Walter Chesnut se décrit comme un chercheur amateur passionné depuis toujours par les maladies rares — cependant il est suivi et échange avec un grand nombre de scientifiques de premier rang. Il a pu constaté que le Covid-19, quelle que soit son origine, est l'une des maladies les plus complexes auxquelles l'humanité ait jamais été confrontée et qui, d'après lui, induit de nombreuses maladies rares. Son objectif est de fournir des informations utiles et approfondir notre compréhension de ce nouveau coronavirus.
Télomères
© Inconnu
Walter M. Chesnut a publié un article intitulé « Le régime alimentaire et l'exercice physique pourraient-ils réduire le risque de syndrome Covid-19 ? »

Nous évoquons avec lui son hypothèse : la fameuse protéine Spike aurait pour effet « un vieillissement avancé, accéléré, une neurodégénérescence plus marquée » des cellules qu'elle atteint. Une sénescence, par un raccourcissant les télomères (extrémité des chromosomes). Une thèse aux conséquences vertigineuses, dès lors que nous ne sommes pas certains que la protéine Spike se cantonne aux cellules qu'elle cible, et que certains scientifiques affirment qu'elle se répand dans tout l'organisme.

Walter Chesnut partage aussi d'autres aspects de ses travaux, notamment sur la glycémie dans le Covid-19 : ses positions comportent encore de nombreux points d'interrogation, mais ses hypothèses ont trouvé un certain écho dans la communauté scientifique.
Note des éditeurs : Les télomères sont des morceaux d'ADN qui se trouvent aux extrémités des chromosomes. La longueur de ces télomères est variable selon l'âge et surtout selon les individus. Les télomères maintiennent la stabilité des gènes. Au fur et à mesure de la division de cellules, ils ont tendance à se raccourcir et à perdre leur rôle protecteur. Ils sont donc plus courts chez les personnes plus âgées, mais aussi dans le cas d'inflammation et de stress. On a remarqué que leur longueur était plus faible chez les personnes gérant mal leur apport de glucose.

À noter que dans la vidéo doublée en français qui suit, Walter Chesnut évoque la glycémie et le fait que sous cétose, les cétones empêchent les télomères d'être raccourcies. Il entre plus dans les détails quant à ce qui précède que ce que nous en disons ici.

Voir aussi notre article sur les découvertes du chercheur amateur : Walter Chesnut : « Les injections anti-Covid accélèrent le vieillissement et seront encore plus mortelles si répétées », et ceux relatifs aux télomères : Si l'on considère par ailleurs les propos de Walter Chesnut dans la vidéo qui suit, il apparaît que les cellules touchées par la protéine Spike, que cette dernière soit issue du virus créé en laboratoire ou des soi-disant « vaccins » anti-Covid-19 conçus paraît-il pour remédier à la maladie, se comportent un peu comme si elles étaient touchées par des radiations, tout comme le sont celles soumises à la chimiothérapie et à la radiothérapie dans le cadre d'une « lutte » contre le cancer — rappelons que ces deux moyens de lutter contre les cellules cancéreuses échouent dans plus 90 % des cas.

Voir aussi :
Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :


La version originale en anglais :


Walter Chesnut est sur Twitter @Parsifaler et ses travaux peuvent être consultés sur son site : wmcresearch.org

Source de l'article publié le 28 août 2021 : FranceSoir