Enfant de la SociétéS


Stormtrooper

Pathocratie en action - Hôtel de passe, stups, corruption : le n°2 de la PJ de Lyon en garde à vue


Commentaire : Ou quand les loups se bouffent entre eux.


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L'adjoint de la police judiciaire de Lyon, Michel Neyret, a été placé en garde à vue ce jeudi matin, et transféré à Paris peu après 16h. La police des polices enquête depuis des semaines sur plusieurs activités suspectes, notamment un trafic de stupéfiants et des activités autour d'un hôtel à Vienne en Isère.

C'est un véritable coup de tonnerre qui frappe la police lyonnaise et plus globalement la police française. Michel Neyret, directeur adjoint de la police judiciaire de Lyon, a été placé en garde à vue ce jeudi et transféré à Paris en milieu d'après-midi. Michel Neyret est pourtant considéré comme un grand flic, une figure de la PJ, respectée pour ses résultats face au grand banditisme lyonnais ou grenoblois.

Mais depuis plusieurs semaines, Michel Neyret était dans le viseur de la police des polices. Selon nos informations, quatre enquêteurs de l'Inspection générale des services étaient à Lyon depuis fin août. Officiellement, ils enquêtaient sur un commissaire en fin de carrière qui avait mobilisé sa brigade au service de sa maîtresse. "Il s'agissait d'un leurre" nous indique une source proche de l'enquête qui ajoute "on ne se met pas sur le n°2 de la PJ comme ça !".

Pills

Quand Servier « censurait » les articles d'une journaliste

Alors que le procès pénal du scandale du Médiator a été fixé au 14 mai 2012, une biochimiste sort de son silence sur RMC. Virginie Bagouet, devenue journaliste médicale, a vu ses articles sur les médicaments de Servier réécrits directement par le laboratoire ou par sa rédaction en chef soucieuse de protéger les intérêts de cet annonceur. Témoignage.

Biochimiste de formation, Virginie Bagouet a travaillé trois ans pour la revue Impact Médecine, hebdomadaire pour les médecins généralistes, écrivant notamment sur le Protelos (un des traitements contre l'ostéoporose), ainsi que sur le Médiator, deux médicaments fabriqués par les laboratoires Servier. Mais rapidement, son travail est devenu un véritable enfer, raconte-t-elle sur RMC.

«Des articles modifiés et publiés sous une autre signature»

« C'est simple, sur le Médiator, on nous a rapidement interdit d'enquêter, puis même d'écrire. Je me suis aperçue très vite que la directrice de la rédaction avait elle-même modifié un de mes articles. Et un de mes articles sur le Protelos, traitement de l'ostéoporose commercialisé par le laboratoire Servier a été soumis à relecture à la firme. La rédactrice en chef adjointe de cette revue me l'a fait passer après les modifications apportées par le laboratoire et je me suis opposée à la publication de ce texte promotionnel déguisé en article. Il a finalement été publié en utilisant le pseudonyme Claire Bonnot, adopté pour signer les articles publicitaires ».

Che Guevara

Wall Street occupé

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Sauf pour les petits chanceux ayant les bons contacts sur les réseaux sociaux ; vous ne verrez et n'entendrez pas parler de ce soulèvement en France ; les médias portant la museaulière depuis quelques temps et choisissant délibérement de ne pas dire un seul petit mot de certaines actualités !

#OP Occupation Wall Street, c'est ainsi qu'a été baptisée la vague humaine qui s'est invitée dans le quartier financier de New York le 17.09.2011.

A l'appel des Anonymous sur le net des milliers de gens se sont donc installés depuis maintenant 10 jours dans ce quartier où l'argent est pour tous la lumière divine !

Des gens de tous âges, de toutes cultures, de tous bords ; même des "figures" se sont jointes aux manifestants, comme Michael Moore.

Ce qui avait commencé dans une ambiance plutôt bon enfant a vite tourné à une répression brutale et permanente des NYPD.

Che Guevara

Tokyo : Violences policières contre des antinucléaires

Le 23 septembre, une manifestation contre le nucléaire à Tokyo s'est soldée par des violences policières. Selon le réseau international No-Vox, cette « intervention brutale » visait directement Ryoto Sono, un militant pacifiste radical antinucléaire. « Pour se saisir de Sono, les policiers ont tabassé les manifestants qui essayaient de le protéger, puis ils l'ont menotté et conduit avec force dans la voiture de police », relate No-Vox.

Depuis la catastrophe de Fukushima, Ryota Sono a impulsé plusieurs actions de protestation à l'encontre de la compagnie d'électricité Tepco, exploitant de la centrale de Fukushima. Syndicaliste du Freeter Union - syndicat des jeunes précaires - et membre de No-Vox Japon, il est également l'initiateur des « 50 jours de manifestations consécutives pour la liberté ». Pour No-Vox, cette arrestation marque la volonté de « faire taire une voix importante du mouvement antinucléaire ». Une pétition exigeant sa mise en liberté et le respect du droit à manifester est en ligne ici.

Family

Du paradigme de l'Education

APPRENDRE LA VIE ?

L'école, la famille, les médias, structurés implicitement autour de la comparaison, conditionnent à la fragmentation, au manque, à la conformation -- ce qui génère blessures, peurs et souffrances.

Que serait et comment mettre en place une 'éducation' véritablement libératrice, qui préparerait à vivre harmonieusement, dans toutes les circonstances de la vie ?

C'est ce que travaille le CREA-Apprendre la vie (Cercle de Réflexion pour une Éducation Authentique), avec et pour tous ceux que cette vision intéresse.


Handcuffs

Un bébé de 22 mois en centre de rétention à Lyon

Depuis le 20 septembre une famille arménienne d'Albertville (Savoie) avec son bébé de 22 mois a été placée au centre de rétention de Lyon.


Nuke

Risque d'une nouvelle explosion d'hydrogène au réacteur 1 de Fukushima

Tokyo, correspondance - Une concentration anormalement élevée d'hydrogène a été détectée, jeudi 22 septembre, dans une conduite reliée à l'enceinte de confinement du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Fukushima. De 1 %, elle reste inférieure au 4 % considérés comme pouvant provoquer une explosion, au cas où cet hydrogène entrerait en contact avec une concentration d'oxygène supérieure à 5 %.

La découverte de la concentration d'hydrogène à un niveau "supérieur aux attentes", selon l'opérateur du site, la Compagnie d'électricité de Tokyo (Tepco), a été faite par des techniciens qui travaillaient sur l'installation d'un nouveau système de ventilation lié à l'enceinte de confinement. Ils ont découvert dans le tuyau et en deux endroits une forte concentration de plusieurs gaz inflammables, dont de l'hydrogène.

Lors d'une conférence de presse samedi, Junichi Matsumoto, porte-parole de Tepco, a déclaré qu'"en l'absence d'un facteur détonnant, on ne peut pas dire qu'il existe, dans l'immédiat, un risque élevé d'explosion". L'entreprise souhaite effectuer des mesures complémentaires pour évaluer avec précision la quantité d'hydrogène présente.

Che Guevara

« Cette merde doit cesser »

Un vieux Monsieur très digne dit les choses comme elles sont :


Gear

Flashback Hystérie « apocalyptique » de la Miviludes : l'arnaque Bugarach

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Lors de la remise de son rapport 2010, le Président de la Miviludes Georges Fenech n'a eu de cesse de surfer sur le "phénomène Bugarach" en en faisant un problème national, et décrivant un village infesté par les "sectes" et prédisposé au suicide collectif pour décembre 2012. Georges Fenech a même été jusqu'à louer un hélicoptère sur les deniers publics pour survoler le pic de Bugarach (pourquoi ?, qu'espérait-il trouver ?, seuls les extra terrestres le savent...).


Commentaire : Ah, Georges Fenech, ses voyages, ses collusions avec les promoteurs des OGM, et le financement opaque de la MIVILUDES...


Pourtant, dans le Point du 11 août, un article fort intéressant est paru (p 54), démontrant qu'en fait il ne se passe rien à Bugarach et que la Miviludes a juste profité d'un engouement médiatique basé sur le néant pour faire parler d'elle.

Cut

Chili : Blackout pour les deux tiers de la population

Le Chili a été plongé dans le noir pendant trois heures samedi soir, suite à une coupure d'électricité géante.

Trois heures d'obscurité. 10 des 17 millions de Chiliens ont été plongés dans le noir samedi soir, suite à une panne d'électricité géante. La lumière a disparu dans la capitale Santiago vers 20h30 heure locale, et dans les régions depuis l'Atacama au nord jusqu'au Maule dans le centre-sud. La capitale, qui compte six millions de chiliens, a été particulièrement perturbée : métro évacué, téléphone coupé, circulation routière sous tension, un match de football suspendu. Un poste de péage routier a été braqué tandis qu'un supermarché de la banlieue nord était pris d'assaut par d'opportunistes pilleurs, qui se sont ensuite heurtés aux forces de l'ordre. Bilan : un mineur blessé par balle à la jambe et un homme de 26 ans arrêté. Les feux de signalisation étant à l'arrêt, des policiers ont été déployés sur les grands carrefours de la ville, tandis que la population était invitée à rester chez elle.