Une vague de froid polaire balayait depuis vendredi le Midwest américain avec des températures sous les -40° Celsius par endroits, selon les données diffusées samedi par le service de météorologie américain, le National Weather Service (NWS).

Une secousse tellurique de magnitude 4,1 sur l'échelle de Richter a été enregistrée, hier matin, vers 7h09, à 4 km au sud-est de la ville de Médéa.

Quelques points à considérer lorsque l'on parle des prétendus « chemtrails » :

1) Manifestement, il y a bien des épandages qui se produisent, et ce n'est pas au bénéfice de l'humanité. J'ai entendu plusieurs récits à propos d'avions volant à basse altitude et dispersant des trucs qui atterrissent partout ou rendent les gens malades. Et quand je dis basse altitude, c'est BASSE altitude.

2) L'épandage qui affecte une zone désignée sous le diffuseur (l'avion en question) doit se faire à une altitude assez basse, sans quoi, ce qui est répandu ne descendra pas sur la zone se trouvant sous l'épandage. Cela est dû au fait que notre atmosphère est constituée d'un certain nombre de couches, et que chaque couche a sa propre température, vitesse de vent et direction de vent ; très souvent, les éléments d'une couche prennent très longtemps, et sur une grande distance, pour se mélanger à d'autres couches - SI elles se mélangent, d'ailleurs. Habituellement, les vitesses de vent dans les couches supérieures sont telles que tout ce qui y est déposé ne pourrait pénétrer les couches inférieures qu'après avoir voyagé pendant de nombreux kilomètres. C'est une situation totalement non linéaire et hautement imprévisible, voire impossible à prédire.

3) Donc, si vous parlez d'épandage de produits chimiques que vous pouvez voir dans le ciel et qui tombent ensuite sur la zone qui se trouve en dessous, vous parlez obligatoirement d'épandage à basse altitude.

4) En conséquence, les traînées qui sont très haut dans le ciel, ne pouvant interagir avec le sol en dessous, ne peuvent être appelées « chemtrails » sauf, peut-être, si on parle d'un produit chimique censé affecter la météo (ce qui se fait aussi à relativement basse altitude, de toute façon). L'ensemencement des nuages se fait par dispersion d'éléments tels que des cristaux de glace secs ou de l'iodure d'argent dans l'atmosphère, avec un avion ou même depuis des stations au sol. On pense que l'ensemencement des nuages favorise la condensation de gouttelettes d'eau, donc la pluie.

Une partie du sud et de l'est de la Chine est actuellement sous la neige. Le sud du pays a en effet connu ses pires chutes de neige de l'année, a annoncé le bureau météorologique, et les provinces du centre et de l'est comme le Hunan, le Jiangxi, l'Anhui et le Zhejiang ont aussi subi d'importantes chutes de neige.

Cet épisode neigeux a perturbé les transports

Dans les airs, des centaines de vols ont été annulés ou retardés dans les villes de Shanghai, Nanjing, Wuhan et Hangzhou.
Les aéroports de Shanghai (Pudong et Hongqiao) ont affiché des retards sur 500 vols, tandis que ceux de Hangzhou et Chongqing ont dû fermer plusieurs heures en raison de la neige et de la glace, a rapporté le China Daily.

Une nouvelle tempête de neige a frappé le Midwest Américain ce jeudi, faisant au moins 6 morts dans des accidents de la route. De nombreuses écoles et entreprises sont restées fermées toute la journée, alors que les services de déneigement faisaient tout leur possible pour déneiger les routes le plus rapidement.

Les services météorologiques ont relevé une trentaine de centimètres de neige dans certaines régions. Jusqu'à 10 cm en Oklahoma, 20 cm dans le Nord-Est du Kansas, 35 cm dans le Missouri.

Pas de répit à Christchurch. Depuis le séisme destructeur du 4 septembre 2010, la terre ne cesse de trembler. Hier matin, un nouveau séisme d'une magnitude de 5,1 sur l'échelle de Richter, suivi de répliques, a secoué les habitants. Aucun dégât n'est à déplorer mais l'angoisse monte.

Une tempête titanesque sur l'hémisphère nord de Saturne, d'abord repérée par des astronomes amateurs à la mi-décembre 2010, a été photographiée le 24 de ce même mois par la sonde spatiale américaine Cassini.

Avec un foyer central de 5.800 kilomètres de longueur - presque la moitié du diamètre de notre planète ! - et une longueur totale, traîne comprise, dix fois plus grande encore, la tempête qui a balayé la planète Saturne en décembre n'a rien de commun avec celles que nous connaissons sur Terre. L'image brute, prise à une distance de quelque 1,6 million de kilomètres par la sonde Cassini de la Nasa, a mis ensuite trois jours pour arriver sur Terre, et montre également l'ombre des anneaux de Saturne sur la planète.

702 morts et environ 14.000 sinistrés... c'est le terrible bilan des pluies torrentielles et des glissements de terrain survenus à une centaine de kilomètres au nord de Rio il y a une semaine, ont fait savoir les services de santé. Ce bilan n'est pas définitif puisque 203 personnes seraient toujours portées disparues dans deux des trois villes les plus touchées dans cette région montagneuse.

Retour sur cette catastrophe, l'une des pires vécues par le Brésil

Il y a une semaine alors que de nombreux habitants dormaient encore, des torrents d'eau, de rochers, d'arbres et de boue ont submergé plusieurs villes brésiliennes et détruit des centaines de maisons.

Un tremblement de terre de magnitude 7,2 a secoué le sud-ouest du Pakistan, a indiqué le centre de surveillance sismologique américain.