poste quasi équivalent en importance au poste de Premier Ministre !

Et le fait que les grands médias alignés relaient en Une la moindre émeute enregistrée en Zone France ne constitue en aucun cas une coïncidence :


Handcuffs

Prison à vie pour six Indiens accusés du viol collectif d'une Suisse

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Six Indiens accusés du viol collectif d'une touriste suisse âgée de 39 ans qui circulait à bicyclette en Inde en mars, ont été condamnés samedi à la prison à vie par un tribunal du centre du pays, selon l'agence de presse PTI. ( Sam Panthaky )
Six Indiens accusés du viol collectif d'une touriste suisse âgée de 39 ans qui circulait à bicyclette en Inde en mars, ont été condamnés samedi à la prison à vie par un tribunal du centre du pays. «Tous les accusés ont été condamnés et nous sommes satisfaits du verdict», a commenté le procureur, Rajendra Tiwari, après l'énoncé du jugement.

En mars, trois mois après la mort d'une jeune étudiante indienne assaillie par six hommes dans un bus à New Delhi, l'Inde avait de nouveau été le théâtre d'un sordide viol collectif. La scène s'était déroulée dans une petite ville du Madhya Pradesh (centre du pays) alors que la touriste suisse se baladait à vélo avec son mari de 30 ans.

Un groupe de sept à huit hommes avaient attaqué le couple, attaché l'homme et violé la femme en sa présence, avant de leur voler 10 000 roupies (141 €) et un téléphone portable.

Heart - Black

USA : mort de la journaliste Helen Thomas

Une légende du journalisme américain vient de s'éteindre. Helen Thomas, 92 ans, est décédée samedi des suites d'une longue maladie. A l'aube de ses 90 ans, elle continuait encore à couvrir l'actualité de la Maison-Blanche, où elle était traitée avec respect.

Helen Thomas a commencé à suivre les présidents américains en 1943 pour l'agence United Press International. En 1960, elle devient officiellement correspondante accréditée pour la Maison-Blanche, poste qu'elle ne quittera pas durant les 50 années suivantes. Onze présidents ont défilé devant elle. Elle était également la seule correspondante à avoir un siège à son nom en salle de presse, au premier rang.

Che Guevara

Slim Rehouma, vétéran de la guerre d'Afghanistan, assigné à résidence : sa compagne veille debout et témoigne

Si vous suivez les publications du Cercle des Volontaires, vous connaissez peut-être déjà le combat de Slim Rehouma, vétéran de la guerre d'Afghanistan. Le combat de Bruno Boulefkhad contre la Société Générale l'a touché, et Slim est sorti du silence imposé par son métier : il est Caporal-Chef dans l'Armée française, ce qui l'astreint au « devoir de réserve ». Malgré cela, il a apporté son soutien à l'homme qui campe devant la Société Générale depuis plus d'un an.

Mais ce qui a vraiment irrité les supérieurs de Slim Réhouma, c'est l'interview qu'il a accordée à Info-Libre, dans laquelle il dénonce l'engagement de la France en Afghanistan et au cours duquel il fustige la corruption des élites politiques. La hiérarchie se devait de le sanctionner ; mais pas trop, craignant sans doute d'en faire un martyr.

C'était sans compter sur la détermination d'Amélie Carlier, la compagne de Slim, qui a pris l'initiative de venir le soutenir devant l'hopital militaire de Clamart. De nombreux citoyens ont alors décidé de mettre eux aussi la pression sur les responsables de cette sanction. Voici donc le témoignage d'Amélie Carlier :


Handcuffs

A Dubaï, une Norvégienne condamnée à seize mois de prison pour avoir été violée

Une Norvégienne de 24 ans a été condamnée, mercredi 17 juillet, à seize mois de prison par un tribunal de Dubaï, alors qu'elle avait porté plainte pour viol. Selon le tribunal, ce jugement vient sanctionner un comportement indécent, impliquant une relation sexuelle hors mariage, et la consommation d'alcool.

Marte Dalelv, le 19 juillet à Dubaï.
© Kamran Jebreili/APMarte Dalelv, le 19 juillet à Dubaï.
Marte Dalelv avait été violée le 6 mars, alors qu'elle était de sortie avec des collègues dans le cadre d'un voyage d'affaires, selon la BBC. Alors que la jeune femme s'était rendu au commissariat pour porter plainte, les policiers lui avaient confisqué son passeport et son argent. Trois jours plus tard, la Norvégienne était inculpée pour trois chefs d'accusation, notamment pour relation sexuelle hors mariage.

Elle a alors été immédiatement licenciée par la franchise dubaïote de l'entreprise pour laquelle elle travaillait, THE One Total Home Experience, selon Rue89.

Hourglass

Scènes de vol à Brétigny : quatre plaintes, la justice enquête dans la polémique

Une semaine après le déraillement du Paris-Limoges en gare de Brétigny, quatre plaintes ont été recensées et les enquêtes se poursuivent, après les premières accusations de vols de victimes de cette catastrophe, qui a fait six morts. Le parquet a annoncé l'ouverture d'une information judiciaire en milieu de semaine prochaine.

Accident ferroviaire Brétigny
© Michel Euler/APL'accident qui s'est déroulé à Brétigny-sur-Orge (Essonne), le vendredi 12 juillet, a fait 6 morts et 8 blessés graves selon un bilan provisoire.
Une semaine après le déraillement du Paris-Limoges en gare de Brétigny, quatre plaintes ont été recensées et les enquêtes se poursuivent, après les premières accusations de vols de victimes de cette catastrophe, qui a fait six morts. Le parquet a annoncé l'ouverture d'une information judiciaire en milieu de semaine prochaine.

Les causes de l'accident ont paru, vendredi, reléguées au second plan par la polémique sur le caillassage des services de secours et des allégations de vols de victimes. Quatre plaintes pour vol ont jusqu'ici été recensées. Outre celle d'un médecin urgentiste qui s'est fait voler son portable, pour laquelle une enquête pour vol en réunion avec violences a été ouverte, "une enquête distincte est diligentée sur la commission de faits de vols, commis lors de l'évacuation des blessés par la Sûreté départementale de l'Essonne", a indiqué le parquet.

Parmi ces trois dernières plaintes, l'une a été déposée par une jeune voyageuse pour "vol d'effets personnels" dans ses bagages. Cette passagère du train s'est aperçue seulement après l'accident de la disparition de ces objets. Le parquet d'Evry, qui poursuit les investigations pour cette plainte, a confirmé que, "peu de temps après l'arrivée des premiers secours, quelques individus leur ont jeté des projectiles depuis le toit du parking qui jouxte la gare de Brétigny-sur-Orge".

Arrow Down

Flashback Détroit, métropole postapocalyptique

Détroit, maison abandonnée, USA
© Inconnu
Métropole postapocalyptique, Détroit est aujourd'hui laissé à l'abandon et envahi par les herbes folles qui lui donnent une image de calme étrange et inquiétant. Zone de guerre, zone sinistrée. Drôle de sort que subit l'ex-capitale mondiale de l'automobile qui a connu son apogée dans les années 50, une époque où les trois grands constructeurs (GM, Chrysler et Ford) faisaient tourner l'économie de la ville lui donnant le surnom de Motortown ou Motown.

Motown, Détroit, Micchigan,USA
© InconnuDétroit, une ville qui se meurt
Aujourd'hui, les grandes avenues où l'automobile était reine sont vides. Pas d'heure de pointe ni de bouchon de circulation. La chute de Détroit, qui a perdu plus de un million d'habitants ces soixante dernières années, ne fait que s'accentuer depuis 2010. Le chômage atteint des proportions endémiques et touche massivement la population noire qui tente de survivre dans ce no man's land que constitue désormais le centre-ville délabré.

Detroit_faillite_Même les pawn shops sont en faillite
© InconnuMême les pawn shops sont en faillite
Il y a un mouvement qui prend racine au travers des rues bordées d'énormes bâtiments en ruine, de maisons barricadées et incendiées. Des maisons laissées à l'abandon par leurs propriétaires qui croulaient sous les dettes de la crise économique et dont les créanciers ne savent trop quoi faire.

Che Guevara

Quenelle pour tous ! Dieudonné et le terroriste Carlos témoins du mariage de deux détenus

Dieudonné
© Inconnu

L'humoriste Dieudonné et le terroriste Carlos ont tous deux été les témoins d'un mariage carcéral. Les deux détenus homosexuels de la prison de Poissy se sont mariés ce mercredi 17 juillet au matin et ne sont pas inconnus des médias...

Alfredo Stranieri et Germain Gaiffe ont décidé de s'unir dans la prison de Poissy ce mercredi 17 juillet au matin. L'union a été célébrée par le maire PS de Poissy, Frédérik Bernard, a souligné le Courrier des Yvelines.

Leurs témoins de mariage ? L'humoriste Dieudonné, qui est arrivé en robe blanche, et le terroriste Carlos. Les quatre hommes sont tous connus des médias. Alfredo Stranieri est un tueur en série, surnommé le tueur aux petites annonces. Son époux, Germain Gaiffe a démembré et tué un homme. Le quatuor d'amis s'est revendiqué en tant que tel depuis l'affaire de la paternité de la fille de Rachida Dati.

Quatre mois de prison ferme pour s'être moqués de Rachida Dati

Les deux tueurs, Alfredo Stranieri et Germain Gaiffe avaient envoyé il y a quelques mois une lettre à Rachida Dati affirmant qu'ils étaient les pères de sa fille. Ils avaient déclaré avoir eu une relation sexuelle avec l'ancienne Garde des Sceaux un an auparavant, alors qu'elle était en visite dans leur prison.

Lors du procès, Dieudonné avait fait son apparition, en tant que "parrain" de la petite Zora. Carlos, lui aussi emprisonné à Poissy, avait demandé au parrain d'une de ses filles, Dieudonné donc, d'être le parrain de la "fille" de son codétenu, Zora Dati. Cette histoire coûta au couple Stranieri - Gaiffe quatre mois de prison ferme.

Un mariage gay étonnamment célébré par Dieudonné, puisqu'il avait récemment déclaré que "c'était un complot sioniste qui vise à diviser les gens", comme l'a rappelé le journal Métro.


People

Brétigny : des scènes de vol et de caillassage ont bien eu lieu

Le Point.fr s'est procuré un document confidentiel de la direction centrale des CRS qui fait état de jets de projectiles et de vols sur les victimes du déraillement du train.

Des forces de l'ordre devant la gare de Brétigny, le 12 juillet 2013.
© Michel Euler/AP/SipaDes forces de l'ordre devant la gare de Brétigny, le 12 juillet 2013.
A-t-on voulu cacher une réalité trop dérangeante ? Contrairement à la version officielle véhiculée par les autorités politiques, policières et sanitaires, il y a bel et bien eu des scènes de vol et de caillassage après le déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge. Le Point s'est procuré le rapport de synthèse des affaires marquantes du 10 au 16 juillet de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) dans lequel une page est consacrée à l'opération de sécurisation mise en place après la catastrophe ferroviaire par deux sections de la CRS 37-Strasbourg venues du cantonnement de Meaux.

Or le compte rendu des forces de l'ordre est sans ambiguïté. "À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles", note la synthèse de la DCCRS. Un constat fort différent de celui dressé par les responsables de la Croix-Rouge et du Samu qui affirmaient n'avoir constaté "aucune agression et avoir travaillé de façon tout-à-fait normale" en gare de Brétigny. Pourtant le rapport de synthèse de la DCCRS va plus loin : "Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes." Et la note d'enfoncer le clou : "Les fonctionnaires protégeaient ensuite les lieux de l'accident pour favoriser le travail des enquêteurs et des techniciens et sécuriser la visite des nombreuses autorités (président de la République, Premier ministre, ministre de l'Intérieur, ministre des Transports, ministre de la Santé...).