La Science de l'Esprit
Les médias de masse, tout puissants et invasifs, sont responsables de la destruction de l'aspect féminin dans la culture occidentale - aspect qui, autrefois, représentait la sagesse et la générosité. Ils l'ont remplacé par les archétypes de la putain/pouffe « toute puissante », incarnés par les déchets nymphomanes peinturlurés qu'on peut voir dans des séries comme Sex and the City. En conséquence, la société occidentale a perdu ses notions sur la sagesse féminine et a dévié vers une culture bling-bling superficielle et narcissique packagée dans des emballages lourdingues Max Factor. Parce que c'est comme ça que la culture officielle psychopathique d'aujourd'hui voit les femmes.
Ce court document en anglais montre les profonds changements dans une école moyenne (niveau du Cycle d'orientation) d'un quartier de San Francisco marqué par la pauvreté et la violence, avec l'introduction de « Moments de calme » MT au début et à la fin de la journée scolaire. Moins de violence, moins d'absentéisme, moins de suspensions : les élèves de la Visitacion Valley Middle School se sentent maintenant plus en sécurité, les enseignants sont plus productifs, et la pratique de la Méditation transcendantale a apporté à l'école plus d'unité et le sentiment d'un but commun.
Une étude américaine révèle qu'ils possèdent un plus gros hippocampe, qui est une zone-clé du cerveau pour la mémoire, l'apprentissage, et la réponse au stress.
Bien que l'on soupçonnait ce lien depuis longtemps, il y aurait une association observable entre la taille de l'hippocampe et l'attention des parents. «Un environnement attentif et aimant a clairement un fort impact pour le développement futur des enfants», relève Joan Lubym de l'École de médecine de la Washington University.
Les chercheurs ont surtout observé les interactions mères-enfants, mais l'attention du père serait également bénéfique pour le cerveau de l'enfant.
Le type de psychopathe auquel Bayer se réfère se caractérise par ses pulsions au jeu. Le psychiatre explique que certains traders deviennent des joueurs compulsifs, et personne, pas même eux, ne se rend compte qu'ils ont cette tendance. Ils se mettent dissimuler les petites pertes qu'ils ont subies et essayent de les rattraper en doublant leurs positions. Lorsque les pertes deviennent trop importantes pour être dissimulées davantage, ils nient toute mauvaise décision ou tout mauvais comportement. Ils se mentent à eux-mêmes, en se racontant que ces mauvaises décisions font partie des risques du métier, et ils mentent à leurs familles et aux autres, puis se mettent à commettre des fraudes, des vols, des faux en écriture et des détournements de fonds pour couvrir leurs habitudes.
Pour les experts, c'est la célébrité et les images de stars dans les magazines qui sont à blâmer. Kat Banyard du groupe de femmes, UK Feminista déclare au Daily Mail: "Les femmes sont confrontées aujourd'hui à des pressions sans précédent. Elles comparent et se focalisent sur leur corps. Les industries qui mettent l'accent sur la façon dont les femmes se perçoivent sont en plein essor- et cela signifie que depuis un très jeune âge, on apprend aux femmes que leur apparence importe plus que leurs actes."
Des chercheurs ont interrogé de nombreux employés de différentes entreprises (des PME aux groupes) concernant leur environnement de travail et leur bien-être. On estimait le degré d'investissement ressenti et le « genre » de patron.
Un institut de recherche du Danemark a demandé à plus de 1.000 personnes d'évaluer leur propre poids et celui de l'autre sexe. Résultat: les hommes sous-estiment leur poids et surestiment celui de leur femme ou copine.
Les hommes ont tendance à se voir plus minces qu'ils ne le sont, même quand ils sont en surpoids. A l'inverse, les femmes sont moins tendres envers elles-mêmes et se pensent plus grosses qu'elles ne le sont en réalité.
«Notre étude montre que l'amitié protège et aide les gens à faire face aux problèmes qui, sinon, mèneraient à la dépression», soutient William M. Bukowski, directeur du Centre de recherche en développement humain de l'Université Concordia.
Un grand ami aurait une grande influence sur la façon par laquelle nous passons à travers les épreuves, ce qui jouerait sur notre estime de soi. Les résultats de cette étude ont été publiés récemment dans la revue Developmental Psychology.
Durant quatre jours, une centaine d'enfants de 5e et 6e années - 55 garçons et 48 filles - ont noté les moindres événements de leurs journées et leurs sentiments tandis que les chercheurs recueillaient de la salive afin de retracer le taux de cortisol de l'enfant.

Des tests ont trouvé que les « riches » avaient une attitude plus tolérante à l'égard de la cupidité, en plus d'être plus enclins à s'approprier le bien d'autrui.
Irrespect des piétons et des autres automobilistes. Recours au mensonge lors de négociations. Attitude relativement favorable à l'égard de la cupidité. Tricherie. Usurpation. Les «élites» en prennent décidément pour leur rhume dans cet article dirigé par Paul K. Piff, chercheur en psychologie à l'Université de Californie à Berkeley, et publié hier sur le site des Proceedings of the National Academy of Science.
«Comparativement aux individus des classes inférieures, les individus des classes supérieures se sont montrés plus enclins à adopter des comportements contraires à l'éthique. [... Leur] relative indépendance par rapport aux autres et [le fait qu'ils sont, professionnellement, dans des positions de surveillants plutôt que de surveillés] peuvent réduire les contraintes structurelles et leur perception du risque associé à enfreindre les règles d'éthique», écrivent les auteurs.
Il y a quelques jours, de façon inattendue, j'ai reçu un courriel d'une jeune lycéenne de la petite ville de Wolbrom, près de Cracovie - l'ancienne capitale de la Pologne. Son nom est Dominika, et elle m'expliquait que même si elle envisage d'étudier l'architecture, elle participe à un concours national de physique. L'étudiante devait choisir un des projets demandés et parmi eux, il y avait celui de mener une entrevue avec un physicien. Après avoir lu mon blog sur la science polonaise, elle me choisit et me demanda si j'étais d'accord. Je lui ai dit "pourquoi pas?". Alors, elle m'a envoyé ses quatorze questions. Je pense que ses questions sont peut-être plus intéressantes que mes réponses, alors voici l'interview complète.
1. Pourquoi la Physique ? Était-ce un de vos rêves d'enfant ?

Ark Jadczyk, 2e rangée, 1e à gauche. Rêvant d'être un pompier, un détective, et un Indien !
J'avais de nombreux rêves d'enfant. Ces rêves ont suivi des trajectoires différentes, se sont chevauchés les uns les autres dans certains domaines, se sont renforcés mutuellement et positivement tandis que dans d'autres domaines, ils se sont neutralisés comme des vagues sur l'eau provenant de sources multiples. Je rêvais d'être un pompier, un policier, je voulais me battre avec les bons Indiens, ou être un ingénieur en électronique comme mon grand frère. Finalement, je suis devenu un physicien, on peut dire, par hasard. Je fus tellement performant dans une Olympiade nationale de Physique, que j'ai été admis au département de physique de l'université sans avoir à passer l'examen d'entrée afin de commencer des études. Sinon, j'aurais probablement choisi l'Université de Technologie.