Les Maîtres du Monde
La Serbie a officiellement (re)rejoint la liste des méchants selon Washington. Les attaques médiatiques dont Belgrade a fait l'objet ces derniers jours, et qui n'avaient pas eu lieu depuis les attaques de 1999, en sont la preuve. La véritable faute de la Serbie est qu'elle est l'un des rares pays européens à ne pas avoir fait de génuflexion devant le diktat des sanctions anti-russes.
La raison principale en serait la très prochaine offensive générale russe que prévoit l'OTAN et qui selon elle décimerait l'armée ukrainienne non seulement dans le Donbass mais également du côté de Kiev (de nombreuses unités Russes sont en situation de combat en Biélorussie aux frontières avec l'Ukraine).
L'émission ouvre avec une fiche synthétique sur les événements historiques qui ont conduit à la situation actuelle, en commençant par le coup d'État de 1953, orchestré par les services secrets britanniques et exécuté par la CIA étasunienne pour renverser Mohammad Mossadeq, le premier ministre iranien démocratiquement élu en 1951, qui avait nationalisé l'industrie pétrolifère en la soustrayant au contrôle britannique.
Cette loi offre des subventions massives aux entreprises mettant en œuvre des projets utilisant des énergies propres et des technologies propres, à condition qu'elles soient résidentes américaines.
De même, on va vers le Grand Reset, les privations, le camp numérique, les rationnements (quand ce n'est fait), le vaccin six fois par an, la privation d'eau pour cause de changement climatique et certainement pas de sécheresse, et tout le monde s'en fout ou presque : comme dit Sénèque à son ami Lucilius, NE SIS MISER ANTE TEMPUS. Pas d'affolement, mon loulou.
Les commandos britanniques ont en effet été impliqués dans des missions secrètes et ont effectué des tâches dans un « environnement extrêmement sensible », a rapporté, mercredi 14 décembre, le journal britannique Daily Mail citant le lieutenant-général Robert Magowan - chef d'état-major adjoint de la Défense britannique et ancien chef des Royal Marines.
Rappelons que l'évolution d'une épidémie se mesure seulement aux nombres de malades et de morts et que les masques sont incapables de limiter la progression des épidémies virales.