Les Maîtres du Monde
Dans ce message, les responsables israéliens soulignent qu'il est de "l'intérêt de l'occident" et de "l'ensemble du Moyen Orient de maintenir la stabilité du régime en Egypte", a ajouté journal.
"Il faut en conséquence freiner les critiques publiques à l'encontre du président Hosni Moubarak", a souligné ce message envoyé à la fin de la semaine, selon le journal.
Le régime Moubarak en voie d'effondrement devant un mouvement de contestation nationale... Quel avenir pour l'Egypte et le monde arabe ?
"Les dictateurs ne dictent pas, ils obéissent aux ordres". Ceci est vrai en Egypte, en Tunisie et en Algérie. Les dictateurs sont de maniere invariable des marionnettes politiques. Ils ne décident pas. Le président Hosni Moubarak fut un serviteur fidèle des intérêts économiques occidentaux, tout comme le fut Ben Ali. Le gouvernement national est l'objectif du mouvement de protestation. L'objectif est de se débarrasser de la marionnette plutôt que du marionnettiste. Le slogan en Egypte est "A bas Moubarak, a bas le régime". Aucun posters anti-américains n'ont été notés. Le phagocytage et l'influence destructrice des Etas-Unis en Egypte et a travers le Moyen-Orient est sans précédent. Les puissances étrangères qui operent derrière la scène sont protégées du mouvement de protestation.
Aucun changement politique d'importance ne se fera sans que le problème de l'interférence étrangère ne soit adressée de maniéré conséquente par le mouvement de protestation.
En février 2002, le Renseignement britannique signala que le Mossad israélien dirigeait les cellules de pirates de l'air arabes qui furent ensuite accusées par la Commission sur le 11/9 de l'exécution des attentats aériens du World Trade Center et du Pentagone. Nous avons reçu les détails de ce rapport du Renseignement britanniques, qui avait été étouffé par le régime de l'ancien premier ministre britannique Tony Blair.
Dans les mois précédant le 11/9, une unité du Mossad composée de six Juifs natifs d'Égypte et du Yémen a infiltré les cellules d'Al-Qaïda de Hambourg (la cellule Atta-Mamoun Darkanzali), de Floride du Sud, et de Sharjah dans les Émirats arabes unis. Non seulement le Mossad a infiltré les cellules, mais il a commencé à les organiser et à leur donner les ordres spécifiques qui aboutirait finalement le 11/9 à leur présence à bord des quatre vols réguliers en provenance de Boston, Washington Dulles, et Newark dans le New Jersey.
Formée de six Israéliens, l'équipe d'infiltration du Mossad comptait deux cellules de trois agents. Pour leur futur contrôle et manipulation de cellule Al-Qaïda, tous avaient reçu une formation spéciale dans une de leurs bases du désert du Néguev. Une cellule du Mossad s'est rendue à Amsterdam où elle s'est mise sous le contrôle opérationnel du poste du Mossad Europe, opérant à partir du complexe d'El Al à l'aéroport international de Schiphol. Se rendant ensuite à Hambourg, cette unité de trois hommes du Mossad a pris contact avec Mohammed Atta, qui a cru qu'elle était envoyée par Oussama Ben Laden. Elle était envoyée en réalité par le chef du Mossad, Ephraim Halevy,.
Craig J. Spence, membre du parti républicain, a reconnu qu'il faisait venir des garçons à la Maison Blanche, sous le prétexte que ceux-ci étaient des membres de sa famille. Il a déclaré que ces rencontres de minuit de la Maison Blanche étaient « arrangées » par des personnes politiques de hautes fonctions comme Donald Gregg, secrétaire pour la Sécurité Nationale ou Charles K. Dutcher, directeur associé du personnel de la Maison Blanche.
Ces documents font clairement ressortir à la fois les préparatifs d'Israël en vue d'une autre guerre majeure dans la région et le soutien inconditionnel de membres du Congrès, démocrates et républicains, qui, apparemment, se sont assujettis aux exigences du sceau du secret de l'Etat d'Israël.
Aftenposten, principal quotidien norvégien, a rapporté le mois dernier qu'il détenait les 250.000 dépêches diplomatiques secrètes obtenues par WikiLeaks et a commencé à publier des articles fondés sur ces documents sans publier les dépêches elles-mêmes.
Une petite animation pleine d'humour et très pertinente.
Le 4 octobre 2010, un drone de l'armée américaine lance un missile à la frontière pakistano-afghane. Au moins trois personnes, de jeunes hommes, sont tuées au cours de cette attaque. Cela n'a rien d'inhabituel dans la région. Parmi les victimes figure toutefois un Allemand. Voilà qui n'est pas habituel.
Bünyamin E., 20 ans, était soupçonné de suivre un entraînement dans un camp terroriste. Le parquet de Düsseldorf enquêta sur lui. Après sa mort toutefois, personne n'enquêta sur ceux qui l'avaient tué, ni sur les soldats américains qui commandaient le drone à distance, ni sur leurs supérieurs.
Dans la guerre « par la tromperie, » selon la devise qui a longtemps guidé les planificateurs de guerre israéliens, le timing est tout. Dès que les objectifs géopolitiques d'Israël sont menacés, le chaos est assuré. Dans la terminologie de la sécurité nationale, l'attentat du 24 janvier dans l'aéroport le plus fréquenté de Moscou était un « redéploiement de la dramaturgie. »
Parmi les priorités de Tel-Aviv, la première est de maintenir l'attention sur la dernière chimère géopolitique d'une « guerre mondiale contre le terrorisme, » contre l'« islamo-fascisme. » Le fait que les deux dernières guerres livrées par l'Amérique servent les objectifs israéliens, reste largement non mentionné dans les médias occidentaux.
Six jours avant l'attentat de Moscou, le président russe Dmitri Medvedev s'est rendu en Cisjordanie pour reconnaître un État palestinien ayant pour capitale Jérusalem-Est. Il a relevé explicitement que « c'était la première visite d'un président russe en Palestine non associée à la visite d'un autre pays » (Israël).

Silvio Berlusconi est accusé d'avoir eu des relations sexuelles tarifées avec une mineure, Karima el Mahroug alias Ruby. © ABACA
Les ennuis de Silvio Berlusconi se sont encore aggravés jeudi avec de nouvelles révélations sur ce que la presse italienne nomme déjà le "Rubygate". De nouveaux documents montrent qu'à part Ruby, la jeune Marocaine au coeur de l'enquête visant le président du Conseil italien pour prostitution de mineure, une autre adolescente a participé à des fêtes osées chez lui fin 2009. Il s'agirait d'Iris Berardi, une Brésilienne née le 29 décembre 1991 et présentée par les enquêteurs comme une "prostituée notoire". Elle était mineure quand elle se trouvait dans ses villas en Sardaigne et près de Milan en novembre et décembre 2009, selon ces documents cités par les médias. Ce n'est pas tout : le parquet de Milan affirme détenir des "éléments probants" sur le versement d'argent et la fourniture de logements gratuits par le magnat à des dizaines de jeunes femmes en contrepartie de prestations sexuelles dans ses résidences. Et les juges ont transmis 220 nouvelles pages de documentation à une commission parlementaire pour obtenir la perquisition de bureaux d'un comptable du Cavaliere rattachés à son activité de député.