La Science de l'Esprit
Plusieurs études ont démontré que ce type de méditation pouvait avoir des effets bénéfiques à long terme sur la stabilité émotionnelle et, par conséquent, sur des désordres comme l'anxiété et la dépression majeure. Une nouvelle recherche révèle que cet entrainement de l'esprit aurait une influence sur le réseau cérébral par défaut chez des personnes ayant une longue expérience de la méditation quand elles sont au repos. Les différences sur le plan cérébral indiqueraient que la méditation favorise la concentration et la réflexion de manière plus objective par rapport à soi.
"Nous avons étudié le cerveau de 13 adeptes de méditation ayant plus de 1000 heures d'entrainement et celui de 11 débutants à l'aide d'analyses de connectivité fonctionnelle", dit Véronique Taylor, première auteure de cette recherche publiée dans la revue Social Cognitive and Affective Neuroscience Advance Access en mars dernier et réalisée dans le laboratoire du professeur Mario Beauregard, de l'Université de Montréal.
Les bambins qui participent à des activités interactives impliquant de la musique - jouer avec des instruments à percussion, chanter des comptines, etc. - auraient plus de facilité à communiquer, seraient plus faciles à consoler et seraient également plus calmes.
Kristina Durante, scientifique de l'Université du Texas, déclare au Daily Mail: "Les femmes ne le réalisent pas mais les hormones associées à la fertilité les conduisent à se faire des illusions sur les bad boys et les hommes sexys. Au lieu de les considérer comme fiables ou non, les femmes pensent que ces hommes pourraient être des partenaires dévoués et de meilleurs pères."
Un vendeur américain est devenu un véritable petit génie après un accident survenu il y a dix ans.
Jason Padgett (41 ans) était vendeur dans un magasin de meubles dans la ville de Tacoma à Washington aux Etats-Unis. Et selon lui, les mathématiques étaient loin de le passionner à l'époque. Mais un soir alors qu'il rentrait chez lui, il a été agressé par plusieurs hommes qui l'ont battu à coups de pieds. Jason a reçu un coup à la tête et sa vie a été complètement transformée.
"Tout ce que je voyais c'était une lumière qui brillait", confie-t-il à la chaîne ABC News. "J'ai pensé: 'ils ont dû me tuer'". Jason a été emmené à l'hôpital, où les médecins lui ont diagnostiqué une commotion cérébrale. Mais il a rapidement constaté que sa vision du monde avait changé. Le jeune homme, qui avait abandonné ses études en secondaires à cause de ses résultats catastrophiques, s'est mis à dessiner des diagrammes très complexes sans comprendre ce qui lui arrivait.
"Dans le monde occidental, on croit à tort que plus on a d'argent, mieux c'est, idem pour les grandes maisons et les nombreux amis. Mais les recherches ne cessent de nous rappeler qu'il vaut mieux se concentrer sur des relations profondes, et pas étendues", Caroline Adams Miller, psychologue à Harvard.
Caroline Fitzpatrick, chercheuse postdoctorale au Centre de recherche du Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine, a établi un lien entre l'exposition à des contenus télévisuels violents vers l'âge de quatre ans et des comportements antisociaux et le désintérêt pour l'apprentissage scolaire en deuxième année du primaire.
Encore peu étudié malgré sa fréquence, le soliloquisme était néanmoins soupçonné d'être utile. Depuis 2007, l'équipe du chercheur Lupyan avait montré que l'écoute du mot « chaise », par exemple, permettait de repérer plus vite des chaises parmi une collection d'images présentées sous leurs yeux.
Dans le papier Self-directed speech affects visual search performance, publié récemment dans The Quarterly Journal of Experimental Psychology, ce chercheur et son collègue Daniel Swingley ont cette fois demandé à certains participants de prononcer des mots eux-mêmes.
Mary Cannon et Ian Kelleher du département de psychiatrie du Royal College of Surgeons (Dublin, Irlande) ont mené cette étude avec 2666 enfants âgés de 11 à 16 ans dans 4 études séparées.
21% à 23% des 11-13 ans et 7% des 14-16 ans rapportaient avoir vécu ces symptômes. Les hallucinations peuvent varier, consistant à entendre une phrase isolée à l'occasion, jusqu'à entendre des conversations entre 2 ou plus de personnes pendant plusieurs minutes.
Des chercheurs de Harvard ont décidé d'examiner l'ensemble des données à ce jour traitant du lien entre le bien-être psychologique et la santé cardiovasculaire. En effet, alors qu'un grand nombre d'études ont mis en évidence un lien entre un état psychologique négatif (agressivité, stress, dépression) et un risque augmenté de maladies cardiovasculaires, peu d'informations existent encore sur le lien entre ces maladies et un état psychologique positif.
Les chercheurs ont donc analysé les résultats de plus de 200 études et constatent que certains facteurs psychologiques positifs très précis sont associés à une diminution du risque de maladies cardiovasculaires, indépendamment des facteurs de risque connus comme le tabagisme, la consommation d'alcool, l'activité physique, le mode alimentaire ou d'autres facteurs biologiques. Ces facteurs positifs sont l'optimisme, la satisfaction quotidienne et la sensation de bonheur.
La question peut-être la plus importante de notre époque est pourquoi, tout au long de l'histoire de l'humanité, des personnages méprisables se sont à maintes reprises hissés jusqu'aux sommets du pouvoir. Le 20° siècle à lui seul a connu environ 140 millions de victimes de guerre et autres 16 millions de génocide. La famine collective tue des millions de personnes à une époque où il y a bien assez de nourriture pour alimenter le monde. Et ce n'est pas une coïncidence si dans notre monde d'aujourd'hui, 40 % de la richesse mondiale est détenue par 1 % de ses habitants tandis que les 50 % inférieurs ne possèdent que '1 % de la richesse mondiale. Cela signifie que le 1 % au sommet de l'échelle possède 40 fois plus de biens que la moitié de la population mondiale. Il y a bien sûr de nombreuses raisons à cet état de fait désolant. Mais certainement que l'énorme disparité des richesses et du pouvoir dans le monde, ainsi que l'abus de ce pouvoir par un grand nombre de ceux qui en possèdent le plus, explique un tas de choses. Pourquoi autant de personnages méprisables au cours de l'histoire ont acquis la capacité d'infliger autant de souffrance au reste de l'humanité ?
J'ai lu deux livres en particulier qui éclairent grandement cette question : The Authoritarians de Bob Altemeyer (Ce lien renvoie à une version électronique gratuite de l'intégralité du livre d'Altemeyer) ; et La Ponérologie Politique - Science de la nature du mal servant des buts politiques d'Andrew M. Lobaczewski. Ces deux livres traitent à peu près du même processus mais l'approche d'Altemeyer l'aborde depuis un angle psychologique individuel tandis que celle de Lobaczewski se situe plus à un niveau sociétal. Ces deux livres m'avaient été recommandés par mon camarade Duer Larry Ogg.
Commentaire: Remplacez « bad boy sexy » par « prédateur sans conscience », ie psychopathe - charmant, attirant, rusé, beau parleur, sûr de lui (la confiance en soi et l'assurance, c'est « sexy ») - et le tour est joué : davantage d'enfants nés d'unions avec des psychopathes, donc possédant potentiellement des gènes psychopathiques. Ces mêmes enfants se reproduiront, et résultat : davantage de psychopathes en puissance dans le monde. Qui a besoin des « aliens » quand on a les psychopathes pour faire le sale boulot de destruction de la planète et de l'humanité ?