Les Maîtres du MondeS


Star of David

Meilleur du Web: Wikileaks, une touche d'Assange et la puanteur de l'AIPAC

israël
Traduction : Nicole. Modifications : SOTT

De récents aveux selon lesquels l'AIPA, le lobby israélien, reçoit régulièrement quantité d'informations classifiées le place en tant que suspect n°1 comme source de Wikileaks

Wikileaks est comme un programme télé qui ne « décollerait » jamais. Nous avons commencé par un « butez-les » en Irak - le massacre par hélicoptère étant bien vite passé à la trappe - , et nous avons enchaîné sur... eh bien, sur quoi ? Nous avons eu quantités de documents sur l'Afghanistan, soigneusement triés pour orienter les regards vers le Pakistan. Quand s'est posée la question de corroborer tout ça, rien n'est venu.

Compte tenu de la corruption massive et des scandales liés à la drogue, et même des révélations selon lesquelles le Président Karzaï aurait été en pourparlers avec des farceurs se faisant passer pour des Talibans, toutes les infos vraiment croustillantes issues d'Afghanistan ont dû être fourrées dans un autre tiroir. Ensuite, nous avons eu l'Irak. Ah, l'Irak. Là, nous pouvions vérifier. Nous connaissons ceux qui ont rédigé le matériel fuité. Ils nous ont dit que Wikileaks l'avait édité, remanié, et encore plus expurgé que le Pentagone.

Commentaire:
« Si des citoyens bi-nationaux qui dirigent en grande partie le Pentagone travaillent de concert avec Israël ou l'AIPAC pour formuler les fuites Wiki, comme ça semble être le cas, alors la prochaine fuite servira les objectifs pro-israéliens, même si cela fait du tort aux États-Unis - comme ce fut le cas pour d'autres fuites. »
Confirmation par A + B des prédictions de Gordon Duff, via la voix des médias serviles :

Non seulement la diplomatie étasunienne en prend un petit coup dans l'aile, mais en plus, cerise sur le gâteau :
« Israël n'a subi aucun dommage à la suite des publications de WikiLeaks", a affirmé, lundi 29 novembre, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, lequel a même estimé que le pays en sortait renforcé dans ses prises de position contre l'Iran. "Il s'avère que tout le Moyen-Orient est terrifié par la perspective d'un Iran nucléaire. Les pays arabes poussent les Etats-Unis à une action militaire de manière bien plus effrénée qu'Israël", a-t-il relevé lors d'une conférence de presse. Selon ces documents, Israël, mais aussi les pays du Golfe, ont fortement incité les Etats-Unis à la fermeté pour déjouer les présumées ambitions nucléaires militaires de l'Iran, le roi Abdallah d'Arabie saoudite soutenant l'option militaire.
CQFD.


USA

Quand le FBI déjoue un attentat... du FBI

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Vendredi, les fins limiers du FBI ont empêché leur propre bombe - factice - d'exploser au beau milieu d'une fête de Noël à Portland, dans l'Oregon. Une étrange affaire... qui en rappelle d'autres, moins festives.

"Les USA ont déjoué une tentative d'attentat à la voiture piégée" (TSR). "Attentat déjoué à Portland, en Oregon" (Radio-Canada). "Les Américains déjouent un complot à la voiture piégée" (Le Figaro). "Le FBI déjoue un attentat visant une fête de Noël" (RFI). "Le FBI déjoue un attentat visant une fête de Noël" (Le Parisien). "Tentative d'attentat aux Etats-Unis" (20 minutes)... Difficile de faire plus explicite. "La population n'a jamais été menacée" mais "la menace était tout à fait réelle" affirment les autorités. C'est là que ça se gâte. Car la bombe qu'a tenté de faire exploser Mohamed Osman Mohamud, un américain (naturalisé) de 19 ans, était un engin factice fourni par le FBI itself.

Commentaire: Encore un nouvel exemple où le gouvernement US cible des jeunes vulnérables (ici, un ado de 19 ans) et les utilise pour créer de toutes pièces une menace « terroriste » inexistante. Le but étant d'effrayer la population US pour qu'elle obéisse à des mesures gouvernementales de plus en plus totalitaires.

Remarquez les aspects contradictoires de cette histoire fantasmagorique : d'un côté, on nous dit que la bombe était « fake » et que la population n'a jamais été menacée. De l'autre, le FBI affirme que « la menace était tout à fait réelle ». Un double langage orwellien qui indique le passage de ce qui était autrefois les États-Unis à un super-État policier.

Pour résumer l'incident :

FBI : « Hé, gamin, tu veux faire exploser un centre commercial ?
Le gosse : Un peu ! Après tout, j'ai des problèmes, surtout psychologiques ; et vous fabriquerez la bombe et la livrerez sur les lieux, c'est ça ?
FBI : Bien sûr, et nous te donnerons l'argent, aussi ! Tu AIMES l'argent, pas vrai ? Alors, marché conclu ?
Le gosse : Euh... bien sûr.
FBI : Eh, devine... on t'a eu ! Espèce de petit terroriste ! Alors, vous VOYEZ maintenant ? Vous, Américains de peu de foi, qui n'avez pas peur ! La menace terroriste est RÉELLE ! TREMBLEZ ! »

Ce n'est que le dernier exemple en date dans une longue histoire de machinations du FBI, où ce dernier piège des jeunes hommes et femmes pour leur faire jouer le rôle de « terroristes ». Vous vous rappelez les « Sept de Liberty City », en 2006 ?

Ce groupe légèrement dérangé de cinq immigrants amateurs d'arts martiaux chrétiens-sionistes-musulmans se dénommant « Seas of David » vivait paisiblement dans un entrepôt de Floride, attendant l'accomplissement de la prophétie biblique de la Fin des temps, jusqu'au jour où un agent du FBI sous couverture passa par là et :

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Les « Sept de Liberty City » : juste des pauvres types dupés par le FBI
- leur offrit 50 000$
- les initia à « Al-Qaïda » (avec serment d'allégeance)
- leur fournit des bottes militaires et un appareil photo
- leur suggéra qu'ils voulaient faire exploser certains bâtiments gouvernementaux et la Willis Tower à Chicago

Le chef de ce groupe de terroristes improbables, Narseal Batiste, a besoin d'une aide psychiatrique, selon son père, et même les officiels du ministère de la Justice ont reconnu que le groupe n'avait pas les moyens de mener à bien leur plan », selon Knight Ridder :
Le ministère de la Justice a dévoilé les arrestations via une série de conférences de presse dans deux villes, mais la sévérité des inculpations, comparée au caractère apparemment amateur du groupe, a soulevé des doutes parmi les défenseurs de droits civiques », qui ont noté que le groupe n'avait « ni armes, ni explosifs » mais que, pourtant, le gouvernement considérait ces arrestations et cette affaire comme une « annonce majeure ».
Deux activistes communautaires familiers du dossier et du groupe ont résumé la chose ainsi :
On a fait beaucoup de foin à propos de leurs bottes militaires... il s'avère... que c'est le FBI qui les leur avait achetées. Si vous regardez les chefs d'accusation, la plus grosse preuve... est que le groupe aurait possiblement pris des photos de plusieurs cibles dans le Sud de la FLoride. Mais ces types ne pouvaient se payer leurs propres appareils photos, alors le FBI les leur a achetés... Le FBI leur a loué les voitures dont ils avaient besoin pour descendre en ville afin de prendre les photos. En plus... les types ont fourni à l'informateur du FBI une liste de choses dont ils avaient besoin pour faire exploser ces bâtiments, mais la liste n'incluait aucun explosif ni matériau nécessaire à la fabrication d'explosifs. Alors maintenant, tout le monde à Liberty City dit en plaisantant que ces types allaient écraser le bâtiment fédéral avec leurs nouvelles bottes, parce qu'ils n'avaient pas de matériel pour le faire exploser.
Malgré ça, illustrant à merveille la bouffonnerie du système judiciaire US, le groupe a été inculpé pour avoir « planifié une guerre de terrain contre les USA », et condamné en mai 2009.

Au fait, il est intéressant de noter que le directeur actuel de la TSA, John Pistole, était le vice-président du FBI à l'époque des Sept de Liberty City, et qu'il avait supervisé leurs condamnations. Pas étonnant qu'il soit passé à la TSA, qui se sert de coups montés comme ceux des Sept de Liberty City et du jeune homme de Portland pour justifier la suppression graduelle des libertés des citoyens étasuniens.


USA

SOTT Focus: Ça sent de plus en plus l'économie crevée chez l'Oncle Sam

Traduction copyleft par Pétrus Lombard pour Alter Info

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À la veille de Thanksgiving, les versions anglaises en ligne de China Daily et People's Daily ont signalé que, pour leurs échanges bilatéraux, la Russie et la Chine ont conclu un accord d'abandon du dollar avec, à la place, leurs propres monnaies. Russes et Chinois ont dit avoir pris cette mesure pour protéger leurs économies contre les risques qui ont sapé leur confiance à l'égard du dollar comme monnaie de réserve mondiale.

Il s'agit d'une information importante, surtout pour l'actualité de la période engourdie des vacances de Thanksgiving, mais je ne la vois pas rapportée sur Bloomberg, CNN, le New York Times, ni nulle part ailleurs dans nos médias. L'autruche garde la tête dans le trou.

La Chine avait conclu plus tôt le même accord avec le Brésil.

Comme la Chine a une gros tas grandissant de dollars provenant de ses excédents commerciaux, elle signale préférer du rouble russe et du real brésilien à encore du dollar.

La presse financière zunienne trouve une consolation dans ces épisodes où la peur de la dette souveraine dans l'Union européenne envoie le dollar contre l'euro et la livre sterling. Mais ces aventures monétaires ne sont que des mesures d'acteurs financiers spéculant (shorting) sur la dette libellée en euros en difficulté. Il ne s'agit pas de mesures de renforcement du dollar.

Eye 2

Meilleur du Web: Vous êtes un terroriste, ce sont des Dieux

Tandis que le mythe du terrorisme international organisé part en lambeaux, les méthodes de sécurité employées dans les aéroports Américains deviennent de plus en plus envahissantes et intrusives. Ces « fouilles-palpations » sont en train d'être généralisées, heureusement nombre de voyageurs et d'organisations les dénoncent, fustigeant une violation de la vie privée et une humiliation du citoyen moyen de plus en plus évidente..


People

Meilleur du Web: La Stratégie du Choc

Enfin le film basé sur le livre de Naomi Klein...


Star of David

Assassinat de Rafik Ariri, une nouvelle piste mène vers les services secrets israéliens

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© Planète Non Violence
Les dernières fuites du TSL dans l'affaire Hariri permettent d'ouvrir une nouvelle piste repoussée auparavant par le TSL, qui a fait appel aux renseignements de services secrets occidentaux dont les commanditaires de l'assassinat : Les services de renseignements israéliens. L'acte d'accusation du TSL sera-t-il le « dindon de la farce » de Thanksgiving ou de Noël ?

USA

SOTT Focus: La puanteur de l'hypocrisie étasunienne, partie 2

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info

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Dans un article récent, « La puanteur de l'hypocrisie étasunienne » je constatais que les responsables publics et les médias montent sur leurs grands chevaux au sujet de la primauté du droit en Birmanie au moment où, ici, l'abolition du principe de légalité se fait en douce. Le Zunien aime bien s'en prendre à des étrangers pour les turpitudes de son pays. À vrai dire, l'hypocrisie est devenue une singularité de chez nous.

L'hypocrisie est si banale ici aujourd'hui qu'on ne la remarque plus. Voyez la star de rugby zunien Michael Vick. Lors d'un match récent, dominant totalement le jeu, Vick a marqué 6 essais. Sa performance ayant atteint de nouveaux sommets d'adulation, la Radio publique nationale s'est montrée épatée du fait que le public sportif ne faisait pas montre d'une attitude plus ferme envers un bourreau de chiens qui a croupi un an et demi au bagne pour avoir monté des combats canins.

Je n'approuve certes pas la maltraitance animale. Seulement, où est l'indignation à l'égard de la torture perpétrée par le régime ? Comment le régime peut-il emprisonner quelqu'un pour sévices canins, tout en faisant l'autruche devant la torture perpétrée sur des individus par ses membres ?

Cult

Meilleur du Web: L'imminente destruction de la France sous l'empire franc-maçon matérialiste

« Que vous soyez blanc, jaune ou noir, nos temples vous sont ouverts, à la seule condition toutefois , qu'au dessus de vos croyances et de vos convictions, que nous admettons et que nous respectons, vous partagiez notre croyance millénaire et traditionnelle en l'existence de la perfection ». Ainsi fut présentée la Franc-Maçonnerie par le Grand Maître de la Grande Loge de France en 1959, il y a un demi-siècle (1). Des obédiences qui entendent placer la « perfection » au dessus de toute conviction, et c'est tout à leur honneur, devaient être des parangons de vertu. Les années ont passé depuis cette déclaration, et plus encore depuis la constitution d'Anderson. Ceux qui se situaient « au-dessus de toutes croyances », les frères de ladite Franc-Maçonnerie, ont été tachés par quelques « affaires » ; rien de bien grave, selon eux, quelques moutons noirs, vite écartés ... Mais ces petites taches s'estompent pour devenir insignifiantes derrière ce fond obscur que l'histoire officielle n'a jamais dévoilé. Peut-être même toutes ces petites magouilles fraternelles eurent-elles intérêt à apparaître de temps à autre, pour détourner l'attention, et pour masquer les abysses qui les génèrent ... Chroniques d'un pouvoir sombre qui détruit la France de longue date...

Star of David

Espionnage de l'AIPAC, pouquoi le FBI regarde-t-il de l'autre côté?

Traduit par Nicole pour Les attentats du 11 septembre vus par une conspirationniste

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Est-ce que l'AIPAC a fait du FBI, le « FBE », le bureau fédéral de l'espionnage?

L'AIPAC est une imposture. Le groupe a, au fil des ans, détruit quiconque a tenté de le faire nommer pour ce qu'il est réellement, un dangereux lobby étranger et un nid d'espions. L'AIPAC est l'organisation la plus crainte de Washington et la plus puissante, au-dessus de toute loi. Un ancien employé de l'AIPAC, Steve Rosen, dont l'AIPAC prétend qu'il était un espion, de façon plus appropriée un espion "qui s'est fait pincer", affirme aujourd'hui que son ancien employeur ne fait rien d'autre qu'espionner.

Rosen demande 20 millions de $ dans sa plainte en diffamation contre l'AIPAC. Il est loin de n'avoir aucun argument, mais nous avons aussi appris que Rosen a une documentation considérable concernant les informations classifiées que l'AIPAC reçoit et diffuse, documentation reçue de, et bien, ce que nous devons appeler des traîtres au sein du gouvernement US.

Il dit aussi que le FBI peut l'aider à prouver ce qu'il affirme parce qu'il en est informé depuis l'origine.

Eye 1

Flashback Alerte citoyenne: Non à ACTA stop au Kraken


Une animation infographique pour expliquer les dangers démesurés du traité ACTA envers un Internet libre et ouvert. Mobilisons-nous avant que le Net ne soit verrouillé, filtré, censuré !

Version originale

Traduction française : CaptainKiller, Mary, Zest.

Musique : Yoav - Where Is My Mind (Pixies cover) / Maylynne - Catch Me (The Scene)