Enfant de la SociétéS


Cow Skull

J'ai parfois peur du futur


Commentaire : Les informations remontées par cet article sur les problèmes rencontrés par la Floride sur sa production de fruits et les vraisemblables causes sont vraiment intéressantes.


Deux mises en échec des humains par la nature dans la banane et les oranges / citrons devraient nous faire réfléchir...
citrus
Je suis assez souvent dérangé par la manière dont l'homme traite la terre.

La terre nous nourrit mine de rien.

J'ai vu récemment une formation faîte par un spécialiste français du sol reconnu internationalement. Il expliquait la chimie, les bactéries et les organismes vivants présents dans la terre qui œuvraient en complément des arbres pour maintenir en place un système étonnant qui fait vivre tout le monde. Et il s'étonnait de cette obsession que je qualifierais de névrotique, des agriculteurs à laisser le sol nu sans aucune végétation dessus, ces derniers estimant qu'un sol nu et propre est le signe d'une bonne agriculture... alors que les bactéries, clef de la fertilité meurt à partir de 41 degrés et que le soleil qui tape un sol nu, fait monter la température facilement au-delà de 50 degrés tuant toutes les bactéries, alliées incontournables de la fertilité et de l'agriculteur.


Commentaire : Il s'agit sûrement de Claude Bourguignon. Voir cette conférence : Où va le monde ?


Face à ces absurdités, les hommes répondent qu'on peut s'affranchir du système naturel et augmenter la productivité grâce à la chimie, aux engrais, aux pesticides et herbicides, aux cultures maraîchères hors sol...

Et c'est là où je suis perplexe.

Peut-on vraiment s'en affranchir ?

Peut-on le faire à horizon 50 ans ? 100 ans ?

Car l'enjeu est juste notre survie... ce qui est loin d'être anodin.

Je trouve particulièrement téméraire que de jouer à ce jeu pour une poignée d'euros de plus à la fin du mois si on compare le poids de l'agriculture dans le PIB mondial...

L'agriculture idiote a été mise en place dans les années 60. Cela fait donc grosso modo 50 ans qu'on détruit méthodiquement notre principal outil de survie.

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Vader

Nazification de l'Europe : le Danemark souhaite loger les réfugiés des villes dans des camps

inmigrants
Quel visage a l'Europe devant cette tragédie des réfugiés ?
Les députés danois ont poussé le gouvernement à chercher des solutions de relogement des réfugiés dans des camps à l'extérieur des villes.

La résolution est passée au Parlement danois jeudi, ordonnant au gouvernement de dresser un plan pour construire des camps financés par l'Etat hors des villes à partir de mars, selon Reuters. Cette initiative intervient alors que les législateurs finalisent la loi visant à confisquer l'argent et les biens des réfugiés d'une valeur combinée supérieure à 1 320 euros.

Pour l'instant la majorité des familles de réfugiés habitent dans les villes, mais un certain nombre de camps de tentes a été érigé pour les migrants célibataires masculins.

Les migrants vivant déjà dans de tels camps ont exprimé l'inquiétude que cette nouvelle proposition, visant à soulager la pression migratoire dans les villes qui manquent de capacités d'accueil, pourrait finalement créer des ghettos.

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  • Nazification de l'Europe : Geert Wilders veut que les réfugiés musulmans de sexe masculin soient internés



Vader

Des réfugiés affirment que des membres de Daesh vivent parmi eux en Allemagne

daesh
© Screenshot
Des réfugiés chrétiens de Syrie prétendent avoir identifié un membre de Daesh vivant à Francfort, et que ce n'est pas un cas isolé. La police a enquêté mais refuse de mener une action puisque le terroriste présumé n'a encore rien fait de criminel.

Lors de sa dernière visite dans la région allemande de Sarre, à la frontière avec la France, le correspondant de RT Peter Oliver a rencontré un groupe de chrétiens assyriens qui avaient été tenus en otage par Daesh. Ils ont rappelé que lors de leur séjour en captivité, la seule chose qu'ils demandaient à leurs geôliers était d'être abattus et non pas décapités.

La même communauté, habitant maintenant dans la ville de Saarlouis, indique que cette expérience horrible les a poursuivis jusqu'en Allemagne, après avoir appris qu'un homme ayant des liens avec Daesh vivait parmi eux.

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Témoignage d'un videur sur les événements du Nouvel an à Cologne


Binoculars

SOTT Focus: Nouvel An à Cologne : crimes sexuels et radicalisation de la société européenne

cologne fireworks
Tout le monde est au fait des événements qui se sont déroulés à Cologne, en Allemagne, le soir du Nouvel An. Un groupe de 1000 réfugiés avinés auraient semé le chaos dans le centre-ville, tirant des feux d'artifice contre la foule, dépouillant des passants et agressant sexuellement plus d'une centaine de femmes. Selon la police de Cologne, plus de 200 plaintes pour agressions sexuelles ont été enregistrées. Ces événements ont généré un climat de peur ainsi que des réactions violentes contre les autorités, qu'il s'agisse de la police locale ou du gouvernement allemand. C'est du « terrorisme sexuel » à l'état pur, la preuve que l'expérience de multiculturalisme entreprise par l'Allemagne, ainsi que sa politique d'ouverture aux réfugiés du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, sont un échec total.

La couverture médiatique et les réactions des journalistes sont sans équivoque. Mais cette présentation des faits est-elle justifiée ? Nullement. Ce qui s'est vraiment passé à Cologne cette nuit-là reste flou. Le fait que tous les organes de presse soient unanimes - dans un pays où les médias sont contrôlés par la CIA - indique la nature « opérationnelle » et arrangée de la couverture médiatique, et peut-être même de l'événement lui-même.

Pour le moment, la seule vidéo disponible filmée sur les lieux montre une foule de jeunes (pour la plupart, des hommes) dans le centre-ville de Cologne, certains en train de picoler, et certains lançant des feux d'artifice en l'air et parfois dans la foule. En bref, un large groupe - ou plusieurs petits groupes - d'ados et de jeunes d'une vingtaine d'années qui se comportent comme n'importe quel jeune de leur âge dans la plupart des pays occidentaux : de façon irresponsable, et « prenant juste un peu de bon temps ». Ce que les vidéos ne montrent pas, mais qui s'est incontestablement produit, c'est une série d'agressions sexuelles commises dans le centre-ville par un nombre inconnu d'hommes. Des victimes rapportent avoir été forcées de traverser une foule de jeunes - d'apparence moyen-orientale ou nord-africaine - et avoir subi de multiples attouchements, des vols, et au moins des viols pour une ou deux d'entre elles, selon les témoignages.

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Boat

Tragédie en mer Égée, des dizaines de morts

Au moins 44 migrants, dont 20 enfants, se sont noyés vendredi en mer Égée, dans 3 naufrages survenus entre les côtes turques et grecques, une des séries noires les plus meurtrières dans la zone depuis le début, en 2015, de l'exode massif de populations fuyant guerres et misère. La majorité des victimes - 11 enfants, 16 femmes et 9 hommes - se trouvaient parmi les passagers d'un voilier en bois, parti dans la nuit de la région de Bodrum, en Turquie, et qui a chaviré au large de l'îlot grec de Kalolimnos. Le bilan de ce naufrage pourrait encore s'alourdir, les 26 rescapés ayant fait état de disparus, dont le nombre restait encore indéterminé dans l'après-midi, selon la police portuaire.
Mer Egée
Des dizaines de morts dans une nouvelle tragédie en mer Égée
La plupart des passagers étaient syriens, irakiens et afghans, tous les survivants étant de ces nationalités, selon Marco Procaccini, responsable dans la zone du Haut Commissariat aux réfugiés de l'ONU (HCR). Ils ont été conduits sur l'île proche de Kalymnos, où onze restaient hospitalisés, sans que leurs jours soient en danger, les autres étant accueillis dans un hôtel. « La plupart sont en état de choc, il y avait à bord des familles, dont, dans certains cas, seul le père a survécu », a-t-il affirmé à l'AFP.

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Ambulance

Le régime barbare saoudien frappe de nouveau des innocents au Yémen

Plus de 20 personnes, dont un conducteur d'ambulance d'un hôpital de MSF, auraient été tuées dans une série de frappes aériennes des avions de la coalition dirigée par Riyad contre une cible dans la province de Saada, au Yémen. Médecins sans frontières (MSF) a confirmé les raids meurtriers à Saada, ajoutant que « les avions revenaient pour frapper des zones qui avait déjà été ciblées ».

yemen
© MSF
Le raid « a tué un conducteur d'ambulance en mission de secours, depuis un hôpital de MSF », a écrit l'ONG sur sa page Twitter, en expliquant que cet homme et les secouristes qui l'accompagnaient essayaient de secourir des personnes blessées lors de la première série de frappes.

L'ambulance venait tout juste de prendre en charge des victimes quand une frappe directe a tué tous ceux qui se trouvaient à l'intérieur du véhicule, a raconté Mouhammed Hajr, le directeur de l'hôpital Jumhuriya, dans le gouvernorat de Saada, cité par le New York Times.


Commentaire : L'Arabie Saoudite continue, avec le silence complice du monde entier, a tuer des innocents. Ces meurtres sont des crimes de guerre et devraient être jugés comme tels. Les guerres sont toujours atroces et celle du Yemen l'est particulièrement : les victimes sont des innocents, des médecins, des malades dans les hôpitaux. Il est honteux que la communauté internationale ne fasse rien pour arrêter cette barbarie. Mais l'Arabie Saoudite joue un rôle essentiel dans la politique de déstabilisation étasunienne au Moyen-Orient...


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Cow Skull

Anthropocène, ou la nouvelle ère de l'être humain : destruction, pollution... extinction ?


Commentaire : Quand il s'agit de l'environnement, on nous dégaine du discours moralisateur ; on nous balance de la « planète à sauver » et de « la prise de conscience » à conscientiser. On nous pond des solutions qui vont demander du « sacrifice », de l' « agir pour la planète » ; on nous dit qu'il faut penser « modèle de consommation » . On nous dit que nous avons mangé notre pain blanc, et que maintenant, il faut « raisonner durable » car le spectre de l'extinction se ballade dans le coin. On nous dit qu'on ne peut plus faire ce que l'on veut, et que pour « sauver la Terre », il nous faudra en passer par les lois.

Un fatras d'inepties proférées par les dirigeants d'un système qui a promu et encouragé, pendant des décennies, ce contre quoi il faudrait se battre aujourd'hui. Un système qui nous dit que nous sommes tous fautifs, et qu'il faut payer les conséquences de « nos mauvaises actions ». Mais est-ce le reflet de la réalité ? Rien n'est moins sûr. L'humanité invente certes les instruments de sa propre destruction, mais à y regarder de plus prés, on constate que les responsabilités sont loin d'être uniformément réparties. Les problèmes de nos sociétés actuelles sont invariablement engendrés par les personnes détentrices d'un pouvoir et d'une autorité.

Nous avons un problème avec l'environnement ? Nous avons alors un problème en amont de celui-ci, autrement plus important, avec les personnes qui ont permis que tout ceci arrive, et qui permettent que tout ceci continue. Avec les politiciens, les hommes d'affaire et les scientifiques à l'esprit dégradé qui ont donc, à leur image, dégradé notre environnement par l'utilisation et la propagation sans conscience d'une technologie qui modifie la nature jusqu'à la rendre invivable. Si nous pouvions prendre réellement conscience que les comportements maladifs des décideurs engendrent inévitablement des situations anormales, nous nous sauverions nous-même de nous-même en quelque sorte, et bien des problèmes actuels seraient résolus.


beton
© Inconnu
L'être humain a-t-il poussé la planète dans une nouvelle ère, l'« anthropocène » ? En avril, les géologues devront se prononcer. Mais l'étude de strates ne dit pas tout. Un faisceau d'indices plaide déjà contre nous.

Cela faisait onze mille sept-cents ans que ça n'était pas arrivé. La fin d'une ère. La dernière fois, la planète voyait s'achever l'époque glaciaire et l'homme, pourtant déjà présent sur Terre depuis près de sept millions d'années, n'avait pas grand-chose à voir dans l'affaire.

En avril prochain, un nouveau changement de ce type, global et rarissime, pourrait être acté. La Commission internationale de stratigraphie (ICS), l'organisme fixant les grands standards de la géologie, doit se prononcer. A cette occasion, la Terre pourrait quitter officiellement l'holocène pour entrer dans l'anthropocène. Cette fois, l'être humain est la force motrice.

La bascule n'est pas seulement sémantique. En adoptant ce terme d'« anthropocène », les chercheurs reconnaîtraient que l'espèce humaine, par son activité, est devenue une force géologique majeure. Ils constateraient officiellement que l'homme a inscrit la trace de son passage dans les strates de glace et de sédiments. En attendant que le panel international de géologues se prononce, le dossier s'alourdit. La dernière revue d'études, coordonnée par Colin Waters et publiée le 8 janvier dans Science, conclut que cette nouvelle époque existe et qu'elle « a débuté quelque part au milieu du XXe siècle ». Si elle allait dans cette même direction, la décision de l'ICS ne ferait qu'inscrire dans le marbre un bouleversement amplement reconnu. « L'idée de l'anthropocène dépasse la géologie, résume Dominique Bourg, philosophe et professeur à la faculté des géosciences et de l'environnement de l'université de Lausanne. Son acceptation culturelle et scientifique est déjà largement acquise. » Et pour cause, les signes témoignant de notre empreinte indélébile fourmillent. En voici un échantillon.

Ambulance

Le retour d'Ebola : la Sierra Leone rétablit les contrôles sanitaires après un second cas

La Sierra Leone a enregistré un nouveau cas d'Ebola, une proche de la victime décédée il y a moins de dix jours dans ce pays, qui renouait jeudi avec les contrôles sanitaires systématiques pour prévenir de nouvelles contaminations. La malade est une tante de l'étudiante de 22 ans, Marie Jalloh, qui avait succombé à Ebola le 12 janvier dans la ville de Magburaka (nord), où cette femme était en quarantaine, selon plusieurs sources officielles en Sierra Leone et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui a confirmé ce second cas.

ebola
La femme, dont l'identité n'a pas été dévoilée, a simplement été présentée comme " Tante M. ", âgée de 38 ans, dans un communiqué diffusé jeudi après-midi par les services de la présidence à Freetown.

Selon ce texte, " Tante M ." avait été placée en quarantaine à Magburaka 17 janvier, avec quatre autres personnes considérées comme " à haut risque ". Elle a commencé à présenter une fièvre avec de la diarrhée tôt mercredi et a aussitôt été transférée vers une unité d'isolement, jusqu'à ce que les prélèvements effectués sur elle confirment la présence du virus Ebola. Elle a été transférée à Freetown, la capitale, dans un centre de traitement adapté dans un hôpital militaire.

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Ambulance

21 morts et des dizaines de blessés dans une attaque contre une université au Pakistan

Au moins 21 personnes ont été tuées mercredi dans l'attaque d'une université du nord-ouest du Pakistan, aussitôt revendiquée par une faction talibane pakistanaise, un an après un massacre dans une école de la même région. Les hommes armés ont profité de l'épais brouillard qui enveloppait l'université de Bacha Khan à Charsadda, une ville située à une cinquantaine de kilomètres de Peshawar pour lancer leur assaut en début de matinée.

pakistan
Des témoins ont fait état de tirs et de deux fortes explosions, tandis que des dizaines d'étudiants paniqués fuyaient en courant le lieu de l'attaque, selon des images diffusées par les télévisions locales.

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Star of David

La joie macabre des militaires israéliens quand ils abattent des Palestiniens

Traduction : Jean-Marie Flémal

Cette vidéo a été filmée sous la perspective de soldats israéliens qui abattent de jeunes Palestiniens protestant contre l'occupation.

On peut entendre les militaires y aller de commentaires allègres et se féliciter mutuellement quand ils tirent pour mutiler de jeunes Palestiniens.


Au début, la caméra s'arrête sur un jeune Palestinien, tenant apparemment une fronde utilisée pour lancer des cailloux en direction des soldats de l'occupation (mais pas en direction de la caméra, peut-on voir).

« Et lui, il n'a pas envie de rester debout ? », demande un soldat en hébreu.

« Debout... debout », répète le soldat, puis on entend la détonation d'une arme et le jeune tombe par terre.

« Il l'a eu ! », crie un soldat triomphalement, et d'ajouter : « Il l'a eu dans le cul ! »

« Bien joué ! », crie une autre voix. Comme les soldats se congratulent mutuellement, les Palestiniens se hâtent d'évacuer le jeune blessé pour le mettre à l'abri.