Covid


Alarm Clock

Entrevue Robert F. Kennedy Junior: « Chaque crise majeure est utilisée par les élites, militaires, ou du renseignement... »

Robert Kennedy a délivré un discours historique ce samedi 29 août 2020 à Berlin devant une foule très importante ( plus d'un million de personnes selon les organisateurs mais 38 000 selon les sources officielles ).
jukil

Voici l'entrevue.

Commentaire: Voir aussi :


Pocket Knife

De l'instrumentalisation du terrorisme islamiste à l'orchestration du terrorisme viral

Les attentats du 11 septembre 2001 avaient constitué le prétexte à la mise en œuvre des nouvelles reconfigurations politiques et géostratégiques impulsées par l'hyperpuissance américaine.
kijuhy
Sur fond de sidération mondiale suscitée par la psychose généralisée, dès le lendemain des attentats, les autorités américaines avaient déployé promptement leur stratégie machiavélique : mobilisation de la population derrière l'état de guerre, renforcement de l'appareil répressif de l'État, réaffirmation de la puissance de l'Amérique matérialisée par une politique interventionniste impérialiste tous azimuts, opérée au nom de la lutte contre le terrorisme islamiste.

De fait, immédiatement après les attentats du 11 septembre 2001, les instances politiques et médiatiques américaines ont été embrigadées pour enrôler la population dans les entreprises guerrières impérialistes.

Tous les pays stratégiques du Tiers-monde étaient susceptibles d'être envahis, toutes les nations économiquement concurrentes, torpillées, toutes les puissances militaires potentiellement rivales, neutralisées.

Megaphone

Coronavirus: une organisation minutieuse du massacre ?

On peut tourner dans tous les sens la question de savoir, à qui peut donc profiter cette hystérie collective d'un COVID-19 menaçant nos vies alors que tous les indicateurs commentés par des épidémiologistes de renom nous disent que rien ne justifie ces « mesures » délirantes prises par les « gouvernants » !
vfgtyhn
© Wikimédia Commons
A première vue, dans ce jeu stupide que le monde entier est en train de jouer, tout le monde est perdant ! Si tout le monde est perdant, qui donc peut être gagnant, puisque l'hystérie est entretenue à dessein et les « autorités » persistent et signent ! C'est quoi l'objectif au-delà des apparences selon lesquelles tout le monde serait perdant ?

Reprenons un à un les éléments de cette hystérie collective.

Bulb

Discours historique de Robert Kennedy Jr. du 29 août 2020 à Berlin «Ich bin ein Berliner»

Discours historique de Robert Kennedy Jr. à Berlin le 29 août 2020. Il parle de plusieurs sujets dont la 5G, le Covid19, la crise actuelle, Big Pharma, du nazisme etc. « Ich bin ein Berliner » ( «Je suis un Berlinois» )
gthyuj
© FranceSoir« La seule chose dont vous avez besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur. »

« Chez moi aux Etats Unis les journaux disent que je me suis exprimé devant 5000 nazis ».
« La seule chose dont vous avez besoin pour transformer les gens en esclaves, c'est la peur. »

Card - VISA

La destruction des DABs en corrélation avec l'obligation des vaccins

CHRONOLOGIE D'UNE PANDEMIE ORGANISEE

ATM card transaction
© Bogdan Cristel / Reuters
Dans la suite logique de l'article précédent, notre lecteur Mr Mogiel a vu que les 4 grandes banques d'Australie ont décidé de retirer des villes des milliers de DABs SOUS PRETEXTE DU COVID :

"Australia's big four banks remove thousands of ATMs and shut down hundreds of branches as the coronavirus crisis pushes nation closer to a cashless society. ANZ, Commonwealth, NAB and Westpac - also shut up a combined 175 branches in the last 12 months while at least 2150 ATMs have been removed in recent months ... as the coronavirus crisis pushes nation closer to a cashless society".


Traduction : "Les quatre grandes banques australiennes retirent des milliers de distributeurs automatiques et ferment des centaines de succursales alors que la crise du coronavirus rapproche la nation d'une société sans numéraire. ANZ, Commonwealth, NAB et Westpac - ont également fermé 175 succursales au cours des 12 derniers mois alors qu'au moins 2150 distributeurs automatiques ont été retirés ces derniers mois ... alors que la crise du coronavirus rapproche la nation d'une société sans numéraire".


Eye 1

Coronafolie - les tweets du jour

anti masques


Binoculars

VIDÉO : Le vrai visage du COVID-19

« Après plusieurs mois de crise COVID-19, des éléments pertinents d'analyse de cette crise apparaissent plus clairement. La pression énorme pour convaincre 7 milliards d'humains de la nécessité de se vacciner contre un virus dont on a gonflé la mortalité et qu'on dit omniprésent alors qu'il est en train de disparaître, voire a disparu.
fgtyhju
Cela nous rappelle l'opération de 2009, avec la fausse pandémie H1N1 [3] : mêmes tactiques, mêmes complicités (médiatiques, politiques, gouvernementales), mêmes « experts », mêmes scénarios, mêmes narratives avec un accent sur la peur, la culpabilité, la précipitation et toujours la même odeur nauséabonde de cet argent omniprésent sous la forme de profits immenses à l'horizon pour l'industrie productrice de vaccins. »

Bullseye

Avec le Covid-19 : réflexions sur le mal et la peur

La crise sanitaire de 2020 est aussi une crise de société, pour ne pas dire de civilisation. Cette crise ne se réduit pas aux effets systémiques constatés dans le monde, causés par les décisions des gouvernants appuyées par une expertise scientifique et gérées par les systèmes de la puissance publique.
vgbhn
© David GANNON / AFP
Cette crise est aussi intérieure, affectant les âmes et les consciences. Une peur s'est propagée. Quelle est la nature de cette peur ?

La question du mal comme introduction à la question de la peur

La Shoah a suscité des questionnements avec une controverse autour de la thèse développée par Arendt sur la banalité du mal, à l'occasion d'une enquête sur la personnalité d'Eichmann avant et pendant le procès de ce « bureaucrate des camps » tenu à Jérusalem.

Le mal était-il banal ou radical ? Cette question est importante mais sans doute mérite-t-elle une analyse sémantique précise. Que signifient ces qualificatifs de banal et de radical ?

Heart - Black

Dans les replis du cœur - ou la France soumise

replis coeur
Le panache, voilà probablement ce qui fait le plus défaut en ces temps incertains où la France a perdu comme le déclamait Edmond Rostand « la pudeur de l'héroïsme ». La semaine passée je posais cette question : « Que sommes nous devenus ? » Voilà qu'il faut aller plus loin en se demandant, bien entendu, ce que nous allons devenir. Car, de jour en jour, la situation se dégrade avec, d'un coté, ceux qui bénéficient d'une impunité tout autant acquise qu'irréversible allant des passe-droits politiciens aux « incivilités » en tous genres. Et, de l'autre, ceux qui abdiquent, démissionnent, se taisent, abandonnent, car, contraints et désabusés, ils ont perdu le goût de l'insolence et ne cherchent même plus à regagner la victoire de l'esprit, l'élégance de la dignité.

Oui, que va devenir cette France ? Celle où nous allions fêter la liberté sous les lampions du quatorze juillet en regardant tourner un monde fascinant et fasciné sur une piste de danse désormais désertée. Cette France qui avait des opinions et le courage de les exprimer en bravant la censure, en ignorant les compromis, en dénonçant la soumission. Cette France qui n'a plus fière allure et préfère désormais à l'audace l'interdiction, au baroud l'absolution.

Voici donc ce peuple appelé à plus de résilience qui est en train de se résigner un téléphone portable à la main, un masque vissé sur le visage, des distances à respecter, la peur de l'autre en étendard, des journalistes obéissant aux consignes du cardinal de service, des entreprises ruinées, partout le déni de justice, la fin des contre pouvoirs, des enfants qui doivent apprendre à se méfier, des adultes qui ne savent plus à quel saint se vouer. Et des « saints » qui promettent ce qu'ils ne pourront jamais exhausser.

Quenelle - Golden

Coronavirus : quelques centaines de manifestants anti-masques réunis à Paris

200 à 300 personnes se sont rassemblées ce samedi 29 août à Paris, pour protester contre le port du masque obligatoire généralisé dans toute la capitale.

mask, demonstration,manifestation, Paris
© Christophe ARCHAMBAULT / AFPDes manifestants rassemblés samedi 29 août 2020 à Paris pour protester contre le port du masque.
Le port du masque obligatoire, généralisé dans tout Paris et la petite couronne fait beaucoup réagir les habitants de la capitale, certains y voient une mesure sanitaire nécessaire, d'autres une privation de leur liberté. Ce samedi 29 août à Paris, entre 200 et 300 personnes se sont rassemblées pour dénoncer le port obligatoire du masque aux cris de "liberté, liberté !" et avec le soutien de quelques "gilets jaunes", selon un journaliste de l'AFP.

Réunis à partir de 13h00 place de la Nation, certains manifestants ont brandi des pancartes où on pouvait lire : "Non à la dictature sanitaire", "LaREM, on étouffe sous le poids de votre incompétence" ou encore "Liberté : j'écris ton nom". Il s'agit d'une des premières mobilisations de militants anti-masques en France.

Les manifestants ont rapidement été encerclés par plusieurs dizaines de policiers, dont certains ont dressé des contraventions de 135 euros pour non port du masque. Au total, 123 manifestants ont été verbalisés et une personne a été interpellée, a fait savoir la préfecture de police sur Twitter.

Commentaire:

Nombre de décès liés au COVlD-19 en France