La première éclipse solaire de l'année aura lieu demain matin. Elle sera visible en France, mais ne sera que partielle. Attention aux yeux !

Un fort tremblement de terre de 7,1 de magnitude a secoué dimanche en fin d'après-midi le centre du Chili, provoquant des mouvements de panique mais ni victimes, ni dégâts graves selon les informations communiquées par les autorités.

Les inondations qui recouvrent de larges parties de la côte nord-est de l'Australie constituent une "catastrophe aux proportions bibliques", a déclaré dimanche le responsable des Finances de l'Etat du Queensland.

De fortes chutes de neige se sont abattues entre le 31 décembre et le 1° janvier le Japon. Le plus gros des chutes de neige a été observé sur la côte ouest de l'île.

Dans la préfecture de Tottori, plus de 40 cm de neige étaient relevés, ce qui a eu pour conséquence de paralyser totalement le trafic ferroviaire.
Plus de 1000 personnes ont passé la nuit dans des trains complètement bloqués sur les rails à cause du mauvais temps.
Sur l'autoroute, au niveau de la ville de Daisen, c'est un camion-citerne qui a dérapé, créant un embouteillage d'un millier de véhicules.

Le tremblement de terre s'est produit à 6h56 heure locale (10h56 heure française), sans faire ni victimes ni dommages.

40 tornades ont été répertoriées ce vendredi pour le dernier jour de l'année , entre les états américains de l'Illinois, de l'Arkansas, du Missouri et plus au sud dans l'état du Mississippi.
Les autorités ont annoncé la mort d'au moins 3 personnes dans le nord-ouest de l'Arkansas, près du comté de Cincinnati, et trois autres lors d'une tempête engendrée par le même système météo qui a frappé le Missouri, près de Rolla.

Tôt ce samedi, deux personnes ont été blessées dans le centre du Mississippi et plusieurs maisons ont été endommagées par une tempête dans le comté de Attala.

Dans l'Illinois, une tornade a touché le sol à Saint-Petersburg, nord-ouest de Springfield, où environ une vingtaine de maisons ont été endommagées - certaines gravement - et une femme a été blessée quand sa voiture a été heurtée par une branche d'arbre.

Ces phénomènes violents, ont été produits par la collision de deux masses d'air, l'une assez chaude sur le sud-est des États unis avec des relevés de températures de 23 à 30°C près du Golfe du Mexique et 25 à 26°C en Floride, et des températures largement négatives présentes sur le centre du pays.

Le temps passe, mais ils se trouvent toujours à cinq ou sept années d'avoir la bombe. » -- Shlomo Brom, conseiller adjoint à la sécurité nationale sous l'ex-Premier ministre Elud Barak.

Tandis que les politiciens israéliens continuent de battre le tambour de guerre contre ce qu'ils (eux-seuls à présent) prétendent être une menace imminente d'un Iran à la capacité nucléaire, une rhétorique hystérique très semblable est utilisée pour essayer de nous convaincre d'une menace très différente mais également catastrophique contre la vie sur Terre - « le changement de climat ». Les catastrophistes nous disent qu'il nous reste dix ans, au mieux, pour inverser la destruction inévitable ou faire face aux conséquences sinistres de villes sous les eaux, tremblements de terre, tsunamis et maladies tropicales redoutées, sinon racistes, se déplaçant vers le nord. En recherchant cet article, je suis tombé sur un blogue qui présente un argument très frappant :

Tout à fait en dehors de la science, une chose que je trouve suspecte sur le catastrophisme du climat est comment ce changement délétère massif et terrible est supposé être devant nous, et pourtant (par ce qui me frappe comme une coïncidence étonnante) on nous dit toujours que nous sommes capables de l'arrêter, mais seulement - et là le speaker prend invariablement l'air pressant d'un commentaire de pub TV - si nous agissons à cette minute même. C'est étrange, étant donné que nous sommes soumis à ce qui semble être (du point de vue catastrophique) un scénario de la fin des temps inévitable qui se développe depuis la Révolution industrielle. Étant donné l'échelle de temps et les incertitudes énormes impliquées, vous penseriez que des prédictions du moment exact du « point de non-retour » doivent impliquer une marge d'erreur assez significative. Prenant cela en considération, il est étrange qu'il ne semble pas y avoir un seul partisan du changement de climat qui dise « Foutaises ! Ça ne me fait pas plaisir de vous dire ceci, mais il est trop tard depuis un ou deux (ou dix ou cinquante) ans et il n'y a fondamentalement rien que nous puissions faire maintenant. » En ajoutant peut-être : « Nous pourrions aussi bien sortir avec style - que tout le monde aille chez le concessionnaire de 4x4 ! » ou « Rassemblons 10 000 de nos meilleurs amis et prenons l'avion pour Bali pour y faire une grande fiesta ! »

Texte ci-dessous rédigé par SOTT.

Lord Stirling nous donne l'information finale sur la façon dont la tragédie de BP a affecté le climat mondial. 8 à 10 km au-dessus du niveau de la mer, le Jet Stream est porté par les eaux qui se trouvent en dessous (le Gulf Stream), causant (ou aggravant) un climat extrême en Russie, et en Amérique du Nord et du Sud.

Cela ne présage rien de bon ; il est possible que la froideur des sols persiste jusqu'en mai/juin, au lieu de janvier/février. Il faut s'attendre à de mauvaises récoltes. En bref, nous sommes au bord d'une nouvelle ère glaciaire.

Tout cela grâce à la prétention démesurée et l'avidité sans limites des psychopathes gouvernementaux et corporatistes. Le glas vient de sonner pour une grande partie de la vie sur Terre.

La NASA semble passer beaucoup de temps à rechercher et à réfléchir à des moyens pour dévier des astéroïdes errants qui pourraient éventuellement percuter la Terre. Ils continuent cependant à rassurer le public que la probabilité d'être réellement heurté par un astéroïde est extrêmement faible. Alors pourquoi toute cette attention ?

Pour David Morrison, un scientifique senior de la NASA, la Terre orbite autour du Soleil dans une sorte de stand de tir cosmique. Plus d'un million d'astéroïdes tournent autour du Soleil, et c'est le travail de Morrison de comprendre lequel de ces morceaux de roche, poussière et métal pourrait venir s'écraser sur la Terre.

SUVA, mardi 28 décembre 2010 (Flash d'Océanie) - Un séisme d'une magnitude mesurée à 6,3 sur l'échelle ouverte de Richter s'est produit mardi entre les îles Fidji et Tonga, rapporte l'institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
Cet événement sismique s'est produit à 21h34 locales (GMT+13), à une importante profondeur de 550 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, selon les mêmes sources.
L'épicentre a été localisé à 610 kilomètres au Sud-sud-est de la capitale fidjienne Suva et à 535 kilomètres à l'Ouest-sud-ouest de la capitale tongienne Nuku'alofa.