Les Maîtres du Monde
Le Moyen-Orient sera bientôt confronté à une Europe fracturée - imposant de nouveaux dilemmes à la région, en plus de devoir naviguer entre les circonscriptions de politique étrangère du Beltway qui s'affrontent à Washington pour la primauté sur la politique russe.
C'est la deuxième fois en moins de sept mois que l'aéroport de Damas, où des groupes armés soutenus par l'Iran et des combattants du Hezbollah libanais sont présents, est mis hors d'usage par Israël.

Arrestation violente d'un jeune palestinien dans la vieille ville de Jérusalem (Al-Qods) - Le terrorisme est à la base de l'existence de l'état sioniste, et dans sa nature même. Depuis sa fondation jusqu'à sa fascisation extrême actuelle, l'Etat d'occupation a dû sa survie à l'exploitation d'une violence sans frein, étatique comme individuelle, contre la population palestinienne d'origine.
Pour maintenir leur hégémonie mondiale face à l'émergence rapide d'un monde multipolaire, les États-Unis cherchent à limiter la redistribution du pouvoir dans toutes les régions où leur influence s'affaiblit.
L'organisation américaine à but non lucratif RAND, au service de l'armée américaine, a publié ce décembre un rapport sur la stratégie d'escalade des États-Unis dans la confrontation avec la Russie. Les principaux objectifs de Washington, selon le rapport, sont de « punir » et de « dissuader » la Russie, tout en faisant cela de manière à ce que Moscou n'ose pas utiliser l'arme nucléaire et qu'un conflit militaire direct entre La Russie et les pays de l'Otan n'éclatent pas.
Officiellement, il s'agit de stopper le trafic de cette drogue de synthèse entre le Liban et l'Arabie saoudite. Officieusement, il s'agit de trouver un nouveau prétexte à l'acharnement des États-Unis contre la République arabe syrienne.
BlackRock débarque en Ukraine pour reconstruire ce pays frappé par une guerre contre la Russie qui a fait des milliers de morts et plongé l'économie dans une situation jamais connue par ce pays depuis la chute du Mur de Berlin qui marque la défaite de l'Union Soviétique face à l'Occident.
Pour rappel, le feu couve depuis que Pristina a fait part de sa volonté de remplacer les plaques minéralogiques autrefois délivrées par Belgrade. Or, cette mesure a été vivement contestée par la minorité serbe, essentiellement établie dans le nord du Kosovo, ce qui a fait craindre, un temps, de nouvelles violences. On pensait qu'un accord trouvé, en novembre, sous l'égide de l'Union européenne, allait régler cette question... Il n'en a rien été.
Commentaire: C'est gentil pour les Ukrainiens, qui devront rembourser avec la sueur de leur front cet amas de milliards, prison pour des générations futures du pays. Mais que fi ! Les banquiers, les grands fonds et ceux qui vendent leur pays n'ont pas d'âme, car ils l'ont surement vendue au diable.