Peter Gleick, scientifique spécialisé dans la question de l'environnement, a fabriqué de faux documents pour faire croire qu'un think tank climato-sceptique complote en vue d'entretenir le doute autour du réchauffement anthropique.J'ai longtemps hésité à l'affirmer, mais aujourd'hui j'en ai la certitude : les médias québécois (et particulièrement les écolo-chroniqueurs) évitent de rapporter les nouvelles qui peuvent nuire à la cause du réchauffement climatique anthropique, et lorsqu'ils sont bien obligés de faire leur travail, ils minimisent l'importance des faits.
Le cas de Peter Gleick est éloquent. Si vous ignorez qui est M. Gleick, c'est normal... personne ne parle de lui. Personne au Québec, mais il est une « célébrité » hors de nos frontières. Au cours des dernières 24h, il a fait l'objet de centaines d'articles parce qu'il est à l'origine d'un autre scandale climatique : Time, LA Times, San Francisco Chronicle, The Atlantic, The Guardian, NT Times, Washington Post, Forbes, Nature, The Telegraph, Financial Times et bien d'autres. Chez nous ? Silence !
Qui est Peter Gleick ?
M. Gleick est un scientifique spécialisé dans la question de l'environnement. Il a gagné le Prix MacArthur, il est membre de la National Academy of Sciences, et il dirige une organisation du nom de « The Pacific Institute » dont la mission est de défendre l'intégrité scientifique des questions environnementales. Bref, M. Gleick est une sommité dans le domaine du réchauffement anthropique.