Les Maîtres du MondeS


Gear

Alerte propagande : « L'Iran prépare une bombe nucléaire »


Commentaire : Après la "fiole de jus de pomme" de Colin Powell "prouvant" l'existence d'armes de "destruction massive" en Irak, maintenant ils nous sortent la "bombe nucléaire" de l'Iran.
« Plus le mensonge est gros, plus il passe. » [ Joseph Goebbels ]


INFO LE FIGARO - Preuves à l'appui, l'AIEA va dénoncer sans ambiguïté le caractère militaire du programme nucléaire de Téhéran.

Ce devrait être le rapport le plus dur et le plus complet jamais écrit par l'Agence internationale de l'énergie atomique sur l'état d'avancement du programme nucléaire iranien. Restée pendant des années ambiguë, puis prudente, l'AIEA, à l'occasion de son prochain conseil des gouverneurs, le 17 novembre à Vienne, s'apprête, selon les informations obtenues par Le Figaro, à dénoncer, preuves à l'appui, le caractère militaire de ce programme qui vise à doter l'Iran de la bombe. «Ce rapport sera l'un des plus importants sur le sujet», affirme un spécialiste proche du dossier.

Dollar

La Dictature européenne prend place

Le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) n'est pas tant un mécanisme, qu'un nouvelle administration de l'Union Européenne (UE). Le but déclaré est de fournir des prêts (sous conditions strictes) à des pays de l'euro qui ne peuvent plus remplir leurs obligations financières. Il va reprendre les tâches des FSFE et MESF. Il va être géré par un Conseil de Gouverneurs. Ce sont les 17 Ministres de Finances des pays de l'euro situés dans l'Union Européenne.

Le traité du MES dit dans son article 8, que cet organe disposera d'un capital social de 700 milliards d'euros. Ensuite, dans son article 10, le Conseil des Gouverneurs peut décider de changer ce montant et d'adapter article 8 en conséquence. Dans l'article 9, le Conseil des Gouverneurs peut exiger à tout moment le versement du capital social non encore payé des pays membres (et ceci en moins de 7 jours.) En fait, le MES peut exiger de l'argent des pays membres de façon illimitée. Le traité ne prévoit pas de droit de veto des Parlements nationaux.


Gear

Une publication scientifique remet en cause les conclusions du FBI sur l'affaire de l'anthrax

Traduit de l'anglais par Kikujitoh pour ReOpenNews

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Dix ans après l'affaire des courriers piégés à l'anthrax, lesquels avaient tué cinq personnes, rendu malades 17 autres, et provoqué une vague de terreur aux Etats-Unis, des biologistes et des chimistes soulèvent encore la controverse quant à savoir si les enquêteurs du gouvernement ont bien arrêté le vrai coupable et si la longue enquête du FBI n'aurait pas omis des preuves importantes.

Aujourd'hui, trois scientifiques affirment que des résidus chimiques retrouvés dans les spores d'anthrax séchés - avec la présence surprenante d'étain - laissent penser que ceux-ci furent élaborés à travers un processus très complexe, contrairement aux dires des enquêteurs fédéraux, selon lesquels les germes étaient relativement simples. Ces scientifiques présentent leurs conclusions dans la prochaine publication de la revue Journal of Bioterrorism & Biodefense.

Des documents du FBI que s'est procuré le New York Times montrent que les scientifiques de l'agence se sont penchés sur la présence d'étain dès le début de leurs huit années d'enquête, présentant celle-ci comme un « élément digne d'intérêt » et comme une preuve potentiellement cruciale pour l'enquête criminelle. Le FBI a par la suite abandonné sa longue enquête et n'a plus jamais évoqué publiquement l'étain, ni présenté d'explications détaillées sur la manière dont, d'après l'agence, l'anthrax aurait été synthétisé.

Le nouvel article [à paraître] soulève - pour la première fois dans une revue scientifique - la question de savoir si Bruce E. Ivins, l'expert militaire en bio-défense identifié par le FBI comme étant à l'origine des attaques, a reçu de l'aide pour se procurer l'anthrax, voire celle de sa [complète] innocence.

La présidente du comité de l'Académie Nationale de la Science, qui a passé un an et demi à examiner les analyses scientifiques du FBI, ainsi que le responsable d'une nouvelle étude menée par le Département d'investigation du Congrès ont déclaré que cette publication soulevait d'importantes questions qui doivent trouver des réponses.

Alice P. Gast, présidente de l'université de Lehigh et présidente du comité de l'Académie, a déclaré que l'article « indique des liens sur lesquels il est nécessaire de se pencher. »

Le Dr. Gast, experte chimiste, a déclaré que les « signatures chimiques » de l'anthrax retrouvé dans les courriers, ainsi que leur importance potentielle dans le cadre d'une enquête criminelle, n'avaient pas été examinées avec assez d'attention. « On n'a tout simplement pas enquêté avec autant de perspicacité qu'au niveau de la microbiologie, » a-t-elle expliqué, faisant référence à l'analyse des micro-organismes. Elle a également noté que le comité académique avait demandé un examen complet des études officielles classifiées sur l'anthrax, auxquelles son comité n'a jamais pu avoir accès.

Info

Un magistrat italien dénonce un réseau pédo-satanique

En juillet dernier, un magistrat faisait parler de lui en rendant public une affaire de réseau pédo-satanique.

Une première qui devrait servir d'exemple car des témoignages sur ce genre de pratiques proviennent de beaucoup de pays.


USA

Offensive américaine contre l'Iran

L'arrogance américaine contre l'Iran ne connaît plus de borne. Dans l'une de ses manifestations les plus flagrantes, depuis trente deux ans, les Etats-Unis viennent d'accuser l'Iran d'avoir voulu comploté contre les intérêts saoudiens, sur le sol américain. Ainsi, un Iranien aurait cherché à soudoyer les cartels de drogue mexicain, pour qu'ils commettent un vaste attentat à la bombe contre l'ambassade d'Arabie saoudien, à Washington, avec, en perspective, l'assassinat de l'ambassadeur. Bref, un scénario digne d'Hollywood. L'ambassadeur iranien, auprès de l'ONU, Mohammad Khazaï, a envoyé, mardi, une lettre, où il proteste, dans les termes les plus vifs, contre cette allégation « abracadabrante », « parfaitement infondée » et « montée de toute pièce ». «La RII exprime la répulsion que lui inspire des allégations proférées par les autorités américaines, sur fond d'aveux suspects d'un Iranien, et les rejette, catégoriquement, lit-on, dans cette lettre.

USA

Libye : l'OTAN veut une guerre sans fin

Traduction : Info-Palestine.net

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Les supplétifs de l’OTAN en Libye tirent maintenant depuis 3 semaines à l’arme lourde sur la ville de Syrte, faisant de nombreuses victimes civiles - Photo : reuters
Les dirigeants intérimaires de la Libye prétextent que la conquête de Syrte est la seule chose qui les empêche de déclarer formellement la libération [de la Libye] et l'organisation d'élections.

Le correspondant d'Asia Times, Pepe Escobar dit que tout en se concentrant sur ce but affiché [la conquête de Syrte], les médias dominants ignorent le coût humain élevé de l'opération.

« La seule couverture que vous voyez dans les grands médias occidentaux, ce sont les avancées des forces soi-disant révolutionnaire. Ce n'est pas une révolution. C'est une guerre civile, où sont impliqués l'OTAN et les Etats-Unis » , a-t-il dit à Russia Today.

« Il y a plus de 100 000 personnes qui vivent à Syrte. Si 10 000 sont parties, ou 20000, la grande majorité de la population est toujours là. Ils ont été bombardés par l'OTAN. L'OTAN a bombardé au moins la moitié de la ville, y compris ce qu'ils ont dit être des installations des pro-kadhafistes dans toute la ville », a poursuivi Escobar. « C'est un bombardement massif, alors que théoriquement la mission 'humanitaire' de l'OTAN était de protéger [les civils]. »

Dollar

Flashback Stress tests réussis pour Dexia et KBC

Les banques franco-belges Dexia et KBC réagissaient en ordre dispersé, jeudi matin en Bourse, les deux établissements ayant pourtant réussi les tests de résistance européens, selon la presse belge
Dexia
© inconnuDexia emploie plus de 3 500 personnes au Luxembourg.
À 10h46, Dexia lâchait 0,14% à 2,07 euros à la Bourse de Paris, tandis que le CAC 40 progressait de 0,40%. BNP Paribas perdait lui 0,99% à 51,98 euros tandis que la Société générale grignotait 0,16% à 40,33 euros. De son côté, à la Bourse de Bruxelles, KBC gagnait 0,40% à 26,47 euros, dans un marché en hausse de 0,34%. Les valeurs bancaires ont été largement chahutées depuis quelques jours, victimes des coups de semonce des agences de notation envers la Grèce et le Portugal, alors que l'Europe cherche une parade à la crise de la dette en zone euro.

Le quotidien belge L'Echo rapporte jeudi matin que «de source européenne, on apprend que Dexia et KBC, les deux banques soumises à l'exercice en Belgique, ont réussi l'examen». La date de publication des résultats des tests de résistance menés sur 91 grandes banques européennes, qui a été retardée, n'est pas encore connue avec exactitude mais ils sont attendus mi-juillet. Ils ont été lancés en mars par l'Autorité bancaire européenne (EBA), basée à Londres, sur des banques représentant 65% des actifs bancaires de l'UE.

Star of David

Affrontements interreligieux en Egypte. Qui profite ?..... Israël

Traduction Mireille Delamarre pour Planète non Violence

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Mark Glenn analyste réputé met en garde contre le fait qu'Israël a l'intention de déstabiliser et diviser l'Egypte en entités gérables et démontre comment les derniers affrontements servent son intérêt.

Interview de Mark Glenn du Croissant Rouge et du Mouvement de Solidarité, Idaho par PressTV.ir

Suite à l'incendie d'une église chrétienne en Egypte et aux jets de cocktails Molotov contre les forces de l'ordre lors d'une manifestation qui a entraîné une réponse mortelle, Press TV s'entretient avec Mark Glenn du Croissant Rouge et du Mouvement de Solidarité sur le moment choisi pour cette violence alors que des élections doivent avoir lieu prochainement et comment cela profite au seul état sioniste d'Israël.

Il rappelle aux lecteurs la stratégie générale des Sionistes de créer une crise entre les Musulmans et les Chrétiens par des moyens clandestins et que ce que l'on voit actuellement est un exemple de cela. Ci-dessous une transcription approximative de l'interview.

Dollar

Crise grecque : notre argent servira à acheter 400 chars lourds US M1A1 Abrams et 20 blindés amphibies

Traduit par L'Eveil 2011

Le gouvernement grec veut acquérir 400 chars Abrams M1A1 et 20 engins blindés amphibies AAV7A1 aux Etats-Unis pour un coût estimé à des centaines de millions d'euros, selon la revue très spécialisée Hellenic Defense & Technology. Les coûts précis ne sont pas connus, mais un char de ce type vaudrait dans les 3,2 millions d'euros d'unité. Le gouvernement américain devrait bientôt donner son accord.

Vu que la Grèce se trouve au bord de la faillite et doit fortement économiser, on ne peut que s'étonner d'une telle commande qui ne correspond en rien aux besoins des forces armées helléniques, puisque l'armée grecque a déjà commandé à l'Allemagne 70 Leopard-2 Hel (Hellenic), qui ont été livrés entre 2006 et 2009.

Commentaire: Apparemment la Grèce n'a pas acheté ces chars, ce serait une mise à niveau. De plus l'Allemagne aurait bloqué le projet.

Les chars seraient des chars d'ancienne génération livrés par l'armée américaine dans le cadre de l'OTAN. Seul le transport, 6 millions de dollars, il en faudrait 10 à 20 millions pour les rénover, serait payé.


Vader

Remarques sur la guerre impérialiste contre la Syrie

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Dans ces huit ou dix derniers mois, les médias de l'Empire américain et des subordonnés s'arrêtent de plus en plus fréquemment à l'expression du Printemps arabe ; et cela dans le but de caractériser les protestations qui font trembler plusieurs pays au monde arabe. Avant toute chose, nous apprécions favorablement le succès du peuple tunisien à renverser un président absolu, Bin Ali, et la réussite des Égyptiens à détrôner un pharaon, Moubarak fils de Ramsès II. Ici, il faut noter à ce propos que le règne du premier dura vingt-quatre ans, tandis que la dynastie du second dépassa les quatre décennies et quelques, sans que les médias de l'Empire ni ceux des provinces européennes, donc impérialistes, eussent fait la moindre allusion à l'atrocité de leur imperium.