Les Maîtres du MondeS


Rocket

Les USA prévoient d'exporter pour 46 milliards de dollars d'armes en 2011

Les Etats-Unis prévoit d'exporter pour 46,1 milliards de dollars d'armements en 2011, soit près de 50% de plus qu'en 2010, a-t-on appris vendredi auprès de l'agence américaine chargée de ces exportations.

Lors de l'exercice budgétaire 2011, qui court d'octobre 2010 à septembre 2011, Washington prévoit de vendre pour 46,1 milliards d'équipements et de services militaires par le biais du système des "ventes militaires à l'étranger" (FMS).

Dollar

La piqûre de rappel de David Rockefeller

A la suite de nos articles précédents, voici le rappel de ce que disait David Rockefeller, le 23 septembre 1994 :
« Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial ».
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[Souvenez-vous des candidats proposés à la Maison Blanche par les deux partis "démocratiques" de l'establishment : BARACK OBAMA contre JOHN MCCAIN.

A l'époque, LIESI rappellait que le candidat républicain J. McCain était « conseillé » par H. Kissinger et que le candidat démocrate B. Obama était « tenu » par B. Brzezinsky. Or H. Kissinger et B. Brzezinsky sont les deux lieutenants vieillissants de D. Rockefeller.]

Wolf

Rumeurs de pédophilie : Lionel Jospin savait, selon un nouveau témoin

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© KEYSTONE-ALionel Jospin, Premier ministre, et Daniel Vaillant, Ministre de l'intérieur, en 2002.
L'ex-chef des Renseignements Généraux Yves Bertrand a affirmé vendredi avoir informé en 2001 Daniel Vaillant et Lionel Jospin de rumeurs d'actes pédophiles par un ministre au Maroc.

L'enquête sur les rumeurs de pédophilie d'un ancien homme politique français se poursuit. L'ex-chef des Renseignements Généraux Yves Bertrand a affirmé vendredi avoir "fait état" en 2001 auprès des "autorités de tutelle" de rumeurs d'actes pédophiles par un ministre au Maroc, citant comme ayant été informés Daniel Vaillant et Lionel Jospin.

Alors ministre de l'Intérieur de Lionel Jospin, Daniel Vaillant a immédiatement rétorqué auprès de l'AFP n'avoir "jamais été tenu informé, à aucun moment, et de quelque manière que ce soit" par le responsable policier, alors réputé proche du président de la République, Jacques Chirac. "M. Jospin est solidaire de la réaction de Daniel Vaillant et s'y associe", a indiqué à l'AFP une proche de l'ancien Premier ministre socialiste.

Gear

La blogueuse lesbienne américano-syrienne Amina Arraf n'existe pas, encore une usurpation d'identité

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Après l'usurpation d'identité en direct sur FR24 de l'ambassadrice syrienne en France, Lamia Chakkour , une anglaise, Jelena Lecic, accuse la blogueuse lesbienne américano syrienne/ ceux qui sont derrière ce personnage fictif, d'avoir utilisé ses photos. Décidément la « Fabrique du Consentement » médiatique contre la Syrie ne recule devant aucun moyen y compris l'usurpation d'identité.

L'existence de la blogueuse lesbienne américano syrienne a été sérieusement mise en doute alors qu'une anglaise, Jelena Lecic, a affirmé que les photos circulant sur internet de cette Amina étaient en fait les siennes et non pas celles de la supposée blogueuse écrivant de Damas.

Le représentant légal de Jelena Lecic a déclaré de Londres que la jeune femme a appris que ses photos étaient utilisées sur le compte Facebook de cette prétendue lesbienne américano syrienne connue sous le nom d'Amina Arraf quand elle a vu sa photo publiée hier dans un article du quotidien britannique The Guardian.

Cet article rapportait que cette supposée blogueuse de Damas dont les écrits poétiques engagés sexuels et ses violentes diatribes contre le président syrien Bashar al Assad ont enflammé la blogosphère et les réseaux sociaux depuis un mois aurait été arrêtée après plusieurs semaines de cavale dans la capitale syrienne, arrestation signalée sur ce blog Amina par une cousine Rania Ismail et confirmée alors par un militant de l'opposition qui depuis est revenu sur ses déclarations.

Bomb

Libye : le silence assourdissant

Traduit par VD pour Le Grand Soir

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A présent nous allons envoyer des Apache pour bombarder les civils libyens. Une escalade de plus dans une guerre sanglante de l'OTAN de plus. Ou, comme l'a dit le Colonel Jason Etherington, « ce n'est qu'un élément de plus dans le jeu ».

La totalité des médias suivent la ligne officielle. Il s'agit d'une guerre pour protéger les civils. Il s'agit d'une guerre pour forcer Kadhafi à partir. Comme si les gouvernement occidentaux, avec leur brillant historique de violations des droits de l'homme à travers le monde, avaient la moindre autorité morale pour porter un jugement sur le gouvernement Libyen. La rhétorique d'Etherington révèle la minable vérité, cette guerre n'est qu'un jeu pour nous, un « jeu » qui mérite d'être élargi.

Même Al Jazeera raconte la même histoire de « rebelles » qui capturent des villes les unes après les autres. Mais la chaine ne diffuse pas d'images de Tripoli, la capitale, où, à l'exception des bombardements de l'OTAN, les gens continuent de vivre leurs vies. Et on ne montre jamais les images des crimes commis par cette soi-disant brigade « rebelle » qui a violemment attaqué les Libyens et Africains noirs dans l'est du pays, en les qualifiant de « mercenaires africains », embauchés par Kadhafi, même si tous les Libyens sont en fait des Africains. Rien de tout ça n'est raconté, parce que ça ne cadre pas avec la version officielle. Les merveilleux dirigeants rebelles, dont beaucoup travaillaient pour Kadhafi il y a encore quelques mois, sont nos alliés. Kadhafi, le méchant utile, est notre ennemi juré.

USA

Le prochain théâtre de guerre américain : Syrie ou Liban ?

Traduit par Résistance 71

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Washington et ses alliés, Israël et les Al-Saouds, prennent avantage des soulèvements dans le monde arabe. Ils sont en train de travailler maintenant à démanteler le bloc de résistance et affaiblir toute poussée de la démocratie dans le monde arabe. L'échiquier géopolitique est maintenant préparé pour une confrontation plus vaste qui ciblera Téhéran et incluera la Syrie, le Liban, l'Irak et les Palestiniens.

Lier les mains du Hezbollah par des pressions interne et externe

Au Liban, il existe une impasse concernant la formation du gouvernement libanais. Michel Sleiman qui tient la présidence et le nouveau premier ministre ont retardé la formation du cabinet dans une ligne politique avec Michel Aoun, le leader du Mouvement Patriotique Libre.

Il est possible que la formation d'un nouveau cabinet libanais soit volontairement retardé pour garder le Liban dans un état de neutralisation en ce qui concerne le front de la politique étrangère.

Le conseil de sécurité des Nations-Unies et plusieurs corps de l'ONU sont utilisés par les Etats-Unis et l'Union Européenne pour mettre une certaine pression sur le Liban. Le secrétaire général de l'ONU Ban-Ki-Moon prend ses ordres à Washington. Il a contribué à légitimer les guerres des Etats-Unis et de l'OTAN. Moscou a ouvertement accusé Ban Ki-Moon de tricherie pour ses arrangements secrets de 2008 avec l'OTAN.

Chess

Meilleur du Web: Comment Goldman Sachs dirige le monde


Julien Arnaud reçoit le correspondant du Monde à Londres, Marc Roche, pour la parution de son dernier ouvrage : "La Banque : comment Goldman Sachs dirige le monde"

Mr. Potato

Thatcher refuse de voir Palin parce qu'elle est « cinglée »

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© APMargaret Thatcher assistera le 4 juillet au dévoilement d'une statue de Ronald Reagan à Londres mais ne rencontrera pas Sarah Palin.
Grande admiratrice de Margaret Thatcher, Sarah Palin nourrissait l'espoir de rencontrer l'ancien premier ministre britannique à l'occasion de son passage à Londres en juillet. Mais l'entourage de la Dame de Fer fait savoir que l'ex-colistière de John McCain peut oublier une éventuelle audience avec l'ancienne alliée de Ronald Reagan.

Le quotidien britannique The Guardian attribue la déclaration suivante à une proche de Thatcher, aujourd'hui âgée de 86 ans :
« Lady Thatcher ne verra pas Sarah Palin. Elle ne voudrait pas s'abaisser à ce niveau. Sarah Palin est cinglée. »
Margaret Thatcher doit cependant assister le 4 juillet au dévoilement d'une nouvelle statue de Ronald Reagan à Londres, histoire de souligner le centenaire du 39e président américain.

Bomb

Les dégénérés mondialistes recherchent une résolution de l'ONU contre la Syrie

Traduit par Résistance 71

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Le ministres des affaires étrangères français et criminel de guerre co-conspirateur Alain Juppé assis devant un pare-terre de la Brookings Institution, financée par des fonds d'entreprises privées, déclara que le président syrien Al-Assad avait perdu toute légitimité de garder le pouvoir et que la France et ses "alliés" vont une fois de plus pousser pour une résolution de l'ONU contre la Syrie. De manière ironique, que pourrait-on dire de la légitimité de Juppé alors qu'il pavane dans un think-tank non-élu de l'oligarchie financière et industrielle, qui crée une politique hors du contexte légal que lui et les politiciens traîtres cautionnent et valident, contre la volonté de son propre peuple et ce quotidiennement.

Les commentaires de Juppé, avec les accusations américaines que les troubles à la frontière israélienne sont fomentés et financés par l'étranger, ainsi justifiant Israël à se "défendre" (en l'occurrence à abattre les manifestants), alors que les Etats-Unis fomentent ouvertement la violence et les troubles à travers le monde, est magnifiant de passage d'un surréalisme politique à une absurdité cartoonesque. De fait, la violence en Syrie est totalement le résultat du travail de groupes d'opposition armés entrainés et financés par les Etats-Unis, et qui se comportent exactement et à la lettre en suivant les doctrines énoncées par la Brookings Institution dans son rapport "Which path the Persia ?". Alors que la violence s'amplifie, il devient difficile, comme ce le fut en Libye, de continuer à dépeindre les "manifestants" comme étant pacifiques au lieu des militants financés de l'extérieur et traîtres qu'ils sont en fait.

USA

Washington profite du chaos au Yémen pour amplifier ses frappes

Les États-Unis ont intensifié leurs frappes au Yémen depuis les dernières semaines, profitant du chaos politique au pays, alors que le chef d'État Ali Abdallah Saleh est en convalescence en Arabie saoudite. Les autorités américaines citées mercredi par le New York Times disent vouloir empêcher les partisans d'Al-Qaïda dans le sud du pays de s'emparer du pouvoir.

Selon une source du journal au Pentagone, l'usage de la force au Yémen, un pays allié des États-Unis, est compliqué par le fait que les militants d'Al-Qaïda se sont mêlés à d'autres groupes de protestataires opposés au gouvernement de Saleh. Il devient donc difficile pour les États-Unis d'intervenir sans donner l'apparence de prendre position dans le conflit politique interne du pays, où le gouvernement est en pleine crise de légitimité.

L'ambassadeur américain au Yémen, Gérald M. Feierstein, a récemment rencontré des chefs de l'opposition pour plaider la poursuite des opérations aériennes de son pays sur le territoire yéménite advenant la chute du gouvernement de Saleh. Les autorités américaines affirment que les chefs de l'opposition ont convenu que les tirs contre Al-Qaïda pourraient se poursuivre dans la péninsule arabique, indépendamment de qui remporterait le pouvoir au Yémen à l'issue de la crise.