Je l'ai évoqué dans un précédent billet[1], nos gouvernements se sont engagés dans une fuite en avant, en matière d'imposition de la [soi-disant - NdSott] vaccination. Pour écouler des stocks faramineux de vaccins acquis au prix fort avec les deniers publics et dans l'espoir de taire tout discours contrariant à une doxa fabriquée à coups de subventions publiques à la faveur des médias mainstream. Les mêmes consultants et bureaux conseils sont aux commandes. La stratégie est toujours la même : avancer par « enfumage ».
© Inconnu
En France, on commence par prescrire la troisième dose au personnel soignant puis on conditionne la validité du pass sanitaire pour les personnes âgées de 65 ans et plus à une troisième dose et seulement quelques jours plus tard on abaisse le seuil « d'éligibilité »
— ou plutôt d'astreinte
— à l'âge de 40 ans. Pourquoi 40 et non 42 ou 38 ans ? Ce n'est pas important. Le régime macronien a déjà fait savoir, fin de semaine dernière, que la troisième dose va rapidement être étendue à toutes et à tous : « C'est le sens de l'histoire »,
dixit l'autocratique Emmanuel Macron qui gouverne seul, à l'abri d'un conseil de défense, dont les présupposées activités sont au bénéfice du secret défense pour 50 ans ![2]
Mais dans ce cas, pourquoi les nouvelles mesures ne s'appliquent qu'à partir du premier décembre et non immédiatement ? Puisque les médias mainstream s'appliquent à nous brosser un tableau des nouvelles contaminations des plus noirs et ce au quotidien. La réponse on l'a eu vendredi dernier sur le plateau de la chaîne télévisée LCI où un chef de clinique convié pour vendre les mérites de la troisième dose [soi-disant - NdSott] vaccinale
— un de plus
— a mis les pieds dans le plat. Il a admis, à demi mot, que
c'était le rythme des livraisons des [soi-disant - NdSott] vaccins qui dictait l'adoption des nouvelles mesures. Plus fort encore, c'est la récente annonce du chancelier autrichien Alexander Schallenberg qui veut imposer la [soi-disant - NdSott] vaccination à toute sa population dès le 1er février prochain[3]. Faisant fi des critères impératifs contenus dans la liste du « Code de Nuremberg. »[4]
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