Traduction copyleft par Petrus Lombard pour AlterinfoL'Institut Science and Public Policy (
SPPI) continue de poser un grave dilemme aux décideurs et au public. Il s'agit de savoir si l'on peut faire confiance aux jeux de données « corrigées » des températures extérieures et océaniques brutes qu'un personnel financé par le gouvernement continue de pondre.
Dans un nouveau
document collectif, Is The Western Climate Establishment Corrupt? (Est-ce que l'institution climatologique occidentale est corrompue ?), Le
Dr Dave Evans a réuni des preuves substantielles montrant que la corruption est devenue endémique au sein des unités climatologiques parrainées par le gouvernement.
Le Dr Evans constate que, « La création d'une autorité climatologique occidentale a permis l'accumulation d'erreurs énormes, d'erreurs de première importance et de préjugés manifestes - chaque facteur en lui même pouvant être difficile à identifier, mais la tendance est indéniable. » Evans demande : « Combien d'excuses faut-il ? »
Le Dr Evans poursuit, « Ces photos parlent d'elles-mêmes. La dégradation de la science climatique est devenue si flagrante, si manifeste, que même le profane ne peut lever la main en l'air et dire "Je ne savais pas". Vous n'avez pas besoin d'un doctorat pour savoir que c'est tricher de placer les thermomètres à proximité de sources de chaleur artificielle et d'appeler ça "réchauffement planétaire". »