© L'ExpressUkraine leader Vladimir Zelensky
SOTT
SIGNS
OF THE
TIMES
OF THE
TIMES
Bienvenue à Sott.net
Le Monde pour les Gens qui Pensent
Les Maîtres du MondeS
"On a observé que le fait d'avoir déjà croisé des sociopathes ou des manipulateurs pervers, dans sa vie professionnelle ou privée, a été un atout majeur pour comprendre ce dans quoi nous étions embarqués..." Le plus grand obstacle évolutif pour notre espèce est de laisser, encore et encore, des individus sans foi ni loi accéder aux positions de pouvoir, avec un évident avantage compétitif puisqu'ils en sont obsédés et prêts à tout pour y arriver.
Resituer la crise actuelle dans cette perspective de la nécessaire construction d'une conscience et d'une immunité collectives (!) en la matière paraît pertinent... Émission du 17 janvier 2025, produite par le magazine Nexus.
Israël joue un jeu cynique. Il conclut avec les Palestiniens des accords à plusieurs étapes qui lui permettent d'obtenir immédiatement ce qu'il veut. Il viole ensuite toutes les phases prévues et relance son assaut militaire. Depuis des décennies, Israël joue la carte de la duplicité.
Il signe un accord avec les Palestiniens qui doit être mis en œuvre par étapes. La première phase donne à Israël ce qu'il veut — en l'occurrence la libération des captifs israéliens à Gaza — mais Israël échoue toujours à mettre en œuvre les phases suivantes qui conduiraient à une paix juste et équitable.
© Yousef Zaanoun / Activestills16 janvier 2024 - Des personnes en deuil transportent la dépouille du journaliste Ahmed Abu Al-Rus, après qu'il ait été tué avec quatre autres personnes, dont son frère Mohamed, mercredi dans une frappe aérienne israélienne qui a visé son véhicule dans le camp de réfugiés de Nuseirat, au centre de Gaza, quelques instants avant l'annonce d'un accord de cessez-le-feu. Au cours des 15 derniers mois, au moins 198 journalistes palestiniens ont été tués par les forces coloniales israéliennes à Gaza, ce qui constitue la période la plus meurtrière pour les journalistes dans l'histoire
Israël et le pouvoir américain poursuivront le génocide à Gaza pendant de nombreux mois, jusqu'à ce que les Palestiniens soient anéantis ou chassés de leur patrie et que le Grand Israël soit consolidé.
Le cadeau d'adieu de Joe Biden, qui prévoit 8 milliards de dollars de ventes d'armes à l'État d'apartheid d'Israël, reconnaît l'effroyable réalité du génocide à Gaza.
© Doaa Albaz / Activestills4 janvier 2025 - Au complexe médical Nasser, à Khan Younis, à Gaza, des Palestiniens pleurent leurs proches, tués après que les forces coloniales israéliennes ont bombardé plusieurs zones la nuit précédente. Au cours des dernières 48 heures, les frappes aériennes israéliennes ont tué plus de 150 Palestiniens dans la bande de Gaza. Depuis octobre 2023, la guerre génocidaire d'Israël contre Gaza a tué plus de 45 500 Palestiniens, et des milliers d'autres sont toujours portés disparus sous les décombres
La récente démission de Justin Trudeau, annoncée le 6 janvier 2025, ouvre une nouvelle ère politique au Canada. Avec un Parti libéral en quête de leadership et des élections fédérales prévues pour octobre 2025, Poilievre, en tant que chef du Parti conservateur, se trouve en position très favorable. L'occasion pour nous de revenir rapidement sur son parcours.
Pierre Poilievre, né le 3 juin 1979 à Calgary, Alberta, est une figure marquante de la politique canadienne contemporaine. Adopté dès sa naissance, il a grandi dans une famille francophone, ce qui lui a permis de maîtriser parfaitement les deux langues officielles du pays. Diplômé en relations internationales de l'Université de Calgary, il s'est rapidement engagé en politique, devenant député à la Chambre des communes en 2004, à l'âge de 25 ans.
L'armée de l'air israélienne a lancé une violente attaque près de la capitale syrienne de Damas le 2 janvier, alors que l'armée israélienne continue d'étendre son occupation dans le pays, atteignant un barrage clé dans la région méridionale de Quneitra.
Les médias syriens ont rapporté que de puissantes explosions ont secoué la région ouest de la capitale et que la cible était le site militaire de Tal al-Shahem, qui surplombe Quneitra, Damas et sa campagne.
© Ali Haj Suleiman/Getty Images
Selon les célèbres lignes de Tacite, un historien romain, « Ravager, massacrer, usurper sous de faux titres, ils appellent cela l'empire ; et là où ils en font un désert, ils appellent cela la paix ».
À notre époque, c'est Israël et les États-Unis qui créent un désert et l'appellent la paix.
Abou Mohammed al-Jolani, qui de fait détient aujourd'hui le pouvoir à Damas, a une histoire éloquente : il commence sa militance jihadiste dans les rangs d'al-Qaeda comme collaborateur d'Abou Bakr al-Baghdadi, le "calife" qui en 2013 fonde l'ISIS, l'"État Islamique de l'Irak et de la Syrie". En 2011, pendant la phase préparatoire, al-Baghdadi l'envoie en Syrie avec des fonds importants pour créer le Front al-Nosra, faction formellement autonome, mais en réalité appartenant à l'État Islamique.
La faction d'al-Jolani participe dès sa naissance à l'opération USA-OTAN pour démolir l'État syrien. Une des raisons de cette opération est le fait que Syrie, Iran et Irak avaient signé en juillet 2011 un accord pour un gazoduc qui aurait dû relier le gisement iranien de South Pars, le plus grand du monde, à la Syrie et donc à la Méditerranée et à l'Europe, créant un corridor énergétique alternatif à ceux qui traversent la Turquie et d'autres parcours, contrôlés par les compagnies étasuniennes et européennes.
Comme nous le savons tous, l'oligarchie belliciste de Washington DC est obsédée par les conflits, la mort et la destruction. Elle est également profondément liée au complexe militaro-industriel américain (CMI), une grande partie (voire la majorité) de l'élite politique américaine bénéficiant directement de l'instabilité mondiale qui favorise les ventes d'armes dans le monde entier. C'est précisément la raison pour laquelle les États-Unis ont passé moins de 20 ans en paix (sur moins de 250 ans d'existence).
Toutefois, au cours des dernières années, le pays le plus agressif de l'histoire du monde semble s'être heurté à un mur. Ses planificateurs stratégiques se sont révélés être des fous barbares en liberté, contrariant simultanément plusieurs adversaires dotés de l'arme nucléaire, ce qui a failli entraîner le monde dans une catastrophe aux proportions inimaginables. En conséquence, la prochaine administration, apparemment beaucoup moins encline à poursuivre de tels conflits, a promis un changement radical de la politique étrangère des États-Unis.
© Infobrics
