OF THE
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Note du traducteur : La phrase qui précède se réfère au suicide collectif des adeptes de la secte du Temple du Peuple qui a entraîné la mort de 914 personnes. Le massacre de Jonestown a fait naître l'expression « don't drink the Kool-Aid » — utilisée par l'auteur de manière inversée dans le contexte des injections Covid (« Safe and Effective Kool-Aid ») — et qui fait référence à la limonade mélangée au poison présentée aux adeptes de la secte ; cette expression signifie « quoi qu'on vous dise, ne le croyez pas trop fort ».Oui, c'est vrai, comme vous l'avez sûrement remarqué, le récit officiel du Covid s'effondre enfin, peut-être démantelé à la hâte, voire en reconstruisant son historique, là, juste sous nos yeux. Les « experts » et les « autorités » reconnaissent enfin que les statistiques sur les « décès » et les « hospitalisations » liés au Covid sont artificiellement gonflées et totalement peu fiables (ce qu'elles sont depuis le début), et ils admettent que leurs « vaccins » miracles ne fonctionnent pas (à moins de changer la définition du mot « vaccin »), et qu'ils ont tué quelques personnes, ou peut-être plus que quelques personnes, et que les confinements étaient probablement « une grave erreur ».
Je dispose d'un écrit d'un grand professeur de l'université de Tel Aviv du département de neurologie qui explique qu'ils constatent aussi en Israël une augmentation des cas de maladie de vache folle.L'argument du professeur de médecine qui affirme qu'il y a 100 cas de cette maladie est faux, 28 cas de variants de Creutzfeld Jacob sur 27 ans selon Santé Publique France, ça en fait 1 par an. https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-infectieuses-d-origine-alimentaire/maladie-de-creutzfeldt-jakob
« Le coronavirus n'est qu'un « avant-goût » de ce que nous allons vivre ces prochaines années... Nous sommes rentrés dans l'ère des pandémies. »Nous rentrons dans l'ère des pandémies, on peut parler d'épidémie de pandémies... La messe est dite ! L'évangile selon « Saint OMS ».
« biodiversité riche et variée protège les humains du risque de pandémie [...] Tout simplement grâce à l'effet de dilution, qui fait que les agents pathogènes vont être dilués dans une très grande quantité, avec une grande variabilité génétique. »
« Alice Desbiolles se base sur une étude de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques. Ce rapport d'atelier, intitulé Échapper à l'ère des pandémies, a démontré en 2020 que les « activités humaines destructrices » comme la déforestation, le commerce des animaux sauvages, l'érosion et la destruction de la biodiversité constituaient des facteurs de risques, et donc des facteurs favorables à l'émergence d'épidémies. »Le communiqué de presse en français de ce rapport est ICI, et le rapport en anglais — rédigé par 22 soi-disant experts de premier plan du monde entier — est publié ICI sur le site de l'IPBES (Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services).
« La secrétaire exécutive de l'IPBES, Dr. Anne Larigauderie, s'exprimant sur ce rapport d'atelier a déclaré :Éclairer ? Bienvenue dans le scientisme.« La pandémie de COVID-19 a mis en évidence l'importance de la science et de l'expertise pour éclairer les politiques et les décisions. Bien que cela ne soit pas un rapport intergouvernemental d'évaluation comme les rapports habituels de l'IPBES, il s'agit d'une publication d'experts remarquable, revue par les pairs, produite dans des délais très courts, basée sur les preuves les plus récentes, et présentant les perspectives de certains des plus grands scientifiques au niveau mondial. »
« l'élevage industriel va jouer un rôle d'amplificateur de l'agent pathogène. Tout simplement parce que les animaux qui sont dans ces fermes industrielles sont en fait des clones au niveau génétique. Dès que vous avez un agent infectieux qui trouve la clé pour contaminer un animal, il va contaminer le reste de l'élevage. »Des clones ? Ouch...
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