« La décision de Biden de saboter les pipelines est intervenue après plus de neuf mois de débats très secrets au sein de la communauté de sécurité nationale de Washington...»
NORD STREAM
Le centre de plongée et de sauvetage de la marine américaine se trouve dans un endroit aussi obscur que son nom, sur ce qui était autrefois un chemin de campagne dans la ville rurale de Panama City, une station balnéaire en plein essor dans le sud-ouest de la Floride, à 70 miles au sud de la frontière de l'Alabama. Le complexe du centre est aussi indescriptible que son emplacement : une structure en béton terne datant de l'après-guerre qui ressemble à un lycée professionnel de la banlieue ouest de Chicago. Une buanderie et une école de danse se trouvent de l'autre côté de ce qui est maintenant une route à quatre voies.
Est-il vrai que « le 11 Septembre était une opération interne » (9/11 was an inside job) ? Oui, dans la mesure où Israël est « à l'intérieur » des États-Unis. Mais pour les chercheurs dissidents qui ont identifié Israël comme le principal responsable, la thèse inside job est une partie intégrante de l'opération sioniste, un peu comme un faux drapeau secondaire cousu en doublure sous le faux drapeau d'Al-Qaïda.
Un authentique mouvement pour la vérité aurait désigné Israël comme le principal suspect dès le départ. En effet, dès le premier jour, il était évident qu'Israël était le principal bénéficiaire. Le jour même des attentats à 13 heures, heure de New York, George Friedman (« né à Budapest, en Hongrie, de parents juifs qui ont survécu à l'Holocauste », nous informe Wikipédia) se réjouissait sur son site géopolitique Stratfor :
La guerre se prolongeant, l'« Occident » fait évoluer le concept de « démocratie » et « couvre » la vénération de l'État ukrainien « allié » pour ses criminels de guerre et d'avant-guerre. Ainsi érige-t-il le nazi ukrainien Stepan Bandera (1909-1959) en héraut de l'« indépendance ukrainienne » : léger défaut qu'il lui pardonne autant qu'à la « démocratie » ukrainienne post-Maïdan la promotion des groupements nazis et les coups de gourdin que le multi-millionaire Zelenski, digne successeur du milliardaire Porochenko, administre au peuple ukrainien : destruction du code du travail, des horaires aux salaires, et interdiction des partis et journaux d'opposition, requis par les « investisseurs » états-uniens.
À ma grande surprise, j'ai reçu plus de 1 200 commentaires, dont la plupart me disaient avoir vécu la même chose que moi. En voici un minuscule échantillon, pour vous donner une idée :
« Effectivement, j'ai aussi contracté ce nouveau virus sans nom. Je ressens une fatigue comme je n'ai jamais connu. » (Didier)
« Je suis toujours sous antibiotiques à cause d'une toux qui ne veut pas partir. Je n'ai jamais eu de tels symptômes de ma vie. » (Ratiba)
« Toujours pas remise. J'ai 60 ans et je n'ai jamais été malade comme ça ! Très très bizarre cet état. » (Evelyne)
« J'entame la troisième semaine d'une espèce de grippe - bronchite, qui ne veut pas se déloger. Ça perdure, je n'ai jamais vu ça. » (Trish)
Penseur scandaleux pour les uns, intellectuel visionnaire pour les autres, « rebelle destroy » selon ses propres termes, Emmanuel Todd ne laisse pas indifférent. L'auteur de La Chute finale, qui prédisait dès 1976 l'effondrement de l'Union soviétique, était resté discret en France sur la question de la guerre en Ukraine.
Les météorologues pensent que le changement climatique anthropique a renforcé La Niña, et déclenché ce qu'ils appellent le Greenland Block, une large zone de haute pression centrée sur le Pacifique nord associée à une zone de pression atmosphérique plus faible que d'habitude centrée sur le Pacifique occidental. Ils avancent même qu'il s'agit là du principal facteur qui expliquerait les records de froid glacial dans l'hémisphère nord cet hiver. Et pourtant, nous avons aujourd'hui les connaissances qui expliquent ces phénomènes : le Soleil façonne le climat, et la tendance d'un froid global pourrait s'intensifier dans les toutes prochaines années.
Les partisans du réchauffement climatique ont également souligné que la glace de mer de l'Antarctique a atteint son étendue la plus faible jamais enregistrée à la fin du mois de décembre. Pourtant, lorsque l'on regarde sur le long terme, la glace de mer de l'Antarctique affiche toujours une tendance à la hausse. En outre, la couverture neigeuse globale dans l'hémisphère nord est la deuxième plus élevée de ces 17 dernières années.
Dans sa critique de ce livre, le philosophe Eric Werner a souligné l'aspect le plus inquiétant de la guerre au XXIe siècle : son irruption dans l'espace intérieur des sociétés, sa transformation en une guerre du « tous contre tous », sans limites et sans règles. En tant qu'historien et stratège, Wicht « ne se contente pas de décrire les transformations en question, mais les relie à l'évolution globale de nos sociétés, montrant qu'elles sont la conséquence de bouleversements plus profonds. »
Nous sommes aujourd'hui les témoins directs de ces bouleversements profonds, au quotidien. Depuis la publication de son livre, des événements aux proportions tectoniques se sont produits. Il nous a semblé utile de faire le point sur l'esprit et les modalités de l'autodéfense à l'heure du retour de la guerre « conventionnelle » entre forces armées. [Cet entretien est réalisé par Laurent Schang, qui dirige la maison d'édition Éditions Polémarque, à Nancy, France, et Slobodan Despot, basé en Suisse, qui publie le magazine Antipresse.] Un grand merci à Arnaud Imatz et Jean-Cyrille Godefroy, qui ont rendu tout cela possible.
Commentaire: Vous pouvez lire la seconde partie ici