OF THE
TIMES
« De petites équipes des forces d'opérations spéciales ont rejoint des ambassades étasuniennes dans tout le nord de l'Afrique dans les mois ayant précédé la violente attaque lancée par des militants, laquelle a tué l'ambassadeur des États-Unis en Libye. La mission des soldats : établir un réseau qui pourrait frapper rapidement une cible terroriste ou libérer un otage. » (Kimberly Dozier, White House widens covert ops presence in North Africa, AP, 2 octobre 2012.)Les États-Unis étendent leur armée clandestine à travers toute l'Afrique. Comme le rapportait Nile Bowie (Global Research, avril 2012), le but consiste à « balkaniser » le continent africain.
À une conférence d'AFRICOM qui s'est tenue à Fort McNair le 18 février 2008, le vice-amiral Robert T. Moeller a déclaré ouvertement que le principe directeur d'AFRICOM est de protéger « la libre circulation des ressources naturelles de l'Afrique vers le marché mondial », avant de décrire la présence accrue de la Chine dans la région comme un défi aux intérêts des États-Unis.
En 2007, le conseiller du département d'État étasunien, le Dr J. Peter Pham a affirmé que les objectifs stratégiques d'AFRICOM consistaient à « protéger l'accès aux hydrocarbures et autres ressources stratégiques abondantes en Afrique. [La] tâche [d'AFRICOM] consiste à protéger la vulnérabilité de ces richesses naturelles et s'assurer qu'aucune tierce partie comme la Chine, l'Inde, le Japon ou la Russie obtiennent des monopoles ou des traitements de faveur. (Nile Bowie, COVERT OPS IN NIGERIA: Fertile Ground for US Sponsored Balkanization, Global Research, 11 avril 2012.)
«Cette conclusion, connue du président Obama et d'autres responsables de haut rang grâce à des évaluations confidentielles du conflit syrien qui a désormais fait plus de 25.000 victimes, pose la question de savoir si la stratégie d'intervention minimale et indirecte de la Maison Blanche dans le conflit syrien atteint son objectif, qui est d'aider l'opposition qui se réclame de la démocratie à renverser un gouvernement oppressif, ou si elle sème les graines de futures insurrections hostiles aux Etats-Unis.»La situation rappellera à beaucoup celle de l'Afghanistan pendant la Guerre froide, où l'envoi de nombreux militants et armes étrangères aux moudjahidines a donné lieu à un retour de bâton et même servi de tremplin à des extrémistes ambitieux comme Oussama ben Laden.
Donc, le TSCG oblige le gouvernement à présenter son budget à la Commission européenne avant qu'il ne soit entériné par les élus du peuple. La « règle d'or » oblige à ce que ce budget réduise le déficit public dans un premier temps, à ce qu'il maintienne un déficit public à 0 % dans un second temps. En clair, en français de tous les jours, cela signifie plus de dette, donc plus d'emprunt, donc plus d'investissement à long terme. Ces investissements lourds sont pourtant nécessaires pour aménager le territoire, réduire les inégalités territoriales, maintenir la cohésion sociale. Autant d'actions qui sont indispensables à la vie des 60 millions d'habitants de ce pays.« Cette loi vise, selon le jargon de Bercy, à « encadrer la trajectoire budgétaire ». Ce qui signifie qu'elle s'appliquera à la fois au budget de l'Etat et à celui de la Sécurité sociale. Des planchers de recettes et des plafonds de dépenses seraient fixés annuellement. L'objectif étant d'atteindre l'équilibre en trois ans.
Les budgets proposés par le gouvernement et votés par le Parlement devront ensuite se conformer à cette « règle d'or », sous peine d'être annulées par le Conseil constitutionnel. »