Traduction : SOTTSelon la science officielle, Homo est le genre des grands singes humanoïdes dont une seule espèce a survécu jusqu'à nos jours - « l'homme moderne » ou Homo Sapiens. Aussi étrange que cela puisse paraître, la grande majorité des sept milliards et quelques membres de cette espèce qui occupent actuellement la planète Terre se croient être les créateurs actifs, et les participants, de ce qu'ils appellent une « civilisation hautement avancée ».© Inconnu
Pourtant, il reste quelques membres de cette espèce qui, contrairement à la majorité de leurs compagnons
sapiens qui se sont défaits de leurs ennuyeuses capacités de pensée critique en faveur d'une approche de la vie somnambulique, peuvent voir très clairement que cette « civilisation particulièrement avancée » est en fait une société où, pour paraphraser l'hypnotiseur Michael Ellner, « tout est renversé, tout est sens dessus dessous ; les médecins détruisent la santé, les juristes détruisent la justice, les psychiatres détruisent les esprits, les scientifiques détruisent la vérité, les grands médias détruisent l'information, les religions détruisent la spiritualité et les gouvernements détruisent la liberté ».
Si l'on met de côté l'illusion du « grand progrès de la civilisation » et que l'on observe réellement ce qui se passe de nos jours dans le monde autour de nous, il devient difficile de trouver un sens aux relations interhumaines, de ne rien dire de nos relations avec les autres espèces avec qui nous partageons cette planète. La science officielle repousse systématiquement les bornes de la crédulité et de manière souvent trompeuse en ce qu'elle rejette les nombreux artefacts et vestiges anthropologiques et archéologiques bizarres et « incongrus » qui ont été découverts sur toute la planète ces dernières décennies. Si la science conventionnelle refuse de prendre en compte toutes les preuves disponibles dans sa tentative de fournir une théorie des origines de l'humanité, comment pouvons-nous espérer jamais comprendre la véritable position de notre espèce au sein de l'ensemble du règne animal sur Terre ?
Commentaire: Voir aussi :
Le mythe végétarien
Le mythe végétarien, ou pourquoi le végétarisme ne sauvera pas le monde
Revue de livre - Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité
Les deux merveilleux livres de Rupert Sheldrake, L'âme de la nature, 1991 et 2001 pour la 2e traduction française (Édition Albin Michel), et Les pouvoirs inexpliqués des animaux - Pressentiment et télépathie chez les animaux sauvages et domestiques, 1999 et 2001 pour la traduction française (Édition du Rocher).