Depuis l'affaire du covid, l'OMS puis l'OTAN ont publié plusieurs rapports autour de ce qu'ils appellent là-haut les « fake news » et
l'OTAN se targue de mener des opérations de propagande contre la population civile européenne pour qu'elle adhère à son agenda. Un retour aux grandes années du stay-behind, mais cette fois de manière affichée.
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L'OTAN est connue pour être une structure militaire, chargée de la protection des pays ayant signé le Traité de l'Atlantique nord.
On a vu avec les réseaux stay-behind qu'elle s'est aussi mêlée de politique et de propagande, mais c'était encore discret. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas : l'OTAN dispose d'un «
Centre d'excellence de la communication stratégique » (STRATCOM) qui forme les journalistes et leur fournit des outils pour exercer cette nouvelle et étrange forme de « journalisme » qu'est le « fact checking ».
On voyait bien dans les derniers exercices « pandémiques » que les préoccupations étaient de plus en plus focalisées sur le contrôle de l'information pour faire accepter les mesures liberticides variées et permettre la « vaccination ».
L'OMS a été leader dans cette stratégie de propagande et de censure des paroles critiques. Dès
le 31 mars 2020 elle alertait sur les « fausses informations » en matière de covid et de traitements.
Commentaire: Toutes les emphases sont de Sott, sauf précision de l'auteur.
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