Au début, l'expérience semblait réussie car tous les animaux ont développé une réponse robuste avec des anticorps au coronavirus. Cependant, lorsque les scientifiques ont exposé les animaux vaccinés au virus à l'état sauvage, les résultats ont été terrifiants. Les animaux vaccinés ont souffert de réactions hyper-immunes, notamment d'une inflammation dans tout leur corps, en particulier dans leurs poumons. Les chercheurs avaient observé cette même "réponse immunitaire intensifiée" lors des essais sur l'homme de tests de vaccin anti-VRS (Virus respiratoire syncytial) qui avaient échoué dans les années 1960. Deux enfants étaient alors décédés.Par l'Equipe de Défense de la Santé des Enfants :
Voici l'étude de 2012 : L'immunisation par les vaccins contre le coronavirus du SRAS conduit à une immunopathologie pulmonaire en conflit avec le virus du SRAS.
"Toutefois, l'essai sur des souris ayant reçu l'un des vaccins a conduit à l'apparition d'une immunopathologie de type Th2 suggérant qu'une hypersensibilité aux composants du coronavirus du SRAS a été induite. La prudence est de mise dans l'application d'un vaccin contre le CoV-SARS chez l'homme".
Pourquoi est-ce que les plus grands promoteurs de vaccins au monde, comme Paul Offit et Peter Hotez, nous mettent frénétiquement en garde contre les dangers uniques et effrayants, inhérents au développement d'un vaccin contre les coronavirus ?
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