Les Maîtres du MondeS


Bomb

SOS - Stan Maillaud, mon compagnon, disparu après un probleme avec les gendarmes

Les faits

Samedi, 22.09.2012 : Pendant que Stan, moi et notre équipe faisait une enquête sur les réseaux pédophiles et sataniques dans la région de Besançon, le fourgon de son équipier dans lequel Stan se trouvait se faisait suivre par deux voitures de gendarmes vers 15 heures. J'ai vue les feux bleus et j'ai entendu leur sirène.

Ce que j'ai appris plus tard, c'est que Stan a pu s'échapper, comment, je ne le sais pas exactement. Son équipier était bloqué avec les gendarmes jusqu'à 20 heures.

Il a vue que des équipes avec chien étaient envoyées derrière Stan. Un hélicoptère était commandé, puis annulé à cause du brouillard.

Notre équipe a essayé de retrouver les deux, puisque tout contact était interrompu. Vers 19 heures on a retrouvé le fourgon de son équipier à la gendarmerie d'Amancey. (Environ 20 km au sud de Besançon).

Commentaire: Le documentaire de Stan Maillaud "Les réseaux de l'horreur" a été publié par Sott à cette adresse.


Bomb

Un seul trader a émis 4% des ordres de bourse la semaine dernière

La finance façon Mario Kart : un mystérieux (et unique) programme informatique a passé 4% des ordres de bourse aux Etats-Unis la semaine dernière...

Vader

SYRIZA resserre ses liens avec l'Union européenne alors que l'austérité s'intensifie en Grèce

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« L'homme, qui il y a quelques mois encore alimentait les cauchemars des dirigeants de l'UE, a l'air tout à fait modéré. Alexis Tsipras est assis dans une salle de réunion du parlement européen à Bruxelles, bien brossé et bien peigné et affichant un sourire aimable. Il n'a rien en commun avec un agitateur ou un combattant de la lutte des classes. S'il portait une cravate, il pourrait passer pour un Grec du genre Markus Söder [politicien bavarois de droite]. »
Tels sont les mots choisis par le quotidien ultra-conservateur Frankfurter Allgemeine Zeitung pour décrire le président de la Coalition de la Gauche radicale grecque (SYRIZA). Ils reflètent non seulement la propre attitude amicale de Tsipras envers l'Union européenne (UE) mais aussi l'attitude positive adoptée par les classes dirigeantes européennes à l'égard de son organisation. Plus les luttes de classes s'intensifient en Europe et plus les forces pseudo-gauches telles SYRIZA sont invitées à encourager les illusions selon lesquelles la classe dirigeante elle-même résoudra la crise dans des termes favorables aux travailleurs.

La semaine passée, Tsipras avait fait une tournée à travers l'Europe, prenant la parole d'abord devant le Parlement européen puis plus tard à Bruxelles avec son président, le social-démocrate allemand Martin Schulz. Schultz avait chaleureusement accueilli son invité. Tsipras a ensuite pris la parole le samedi 29 septembre devant un rassemblement à Hambourg en soulignant que son parti n'était pas opposé aux institutions de l'UE et cherchait plutôt à les soutenir. Tsipras avait déjà rencontré il y a quelques semaines Horst Reichenbach, le chef de la « task force » de l'Union européenne pour la Grèce.

Propaganda

Venezuela : parfois, les manips politico-médiatiques échouent

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Les sondages crédibles donnaient depuis des mois un écart de 10 % entre Hugo Chavez et Henrique Capriles. La plupart des médias ont dû en convenir. Mais comment, dès lors, préparer une « après élection » en deux temps :

1 - Crier à la fraude.

2 - Appeler à contester le résultat avec l'aide des médias et gouvernements occidentaux.

Il fallait pour cela que l'écart soit faible entre les deux candidats. Le mieux était donc d'oublier les médias et d'annoncer une compétition serrée.

Hélas, le gouvernement bolivarien avait pris des précautions :

1 - Contrôle des élections par des organismes internationaux irrécusables.

2 - Annonce qu'il respecterait (lui) le verdict des urnes.

Du coup, l'opposition vénézuélienne n'a pu contester le bon déroulement du vote et a dû s'engager à accepter les résultats.

USA

Vers un retrait occidental de Syrie

La guerre de Syrie s'éternise. Sa poursuite est devenue trop coûteuse et trop dangereuse pour ses voisins. La Russie, qui ambitionne de se réinstaller au Proche-Orient, tente de démontrer aux Etats-Unis que leur intérêt bien compris est de la laisser résoudre le conflit.
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Là où l’OTAN a échoué à faire la guerre, l’OTSC prépare la paix. Le secrétaire général de l’Organisation, Nikolay Bordyuzha, met sur place une force de maintien de la paix de 50 000 hommes, capable de se déployer en Syrie.
La situation militaire en Syrie s'est retournée au détriment de ceux qui espéraient à Washington et à Bruxelles parvenir à changer le régime par la force. Les deux tentatives successives de prise de Damas ont échoué et il est désormais clair que cet objectif ne pourra pas être atteint.

Le 18 juillet, une explosion décapitait le Conseil de sécurité nationale et donnait le signal d'une vaste offensive de dizaines de milliers de mercenaires convergeant de Jordanie, du Liban, de Turquie et d'Irak sur la capitale. Après quelques jours de bataille acharnée, Damas était sauvée, la fraction de la population hostile au gouvernement choisissant par patriotisme d'aider l'Armée nationale plutôt que d'accueillir l'ASL.

Le 26 septembre, des jihadistes d'Al-Qaida pénétraient dans l'enceinte du ministère de la Défense, déguisés en soldats syriens et munis de faux papiers. Ils voulaient faire sauter leurs ceintures d'explosifs dans le bureau de l'état-major, mais ne parvinrent pas à proximité suffisante de leur cible et furent abattus. Une seconde équipe devait s'emparer de la télévision nationale et lancer un ultimatum au président, mais elle ne put s'approcher du bâtiment car son accès avait été bloqué dans les minutes suivant la première attaque. Une troisième équipe s'est dirigée vers le siège du gouvernement et une quatrième devait attaquer l'aéroport.

Vader

Hollande se dit de nouveau prêt à soutenir une opération africaine au Mali

Le président de la République, François Hollande, a réaffirmé sa volonté de soutenir une action militaire au Mali, à l'issue d'un entretien à Paris, mardi 9 octobre, avec le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon. Ce dernier a pour sa part réclamé la libération immédiate des otages français retenus au Sahel.

La France s'est déclarée en effet prête à voter une résolution à l'ONU sur une intervention militaire africaine au Mali, qu'elle soutiendra sur les plans "logistique", "politique" et "matériel", selon François Hollande. "Il y aura un calendrier à respecter", a ajouté le chef de l'Etat, sans préciser lequel, tout en reconnaissant les difficultés de mise en œuvre d'une telle force militaire africaine.

3 000 HOMMES

Bamako et ses voisins ouest-africains souhaitent que l'ONU donne sa bénédiction à une intervention militaire ouest-africaine pour reconquérir le nord du Mali, contrôlé par des islamistes. La France, très en pointe sur ce dossier, a annoncé qu'elle présenterait bientôt au Conseil un projet de résolution visant à préparer le terrain pour ce feu vert de l'ONU.

Stock Down

Les députés adoptent le traité budgétaire européen

Le traité budgétaire européen a été adopté à une large majorité, ce mardi après-midi à l'Assemblée nationale: 477 députés ont voté en faveur de la ratification du texte, 70 contre. Et, si 20 socialistes se sont opposés au texte, les voix de gauche ont été suffisantes pour l'adopter.

Un soulagement pour les responsables de la majorité. La ratification du texte ne faisait en effet guère de doute, restait à savoir avec quelles voix le traité serait adopté et si l'apport de la droite serait décisif.

François Hollande a aussitôt salué la ratification du traité, soulignant que «cette majorité ample donnera à la France une capacité supplémentaire de faire entendre sa voix» et «permettra d'avancer sur la réorientation de l'Europe». Créditant son Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, de ce résultat, le président de la République a surtout noté «que la gauche s'est réunie pour voter ce traité et qu'elle n'aurait pas eu besoin des voix de la droite pour le faire adopter même s'il est bon et bien que la droite, l'opposition, une large partie d'entre elle, ait également voté ce traité».

Bomb

Zebda chante Gaza, contre l'oubli

La situation dans laquelle Gaza se morfond depuis bientôt deux décennies (renforcé considérablement après le coup de force du Hamas, le bouclage du territoire a commencé en fait avec les accords d'Oslo, en septembre 1993) a disparu des écrans, comme la question palestinienne en général. Pour lutter contre cet oubli, les chanteurs toulousains du groupe Zebda, qui ne font pas mystère de leur militantisme pro-palestinien, viennent de publier une chanson dont ils doivent les paroles à l'historien et ancien diplomate Jean-Pierre Filiu. Un expert à qui on doit la première monographie de l'étroite bande de terre. Une chanson de combat, dans un conflit privé depuis des années de véritables perspectives.


Gear

Meilleur du Web: Salafistes al-qaïdistes et élites néo-mondialistes avancent ensemble et main dans la main vers le Nouvel Ordre Mondial

Suite aux récents « attentats à caractère antisémite », tels que les l'attaque à la grenade-à-plâtre du 19 Septembre 2012 (désormais requalifiée officiellement en « grenade défensive d'origine de l'ex-yougoslavie » par le Ministre Philippe Valls alors que les témoins présents sur place, dont des responsables de la communauté juive, parlaient initialement de grenade à platre) et aux balles-à-blanc « tirées » contre une synagogue de ces derniers jours, les médias alignés et le Pouvoir multiplient les interventions et les interviews pour tenter de mieux cerner les « terroristes », réels ou supposés, parmi lesquels des petits délinquants d'origine européenne ou antillaise sont parfois présentés comme de dangereux islamistes al-qaïdistes et autres salafistes extrémistes.



Vidéo : En pleine dégringolade historique dans les sondages, Emmanuel Valls présente pour le gouvernement Ayrault la version officielle des coups de filets anti-terroristes de ces derniers jours (ainsi que la version officielle de l'attentat du 19 Septembre 2012 où la grenade à plâtre constatée initialement par les témoins oculaires et attestée par des centaines d'articles de presse est désormais requalifiée en « grenade défensive d'origine d'ex-Yougoslavie »), et déclare solennellement qu'il y a « une menace terroriste intérieure » (à la zone France)... Mais, au fait, tandis que le Qatar salafiste dénoncé par l'ancien Chef des services secrets français investit librement et très officiellement dans le football populaire et dans les banlieues si explosives de la zone France avec le soutien du-dit gouvernement, alors que des salafistes ont lancé le djihad en Syrie contre le Président légitime Assad avec le soutien indéfectible du même gouvernement, pour qui roule vraiment Philippe Valls... et ce-dit gouvernement ? - RTL par Youtube

Che Guevara

La presse française n'en parle pas : 155 000 manifestants à Ankara contre la guerre

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Sympa de ta part Bachar, mais tes costumes sont trop grands pour moi. Même la retoucheuse Erdogan pourra rien y faire
La situation en Syrie est devenue un vrai casse-tête pour le gouvernement turc qui ne sait maintenant plus comment s'en dépêtrer.

Après avoir encouragé Ankara à soutenir la sédition armée dans le pays voisin, les démocraties humanistes occidentales ont clairement fait savoir qu'elles n'étaient pas intéressées par le déclenchement d'une guerre ouverte avec la Syrie.

Pas plus qu'elles n'acceptent de mettre la main au portefeuille pour aider les autorités turques à faire face aux besoins des Syriens qui se sont réfugiés sur son sol.

La Turquie se retrouve maintenant donc seule face aux problèmes posés par la situation en Syrie. On peut compter sur les prétendus rebelles prétendument démocrates pour essayer de provoquer la guerre ouverte dont Recep Tayyip Erdogan et son équipe ne veulent pourtant pas.

C'est ainsi qu'il faut interpréter le récent transfert de ce qui est présenté comme la direction militaire de l'Armée Syrienne Libre en territoire syrien dans ce que les derniers évènements ont transformé en zone tampon, ou en réduit, de facto.

Avec le refus explicite d'accueillir de nouveaux réfugiés, nous avons là les premiers signes d'une volonté de désengagement. Une volonté qu'on peut aussi repérer dans la proposition faite par le gouvernement turc d'une démission du président Bachar al-Assad qui pourrait être remplacé par le vice-président actuel Farouk al Chareh.