Pourquoi les gens (bien) sont-ils silencieux - voire pire - à propos du 11 Septembre ? C'est en substance la question que se pose Frances T. Shure, psychologue supportrice du mouvement Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11 Septembre, dans une série d'articles, visibles ICI. Avec l'aimable autorisation de Frances T. Shure, nous vous proposons une traduction de cette série, dont voici la première partie.
Frances Shure a effectué une analyse approfondie portant sur un sujet clé de notre époque : "Pourquoi les gens [biens] restent-ils silencieux - ou pire - à propos du 11 Septembre [ou 9/11] ?" L'essai qui en résulte, présenté ici comme une série, est une synthèse à la fois de la recherche universitaire et des observations cliniques.
L'analyse de Mme Shure commence par la reconnaissance de l'observation faite par les professionnels de la psychologie interviewés dans le documentaire "9/11 : les preuves explosives - les experts se prononcent" réalisé par les Architectes et Ingénieurs de la Vérité sur le 9/11, lesquels professionnels décrivent nos tendances humaines au déni afin d'éviter l'inconfort de la « dissonance cognitive ». En effet, la résistance à l'information qui défie sensiblement notre vision du monde est la règle plutôt que l'exception, explique Mme Shure. Il en est ainsi parce que la peur est l'émotion qui sous-tend la plupart des réactions de rejet à l'égard de l'information fournie par les sceptiques du 9/11. Mme Shure dresse le tableau des nombreux types de peurs qui sont concernées, et comment elles sont imbriquées dans le "mythe sacré" de l'exceptionnalisme américain.
À travers le prisme de l'anthropologie et de la psychologie sociale, Mme Shure mettra l'accent sur la diffusion des innovations ; l'obéissance et la foi dans les autorités ; les avis divergents (double pensée) ; la dissonance cognitive ; le conformisme ; la pensée de groupe (raisonnements grégaires) ; la théorie de la gestion de la terreur ; la théorie de la justification des systèmes ; la théorie de la détection du signal ; enfin la connaissance préalable des crimes d'Etat contre la démocratie et les politiques profondes (souterraines).
À la lumière de la psychologie clinique, Mme Shure explorera également les points de vue décrits dans les sections sur l'impuissance acquise ; le syndrome de la violence ; la dissociation ; et l'identification excessive au gouvernement des Etats-Unis. Deux sections sur la recherche du cerveau fourniront également des informations étonnantes sur notre nature humaine.
Enfin, les sections intitulées « exceptionnalisme américain », « Manipulation gouvernementale et mensonge », et « ceux qui manquent de conscience et d'empathie » contiennent des informations précieuses tirées des disciplines de l'histoire, de la psychologie sociale, de la psychologie clinique et des recherches sur le cerveau. Les dernières sections traiteront de la manière dont nous pouvons communiquer plus efficacement au sujet des preuves du 9/11, et de notre besoin humain de sensibilisation et de guérison. Mme Shure conclut en citant le poète Langston Hughes dans un épilogue éclairé qui demande : « Est-ce que l'Amérique est possible ? »
[La première partie (0)] commence avec la Préface et l'Introduction de Mme Shure. Les chapitres successifs nous feront explorer les contributions de la psychologie occidentale pour répondre à cette question obsédante : « Pourquoi les gens restent-il silencieux - ou pire - à propos du 9/11 ? »
Préface
L'essai qui suit n'est pas destiné à persuader quiconque de la théorie affirmant que des éléments au sein de notre gouvernement étaient responsables des attaques dévastatrices du 11 Septembre 2001. Ce document s'adresse davantage et en premier lieu aux 45% des Américains (1) - et à ces gens issues d'autres parties du monde - qui croient déjà qu'une nouvelle enquête est nécessaire, ainsi qu' à ceux qui ont tout simplement des doutes sur la version officielle du 9/11, mais qui n'ont pas approfondi la question. Ce document s'adresse également aux professionnels de la psychologie et des sciences sociales qui pourraient souhaiter examiner la question posée par le titre de manière plus approfondie.
En outre, cet essai devrait être utile à toute personne qui rencontre une résistance à toute idée de changement de paradigme qui peut lui être communiqué, dès lors que la même dynamique et la même recherche s'appliquent en pareil cas.
Ce travail n'a pas été conçu entièrement seul. Je suis reconnaissante à l'équipe de rédaction des Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 9/11 qui m'a suggéré d'écrire un premier article - ainsi la graine a-t-elle été plantée. Une fois que la semence a germé, elle a été nourrie par les suggestions substantielles de Marti Hopper, Ph.D., Sheila Fabricant Linn, M.Div., Dennis Linn, M.Div., Daniel K. Sage, Ph.D., Dorothy Lorig , MA, Earl Staelin, JD, Joseph Lam, Gregg Roberts, John Freedom, CEHP, Danielle Duperret, Ph.D., Paul Rea, Ph.D., Tim Gale, Sonia Skakich-Scrima, MA, et par le soin apporté par les correcteurs Nancy Hall et Dennis McMahon. Je suis profondément redevable et reconnaissante pour leur aide enthousiaste.
En outre, ce travail n'a pas pu être écrit sans les contributions des personnes nommées et citées dans le document. Je l'ai extrait de mes recherches, des observations crédibles, ou de l'inspiration du moment. J'espère que d'autres seront inspirés à leur tour pour compléter cette synthèse de la recherche et des observations afin de nous aider un peu plus encore à répondre à la question : « Pourquoi les gens se taisent, ou pire, à propos du 9/11 ? »
Introduction
« Si ce que vous dites est vrai, je ne veux pas le savoir ! » s'est exclamé un jeune homme en visite sur notre stand consacré à la Vérité sur le 9/11 à la Foire populaire de Denver. Il faisait allusion aux preuves de la démolition contrôlée des trois gratte-ciels du World Trade Center (WTC) le 11 Septembre 2001. « Pourquoi ? » lui demandai-je. « Parce que si ce que vous dites est vrai, je vais devenir très négatif. Psychologiquement, je vais en prendre un coup. »
Avec gratitude, je lui ai répondu « Merci ! » Surpris, il a demandé, « Pourquoi vous me remerciez ? » « Parce qu'il est rare d'entendre une vérité aussi crue. Merci d'être si honnête ». Apaisé par notre échange, le jeune homme a bavardé avec moi un peu plus longtemps avant de partir. Je ne l'ai jamais oublié ; il ne m'a probablement jamais oublié non plus. Nous l'avons ressenti tous les deux. Paradoxalement, une vérité profonde avait été partagée.
Nous qui travaillons pour informer le public sur le 9/11, et sur les opérations sous faux pavillon (2) nous sommes surpris par la résistance souvent énergique de nos auditeurs. Pourtant, beaucoup d'entre nous dans le Mouvement pour la Vérité sur le 9/11 avons nous aussi d'abord vigoureusement résisté à cette preuve difficile à admettre. Nous avons notre propre histoire pour l'expliquer. Qu'est ce qui conduit à ces réactions de rejet ?
Avant de poursuivre, je tiens à préciser que les personnes qui continuent de s'opposer aux preuves qui indiquent que le 9/11 était une opération sous fausse bannière ne sont pas plus mentalement saines ou malsaines que ceux d'entre nous qui remettent en question la version officielle. Les deux groupes se composent de gens qui couvrent le spectre de la santé mentale.
Il n'est par conséquent pas utile de trouver des pathologies à ceux qui ne voient pas actuellement ce qui est maintenant très clair pour nous, tout comme ceux d'entre nous dans le Mouvement pour la Vérité sur le 9/11 ne devraient pas être rejetés et décriés comme « théoriciens du complot » - cette expression étant un moyen de défense évident envers une attaque pas si injustifiée (3)
Les professionnels de la psychologie interviewés dans le documentaire « 9/11 : les Preuves Explosives - Les experts se prononcent » réalisé par les architectes et ingénieurs de la Vérité sur le 9/11 parlent clairement de nos tendances humaines au déni afin d'éviter l'inconfort de la dissonance cognitive. Ils parlent avec compassion de nous tous. Il n'y a là pas d'injures élégantes [NdT : traduction littérale] comme peuvent parfois en user certains membres de cette profession. Et ça fait du bien.
Dans cet esprit, et dans l'esprit d'ouvrir le débat - nous autres humains sommes des créatures complexes - je vais vous faire partager ma réflexion sur les raisons pour lesquelles certains d'entre nous rejetons l'information qui les trouble.
L'histoire nous montre que pour déterminer la réalité, même les scientifiques résistent souvent de façon vigoureuse aux changements de paradigme, alors que nous considérons pourtant ces scientifiques de façon stéréotypée comme objectifs et ouverts d'esprit devant les éléments plutôt qu'enclins à se référer aux croyances. Les expériences de Gregor Mendel et la théorie en résultant sur l'héritage génétique, par exemple, a été combattue par les scientifiques de l'époque lors de son annonce en 1865, et n'a été reprise qu'en 1900 par trois autres scientifiques européens. Il apparaît que la résistance à l'information qui remet en question notre vision du monde de façon conséquente est la règle plutôt que l'exception (4) Fort heureusement, des changements finissent par se produire, la réalité consensuelle se métamorphose, parfois rapidement, parfois de façon atrocement lente.
Pour reprendre ce que je disais dans le film « 9/11 : les Preuves Explosives - Les experts se prononcent », la peur est l'émotion qui sous-tend la plupart des réactions de rejet à l'égard de l'information fournie par les sceptiques du 9/11 : la peur de savoir des choses qui feront s'écrouler notre monde, la peur d'être submergé par nos propres émotions, la peur d'un choc psychologique, la peur que nos vies ne doivent changer, la peur de découvrir que le monde est dangereux, la peur que notre réputation ne soit ternie ou la peur de perdre son emploi, la peur d'être rejeté ou banni par nos amis et notre famille, et la peur de passer pour un idiot parce que nous avons gobé aussi facilement la version officielle.
Cette dernière raison est peut-être particulièrement vraie concernant les intellectuels qui "s'identifient" souvent fortement avec leur intelligence. Aucun d'entre nous, cependant, n'aime se sentir dupé, car cela menace souvent notre identité et nous ne sommes alors pas loin de nous sentir trahis. Carl Sagan le savait quand il a dit :
« Une des plus tristes leçons de l'histoire est la suivante : Si nous avons été bernés assez longtemps, nous avons tendance à rejeter tout élément de preuve de la machination. Nous ne sommes alors plus intéressés par la découverte de la vérité. Le piège s'est refermé. Il devient tout simplement trop douloureux de reconnaître, même à nous-mêmes, que nous avons été bernés. Une fois que vous abandonnez le pouvoir à un charlatan, vous ne pouvez presque jamais le récupérer. » (5)La psychologue sociale et érudite Laurie Manwell nous rapporte que l'un de ses professeurs disait qu'il pouvait résumer le comportement humain par l'affirmation suivante : « Les gens aiment être aimés, ils aiment avoir raison, et ils aiment être libres, dans cet ordre ». Ainsi, la plupart des gens abandonnent leur besoin d'avoir raison ou d'être libres si leur besoin d'être aimé est menacé (6) Pourquoi en est-il ainsi ?
La crainte de l'isolement figure sans doute parmi les plus grandes craintes que nous recelions, bien que cela soit souvent inconscient (7) Nous sommes des êtres sociaux. Nous avons besoin des autres pour survivre, et nous avons besoin de ressentir un sentiment d'appartenance. Pour ressentir plénitude et bien-être, nous avons besoin de nous sentir reliés aux autres, d'aimer et d'être aimés. Ceci est la raison pour laquelle le ridicule et l'humiliation sont de puissantes stratégies utilisées, consciemment ou non, afin de censurer ceux dont les points de vues divergent de la « mythologie sacrée » d'une culture. Un « mythe sacré » est une histoire particulière, que l'on retrouve dans toutes les cultures, qui peut être vraie, fausse, ou partiellement vraie, et qui nous dit qui nous sommes et pourquoi nous faisons ce que nous faisons (8)
Quelle est notre mythe sacré Américain ? Il correspond à peu près à ceci : " Nous sommes vraiment une nation exceptionnelle avec des ancêtres exceptionnels. Nous nous sommes rebellés contre la tyrannie et avons établi une République démocratique, un modèle que le monde a largement accepté et imité. Notre pays est le pourvoyeur de la démocratie et de la liberté dans le monde et nos interventions dans d'autres pays sont guidées par la bienveillance. Le 11 Septembre 2001, nous avons été pris au dépourvu quand les terroristes d'Al-Qaïda, dans une attaque sournoise, semblable à celle de Pearl Harbor, ont réussi à faire s'écraser des avions commerciaux dans le World Trade Center et le Pentagone, ce qui constitue la blessure la plus importante de notre patrie à ce jour. Cependant, fidèle à l'esprit américain, nous avons immédiatement relevé le défi de frapper militairement le monde des terroristes qui nous haïssent à cause de nos libertés. Pour cela, nous avons déclaré une guerre globale sans fin contre le terrorisme. "
Commentaire : A propos de cet exceptionnalisme américain :
- La « Destinée manifeste » ou la genèse de l'exceptionnalisme américain
Si nous pouvons mettre de côté cette croyance en notre mythe sacré, examiner les preuves, puis reconnaître que le 9/11 était une opération sous faux pavillon, alors nous pouvons aussi redouter de graves répercussions de la part des autorités corrompues si nous nous exprimons à ce sujet. Une personne m'a dit un jour : « Je vous remercie tous pour tout ce que vous faites autour de la question du 9/11, mais je pense que vous comprendrez, j'ai des enfants, et je ne peux pas m'impliquer là dedans »
La peur fait partie intégrante de la condition humaine ; pour autant, si nous sommes engagés dans un processus de développement psycho-spirituel, nous ne pouvons laisser la peur dicter ce que nous faisons - ou ce que nous ne faisons pas. Nous pouvons être conscients que la peur ne doit pas guider nos vies. La plupart d'entre nous ont été traumatisés (9) en regardant l'effroyable destruction des Twin Towers, sachant qu'il y avait des milliers de nos frères humains qui étaient tués à cet instant. Certains d'entre nous avons de nouveau été profondément ébranlés quand nous avons découvert des preuves indiquant que le 9/11 pourrait être une opération sous faux pavillon.
Pourquoi certains d'entre nous comprenons l'évidence et ses implications et décidons d'être actifs, tandis que d'autres se sentent impuissants face à celle-ci ou réagissent avec indifférence ? Et pourquoi d'autres restent sur la défensive, et parfois avec virulence ? Pourquoi, en effet, après avoir entendu les preuves qui contredisent la version officielle du 9/11, certaines personnes respectables se taisent, voire pire ?
Où se situe la différence ? Comment, par exemple, certains peuvent-ils regarder le World Trade Center Building 7 -WTC 7- (10) imploser et s'effondrer sur lui-même et ne pas voir ce qu'ils ont devant les yeux - même quand ils savent à propos de son accélération en chute libre et des autres caractéristiques d'une démolition contrôlée ? Ces personnes peuvent se sentir obligées d'intensifier leur résistance en adoptant des mesures intellectuellement tordues pour se convaincre elles-mêmes, et d'autres personnes, que tout ceci n'est pas une démolition contrôlée. D'autres vont se contenter de jeter le discrédit et la honte sur tous ceux qui veulent étudier les éléments de preuve concernant le 11 Septembre et qui contredisent le mythe officiel.
C'est une vision du monde qui est sérieusement mise à l'épreuve. Qu'en est-il ? En substance, ceci a bien été décrit par les mots d'un journaliste que j'ai rencontré lors d'une action sur le terrain : « Je suis conscient que notre gouvernement fait des choses mauvaises, mais pas ça ! Pas ces tours ! Ils ne seraient pas aussi diaboliques. » Donc, nous supposons que notre gouvernement - qui est censé nous protéger, mais qui fait parfois des choses mauvaises - ne serait jamais capable de commettre des actes aussi odieux. Un homme m'a dit lors d'une présentation publique :
« Je trouve que votre déclaration affirmant que notre gouvernement a orchestré le 11 Septembre est très inquiétante et choquante. »
« Je crois que j'ai dit que l'accumulation de preuves conduisait à des éléments au sein de notre gouvernement, pas au gouvernement », lui répondis-je.
Il répliqua, avec un grand sérieux : « Cela ne fait aucune différence. Il n'y a aucune façon de me dire ça qui puisse me faire aller mieux ! »
Beaucoup d'entre nous voient inconsciemment en nos dirigeants des figures parentales sur lesquelles nous projetons nos besoins (souvent non satisfaits) d'être protégés. Culturellement, nous sommes même d'accord pour parler de « nos pères fondateurs. »
Commentaire : C'est une des grandes tragédies de notre Histoire : cette incapacité des êtres humains « normaux » à concevoir que d'autres personnes puissent ne pas être comme eux, ne pas avoir les mêmes réactions émotionnelles, empathiques, ne pas souhaiter, au moins dans sa représentation idéalisée, le travail commun en vue de la création d'un monde meilleur, pour le bien de l'ensemble de la communauté. Et c'est, on l'aura compris, ce qui fait le jeu des psychopathes du monde entier.
Les disciplines de la psychologie occidentale et de l'anthropologie ont beaucoup à offrir pour comprendre le comportement humain, mais nous devons nous rappeler que ces disciplines, aussi impressionnantes qu'elles soient, sont finalement des disciplines qui appartiennent seulement à notre culture occidentale. A l'Est et dans certaines sociétés tribales, par exemple, les gens peuvent utiliser la philosophie de la transmigration des âmes pour expliquer le comportement humain ; et les Soufis, la branche mystique de l'Islam, utilisent les neuf types de personnalité de l'Ennéagramme pour expliquer nos divers penchants humains. Rappelez-vous le proverbe des cinq aveugles, chacun touchant une partie d'un éléphant ? Chaque homme tire une conclusion quant à ce que l'objet est, selon la partie qu'il touche. Le résultat ? Cinq descriptions partielles et ridiculement inexactes de la réalité.
Par conséquent, plus nous utilisons de lentilles (prismes) différentes, plus grande est notre capacité à obtenir une image claire et plus fidèle de nos tendances humaines. Malgré tout, aux confins des opinions issues des riches disciplines de la psychologie occidentale, de l'anthropologie, de la recherche sur le cerveau, et de l'histoire, nous pouvons trouver plusieurs lentilles qui nous éclairent davantage sur l'énigme consistant à savoir pourquoi l'information qui contredit notre vision du monde est si difficile à admettre.
À travers les prismes de l'anthropologie et de la psychologie sociale, nous allons trouver des informations utiles dans les sections ci-dessous intitulées : la Diffusion des Innovations ; l'obéissance et la foi dans les autorités ; les avis divergents (double pensée) ; la dissonance cognitive ; le conformisme ; les pensées de groupe (raisonnements grégaires) ; la théorie de la gestion de la terreur ; la théorie de la justification des systèmes ; la théorie de la détection du signal ; enfin la connaissance préalable des crimes d'Etat contre la démocratie et les politiques souterraines.
À travers le prisme de la psychologie clinique, nous allons explorer les points de vue décrits dans les sections sur l'Impuissance Acquise ; le syndrome de la violence ; la Dissociation ; et l'identification excessive aux États-Unis. Deux sections sur la recherche du cerveau fourniront également des informations étonnantes sur notre nature humaine.
Commentaire : On pourra lire l'excellent ouvrage Neuro-Esclaves, de Marco Della Luna et Paolo Cioni :
- L'oligarchie nous inculque la résignation
Enfin, les sections intitulées l'Exceptionnalisme Américain ; la Manipulation gouvernementale et le Grand Mensonge ; et ceux qui manquent à la fois de conscience et d'empathie, contiennent des informations précieuses issues d'un mélange des disciplines de l'histoire, de la psychologie sociale, de la psychologie clinique et de la recherche sur le cerveau.
Permettez-moi de souligner que ce document se voudra une synthèse à la fois des rapports de la recherche universitaire et des observations cliniques. Aucune des sections ne pourra être facilement compartimentée dans une catégorie ou une autre, mais elles se complèteront les unes les autres, comme un sujet riche et complexe aura tendance à le faire.
Commençons notre voyage avec une étude anthropologique ...
(Fin de la première partie)
(Partie 2) (Partie 3)
Notes
(0) Originellement, les articles sont parus à la cadence d'un par mois sur le site des Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11 Septembre (http://www.911truth.org/). Le cadencement s'annonçant différent ici, le texte a été adapté.
(1) Un sondage Zogby révèle que plus de 70 Millions d'Américains en âge de voter soutiennent l'idée d'une nouvelle enquête sur le 11 Septembre" http://www.911truth.org/article.php?sto ... 2022041421 ; et que moins de la moitié des Américains sont satisfaits de l'enquête officielle.
(2) http://en.wikipedia.org/wiki/False_flag_operation ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Fausse_bannière
(3) Lance DeHaven-Smith, "la Théorie du Complot en Amérique" (University of Texas Press, 2013). DeHaven-Smith analyse l'histoire du développement du caractère dénigrant de l'expression « théorie du complot », en relation à une campagne de propagande orchestrée par la CIA pour discréditer les sceptiques du rapport sur la Commission Warren. Dans cette optique, l'utilisation de ce terme péjoratif peut aussi à juste titre être considérée comme une tactique offensive de la honte, et donc de la censure, envers ceux qui interrogent les instances gouvernementales officielles.
(4) Earl Staelin, JD, "la Résistance à l'innovation scientifique : ses causes et comment les surmonter", un document remis à la Conférence 2001 Intercept, entre les 6 et 9 Juillet 2001 à Laughlin, Nevada, parrainée par le Groupe Kronia. Un autre éclairage de Earl Staelin est que la plupart d'entre nous éprouvons également une inertie psychologique lorsque nous sommes confrontés à une nouvelle théorie dont nous croyons fermement qu'elle n'est pas vraie, et nous devons être convaincus que cela en vaut la peine avant d'être ouvert à cette nouvelle théorie.
Thomas S. Kuhn, "la structure des révolutions scientifiques" 50th Anniversary Edition (University of Chicago Press, 2012). Voir également http://www.scribd.com/doc/13481854/Resi ... rber-1961.
(5) Carl Sagan, "le monde hanté du démon : la science comme une bougie dans l'obscurité" (Random House Publishing Group, 1996).
(6) Tiré de la présentation de Laurie Manwell lors des audiences de Toronto, Ryerson University, 2011 : http://www.youtube.com/watch?v=V_5ZwCpN1jg.
(7) Il s'agit d'une observation et d'une interprétation personnelle, mais elles sont étayées par des récits historiques.
(8) David Ray Griffin, Ph.D., "9/11 : mythe et réalité," http://www.amazon.com/9-11-The-Myth-Rea ... B000O0YV7O.
(9) Dans ce contexte « traumatisme » est défini comme un trouble extrême ou par le fait d'avoir ses ressources internes dépassées, au moins temporairement.
(10) "Résoudre le mystère du WTC7," (with Ed Asner) : http://www.youtube.com/watch?v=hZEvA8BCoBw.
Le pourquoi est plus simple que cela, assange croupie dans une ambassade et swoden est coincé en russie et tout deux ont défiés les élites, les gouvernements sont des machines qui écrasent tout sur leur passage et ouvrir sa gueule c'est prendre un gros risque, pour éviter de très longues emmerdements on ferme donc sa gueule car après tout nous n'avons qu'une vie à vivre, les gouvernements eux se foutent de cet aspect ils peuvent vous emmerdez de manières legale jusqu'à votre dernier souffle.