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Flashback Meilleur du Web: Les Français se suicident plus que d'autres mais c'est sans rapport avec les minorités spirituelles

Une étude de Valérie Dole, membre du CICNS (janvier 2005)

Lire aussi "Suicides dans les grandes entreprises françaises"

Il est devenu commun parmi les adeptes de l'anti-sectarisme d'établir un parallèle saisissant entre les sectes et le suicide (1). Rien de tel pour émouvoir l'opinion publique et alimenter la psychose. Quelques cas épars sont récupérés pour les besoins de la cause, même si le lien entre cet acte désespéré et l'appartenance à un mouvement spirituel est rarement démontré (Jérémie se serait-il suicidé s'il n'avait pas été membre du groupe Néo-Phare ? Qui saurait répondre avec certitude ?).

Ceux qui ont voulu imposer la thèse du suicide collectif dans les événements tragiques dont ont été victimes des mouvements spirituels comme les Davidiens, le Temple du Peuple ou l'Ordre du Temple Solaire sont ceux qui connaissent le mieux la vérité des faits
et les raisons du mensonge.

« Le vice-président du groupe d'étude sur les sectes de l'Assemblée nationale Jean-Pierre Brard a, lui, demandé le report du procès de M. Tabachnick, de façon à permettre à la justice de reprendre l'enquête. « Je pense qu'il faut rouvrir complètement le dossier », a-t-il dit sur France-Info, « qu'il faut reporter le procès de Michel Tabachnik et qu'il faut mettre les moyens en enquêteurs pour refaire toute l'instruction ». Pour le député-maire communiste de Montreuil (Seine-Saint-Denis), « C'est clair, il n'y a pas eu suicide, mais assassinat ».

Nuke

Du plutonium retrouvé hors de l'enceinte de Fukushima

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Après Fukushima, l'Agence internationale de l'énergie atomique veut renforcer son rôle auprès des Etats. Ici, une photo rendue publique par Tepco le 21 mars 2011.AFP/-
Pour la première fois depuis l'accident du complexe nucléaire de Fukushima, une petite quantité de plutonium a été détectée en plusieurs lieux du nord-est du Japon, largement en dehors de l'enceinte de la centrale, a annoncé vendredi 30 septembre le gouvernement nippon, précisant que les teneurs relevées n'avaient rien d'alarmant.

Le plutonium est vraisemblablement issu des réacteurs du complexe nucléaire de Fukushima, qui a subi le pire accident depuis celui de Tchernobyl (Ukraine) en 1986. Trois des six réacteurs nucléaires de cette centrale située au bord de l'océan Pacifique ont été fortement endommagés. Leur combustible a fondu et est tombé au fond de la cuve, après la perte de leur système de refroidissement, dont l'alimentation électrique a été noyée par le tsunami qui a ravagé la région le 11 mars.

Commentaire: Depuis le début de la catastrophe de Fukushima SOTT avait posé la question du Plutonium qui n'était jamais évoqué. Cette fois c'est confirmé, le plutonium est donc présent dans les rejets émis par la centrale. C'est extrêmement grave car le plutonium, a une durée de vie qui peut être considéré comme infinie or il suffit qu'une infime particule pénètre dans le corps pour que cela déclenche un cancer.


Gear

Charnier à Tripoli ? « On nous ment »

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Le Conseil national de transition avait annoncé dimanche la découverte de restes de victimes de la prison d'Abou Salim, à Tripoli. Mais sur place, certains proches n'ont trouvé lundi que des os de mammifères.

C'est à la mi-février, à Benghazi, à l'appel des familles de disparus de la prison Abou Salim, à Tripoli, et qui protestaient contre l'arrestation de leur avocat, que la révolution avait commencé. L'écho des disparus d'Abou Salim dans l'opinion est toujours vif, à tel point que lundi le défilé des familles qui avaient perdu un proche était incessant sur les lieux supposés « du massacre de masse ».

Othmen Abdeljelil, responsable de la commission des disparus, avait convié, dimanche, « les correspondants étrangers » à juger « par eux-mêmes de la véracité des crimes commis » par le régime. « Ensuite, les restes des corps ont été balancés sur le terrain à côté de la prison », avait-il affirmé.

Mais derrière l'enceinte de l'établissement, rien ne laisse supposer la présence d'ossements. Pourtant, ils étaient encore une trentaine, hier à la mi-journée, à gratter d'un bout de bois le sol sablonneux de ce terrain vague. Mais pas d'équipe médicale sur les lieux, qui aurait pu certifier aux familles totalement perdues que ce fémur ne pouvait appartenir qu'à un mammifère de 500 kilos. Pas de pelle mécanique pour excaver le sable

Stormtrooper

Pathocratie en action - Hôtel de passe, stups, corruption : le n°2 de la PJ de Lyon en garde à vue


Commentaire : Ou quand les loups se bouffent entre eux.


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L'adjoint de la police judiciaire de Lyon, Michel Neyret, a été placé en garde à vue ce jeudi matin, et transféré à Paris peu après 16h. La police des polices enquête depuis des semaines sur plusieurs activités suspectes, notamment un trafic de stupéfiants et des activités autour d'un hôtel à Vienne en Isère.

C'est un véritable coup de tonnerre qui frappe la police lyonnaise et plus globalement la police française. Michel Neyret, directeur adjoint de la police judiciaire de Lyon, a été placé en garde à vue ce jeudi et transféré à Paris en milieu d'après-midi. Michel Neyret est pourtant considéré comme un grand flic, une figure de la PJ, respectée pour ses résultats face au grand banditisme lyonnais ou grenoblois.

Mais depuis plusieurs semaines, Michel Neyret était dans le viseur de la police des polices. Selon nos informations, quatre enquêteurs de l'Inspection générale des services étaient à Lyon depuis fin août. Officiellement, ils enquêtaient sur un commissaire en fin de carrière qui avait mobilisé sa brigade au service de sa maîtresse. "Il s'agissait d'un leurre" nous indique une source proche de l'enquête qui ajoute "on ne se met pas sur le n°2 de la PJ comme ça !".

Pills

Quand Servier « censurait » les articles d'une journaliste

Alors que le procès pénal du scandale du Médiator a été fixé au 14 mai 2012, une biochimiste sort de son silence sur RMC. Virginie Bagouet, devenue journaliste médicale, a vu ses articles sur les médicaments de Servier réécrits directement par le laboratoire ou par sa rédaction en chef soucieuse de protéger les intérêts de cet annonceur. Témoignage.

Biochimiste de formation, Virginie Bagouet a travaillé trois ans pour la revue Impact Médecine, hebdomadaire pour les médecins généralistes, écrivant notamment sur le Protelos (un des traitements contre l'ostéoporose), ainsi que sur le Médiator, deux médicaments fabriqués par les laboratoires Servier. Mais rapidement, son travail est devenu un véritable enfer, raconte-t-elle sur RMC.

«Des articles modifiés et publiés sous une autre signature»

« C'est simple, sur le Médiator, on nous a rapidement interdit d'enquêter, puis même d'écrire. Je me suis aperçue très vite que la directrice de la rédaction avait elle-même modifié un de mes articles. Et un de mes articles sur le Protelos, traitement de l'ostéoporose commercialisé par le laboratoire Servier a été soumis à relecture à la firme. La rédactrice en chef adjointe de cette revue me l'a fait passer après les modifications apportées par le laboratoire et je me suis opposée à la publication de ce texte promotionnel déguisé en article. Il a finalement été publié en utilisant le pseudonyme Claire Bonnot, adopté pour signer les articles publicitaires ».

Che Guevara

Wall Street occupé

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Sauf pour les petits chanceux ayant les bons contacts sur les réseaux sociaux ; vous ne verrez et n'entendrez pas parler de ce soulèvement en France ; les médias portant la museaulière depuis quelques temps et choisissant délibérement de ne pas dire un seul petit mot de certaines actualités !

#OP Occupation Wall Street, c'est ainsi qu'a été baptisée la vague humaine qui s'est invitée dans le quartier financier de New York le 17.09.2011.

A l'appel des Anonymous sur le net des milliers de gens se sont donc installés depuis maintenant 10 jours dans ce quartier où l'argent est pour tous la lumière divine !

Des gens de tous âges, de toutes cultures, de tous bords ; même des "figures" se sont jointes aux manifestants, comme Michael Moore.

Ce qui avait commencé dans une ambiance plutôt bon enfant a vite tourné à une répression brutale et permanente des NYPD.

Che Guevara

Tokyo : Violences policières contre des antinucléaires

Le 23 septembre, une manifestation contre le nucléaire à Tokyo s'est soldée par des violences policières. Selon le réseau international No-Vox, cette « intervention brutale » visait directement Ryoto Sono, un militant pacifiste radical antinucléaire. « Pour se saisir de Sono, les policiers ont tabassé les manifestants qui essayaient de le protéger, puis ils l'ont menotté et conduit avec force dans la voiture de police », relate No-Vox.

Depuis la catastrophe de Fukushima, Ryota Sono a impulsé plusieurs actions de protestation à l'encontre de la compagnie d'électricité Tepco, exploitant de la centrale de Fukushima. Syndicaliste du Freeter Union - syndicat des jeunes précaires - et membre de No-Vox Japon, il est également l'initiateur des « 50 jours de manifestations consécutives pour la liberté ». Pour No-Vox, cette arrestation marque la volonté de « faire taire une voix importante du mouvement antinucléaire ». Une pétition exigeant sa mise en liberté et le respect du droit à manifester est en ligne ici.

Family

Du paradigme de l'Education

APPRENDRE LA VIE ?

L'école, la famille, les médias, structurés implicitement autour de la comparaison, conditionnent à la fragmentation, au manque, à la conformation -- ce qui génère blessures, peurs et souffrances.

Que serait et comment mettre en place une 'éducation' véritablement libératrice, qui préparerait à vivre harmonieusement, dans toutes les circonstances de la vie ?

C'est ce que travaille le CREA-Apprendre la vie (Cercle de Réflexion pour une Éducation Authentique), avec et pour tous ceux que cette vision intéresse.


Handcuffs

Un bébé de 22 mois en centre de rétention à Lyon

Depuis le 20 septembre une famille arménienne d'Albertville (Savoie) avec son bébé de 22 mois a été placée au centre de rétention de Lyon.


Nuke

Risque d'une nouvelle explosion d'hydrogène au réacteur 1 de Fukushima

Tokyo, correspondance - Une concentration anormalement élevée d'hydrogène a été détectée, jeudi 22 septembre, dans une conduite reliée à l'enceinte de confinement du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Fukushima. De 1 %, elle reste inférieure au 4 % considérés comme pouvant provoquer une explosion, au cas où cet hydrogène entrerait en contact avec une concentration d'oxygène supérieure à 5 %.

La découverte de la concentration d'hydrogène à un niveau "supérieur aux attentes", selon l'opérateur du site, la Compagnie d'électricité de Tokyo (Tepco), a été faite par des techniciens qui travaillaient sur l'installation d'un nouveau système de ventilation lié à l'enceinte de confinement. Ils ont découvert dans le tuyau et en deux endroits une forte concentration de plusieurs gaz inflammables, dont de l'hydrogène.

Lors d'une conférence de presse samedi, Junichi Matsumoto, porte-parole de Tepco, a déclaré qu'"en l'absence d'un facteur détonnant, on ne peut pas dire qu'il existe, dans l'immédiat, un risque élevé d'explosion". L'entreprise souhaite effectuer des mesures complémentaires pour évaluer avec précision la quantité d'hydrogène présente.