Covid


Bad Guys

Les portes de l'enfer : Il a été prouvé que les vaccins contre les coronavirus provoquent une inflammation des poumons suivie de la mort

Au début, l'expérience semblait réussie car tous les animaux ont développé une réponse robuste avec des anticorps au coronavirus. Cependant, lorsque les scientifiques ont exposé les animaux vaccinés au virus à l'état sauvage, les résultats ont été terrifiants. Les animaux vaccinés ont souffert de réactions hyper-immunes, notamment d'une inflammation dans tout leur corps, en particulier dans leurs poumons. Les chercheurs avaient observé cette même "réponse immunitaire intensifiée" lors des essais sur l'homme de tests de vaccin anti-VRS (Virus respiratoire syncytial) qui avaient échoué dans les années 1960. Deux enfants étaient alors décédés.
bill gates
© DR
Par l'Equipe de Défense de la Santé des Enfants :

Voici l'étude de 2012 : L'immunisation par les vaccins contre le coronavirus du SRAS conduit à une immunopathologie pulmonaire en conflit avec le virus du SRAS.

"Toutefois, l'essai sur des souris ayant reçu l'un des vaccins a conduit à l'apparition d'une immunopathologie de type Th2 suggérant qu'une hypersensibilité aux composants du coronavirus du SRAS a été induite. La prudence est de mise dans l'application d'un vaccin contre le CoV-SARS chez l'homme".

Pourquoi est-ce que les plus grands promoteurs de vaccins au monde, comme Paul Offit et Peter Hotez, nous mettent frénétiquement en garde contre les dangers uniques et effrayants, inhérents au développement d'un vaccin contre les coronavirus ?

Syringe

Coronavirus : Novak Djokovic ne veut pas se soumettre à un vaccin

Djokovic
Novak Djokovic
Le tennisman serbe se dit opposé à la vaccination et si celle-ci devait être obligatoire pour les joueurs du circuit ATP, alors il laisse entendre qu'il pourrait carrément mettre un terme prématuré à sa carrière.

Dans le meilleur des cas, il faudra patienter au moins jusqu'au premier semestre de l'année prochaine pour voir arriver sur le marché un potentiel vaccin pour s'immuniser contre le Covid-19. Des tests sont lancés chaque mois par les laboratoires les plus prestigieux du monde, mais pour l'heure aucun résultat concluant n'a été communiqué. Les populations aux quatre coins du globe doivent donc pour l'heure s'en tenir à la prévention, avec l'application plus ou moins stricte du confinement et des gestes barrières.

Pourtant, tous ne sont pas favorables à la vaccination et ne l'érigent pas en solution. Pis, elle peut être envisagée par les plus sceptiques comme un problème. C'est le cas notamment de la star du tennis, Novak Djokovic. Le Serbe a réagi ce dimanche soir, à travers un live Facebook, aux propos du mois dernier tenus par Amelie Mauresmo. La sporadique capitaine de l'équipe de France évoquait la forte probabilité d'une saison blanche et estimait que la reprise ne pouvait être conditionnée que par la découverte d'un vaccin et la mise en place généralisée d'une vaccination. "Pas de vaccin = pas de tennis", tonnait-elle.

Commentaire: Rebellion dans le monde du tennis ? Marat Safin, légende du tennis : « Ils préparent les gens à recevoir des implants de micropuces »


Chart Bar

« Sur les masques, une grossière manipulation des données »

« Sur les masques, le gouvernement choisit de ne montrer que les chiffres qui l'arrangent. C'est une grossière manipulation des données. »
France, masques, besoin
On décrypte la conférence de presse d'Edouard Philippe et Olivier Véran, à l'occasion du grand retour de @cliquetv !

La vidéo :

Syringe

SOTT Focus: Dépeuplement, ID2020 et preuve d'immunité numérique - La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive

La fondation de l'ancien PDG de Microsoft, Bill Gates, la « Fondation Bill & Melinda Gates », est contrôlée par ses trois administrateurs : Bill et Melinda Gates et le gestionnaire de fonds spéculatifs Warren Buffett. La fondation détient des actifs d'une valeur d'environ 50 milliards de dollars — dont la moitié environ provient de Buffett — et finance un grand nombre de projets caritatifs.
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© InconnuBill Gates
Deuxième après les États-Unis, la « Fondation Bill & Melinda Gates » est l'un des plus grands donateurs de l'Organisation mondiale de la santé et lui a versé plus de 200 millions de dollars en 2018 — plus que l'Allemagne, la France et la Suède réunies au cours de la même période. Mais ce n'est pas la seule façon dont l'OMS est financée par Gates. La GAVI, anciennement connue sous le nom d'« Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation », a fourni à l'OMS 150 millions de dollars supplémentaires en 2018. L'un des principaux donateurs de GAVI est à nouveau la « Fondation Bill & Melinda Gates », avec 1,5 milliard de dollars en 2016, par exemple.

On peut dès lors affirmer que la « Fondation Bill & Melinda Gates » et donc la famille Gates et Warren Buffett sont, par des canaux directs et indirects, la principale source de financement de l'OMS, ce qui soulève des questions quant à son indépendance. En outre, la « Fondation Bill & Melinda Gates » a également financé la création de la « Coalition pour l'innovation en matière de prévention des épidémies » (CEPI) — qui s'occupe de la recherche et du développement de vaccins — à hauteur d'environ 100 millions de dollars en 2017. En outre, la « Fondation Bill & Melinda Gates » soutient régulièrement des organisations non gouvernementales telles que PATH [« Programme de technologie appropriée en santé » - NdT], qui participent au développement des technologies de vaccination, en leur accordant des millions de dollars. La liste des bénéficiaires de la « Fondation Bill & Melinda Gates » comprend également les plus grandes entreprises pharmaceutiques mondiales, telles que Pfizer, Novartis, GlaxoSmithKline et Sanofi Aventis. L'influence globale de la « Fondation Bill & Melinda Gates » dans le secteur de la vaccination est donc criante.


Commentaire : La CEPI est connectée avec le Dr Fauci, lui-même directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et qui a joué un rôle déterminant dans la campagne de peur et de panique menée dans toute l'Amérique : « Dix fois pire que la grippe saisonnière ». .:
« La Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI) est un organisme international à but non lucratif qui a pour mandat d'accélérer le développement de vaccins contre les maladies infectieuses émergentes. Le 23 janvier, elle a annoncé un soutien financier à trois institutions pour le développement d'un vaccin contre le 2019-nCoV. Il s'agit d'Inovio Pharmaceuticals Inc. avec sa plateforme vaccinale à base d'ADN (États-Unis), de l'Université de Queensland avec sa plateforme à pince moléculaire (Australie) ainsi que d'un partenariat entre Moderna Inc. et NIAID avec leur plateforme à base d'ARNm (États-Unis). »
~ Source

Et si la CEPI traite simultanément avec plusieurs entreprises pharmaceutiques, selon toute vraisemblance, le NIAID Moderna devrait mettre en œuvre le vaccin COVID-19 aux États-Unis.


Commentaire: Voir aussi : Et en anglais :


Dollar

Aux USA, les hôpitaux touchent 39 000 dollars pour placer un patient COVID-19 sous respirateur

Dr Scott Jensen
Dr Scott Jensen
Un sénateur dévoile que l'argent dirige le diagnostic covid. Comme vous le verrez à la fin de cet article, les décisions spécifiques concernant l'argent mentionnées ici affectent la vie et la mort des patients. Un sénateur est soudainement sorti de nulle part pour faire la une des journaux.

Ma conversation avec le sénateur de l'État du Minnesota, le Dr Scott Jensen, a eu lieu après avoir lu la déclaration explosive qu'il a faite à FOX News, le 9 avril 2020.

Commençons donc par sa précédente déclaration à la chaine FOX News :
  • « À l'heure actuelle, Medicare a déterminé que si un patient est admis à l'hôpital pour un COVID-19, l'hôpital sera payé 13 000 $.
  • Si ce patient COVID-19 nécessite l'utilisation d'un ventilateur, il obtiendra 39 000 $ ; trois fois plus.
  • Personne ne peut prétendre, après 35 ans dans le monde de la médecine, que parfois ce genre de procédés n'ont pas d'impact sur ce que nous faisons... »

Robot

Futur dystopique - L'usage des drones sera-t-il banalisé après le confinement ?

Depuis la mise en place du confinement contre la propagation du coronavirus, la police a déployé ses drones pour contrôler les rues de la capitale. Face aux risques pour notre vie privée, certains craignent de voir cette surveillance technologique se banaliser après la crise.
Un drone équipé d’un haut-parleur, similaire aux engins utilisés par la préfecture de police de Paris dans le cadre du confinement
© PHOTOPQR/L'EST REPUBLICAIN/MAXPPPUn drone équipé d’un haut-parleur, similaire aux engins utilisés par la préfecture de police de Paris dans le cadre du confinement (illustration)
« Restez chez vous, vous ne pouvez pas rester sur cette zone. » Répété avec une voix robotique depuis le ciel, ce message censé pousser les Parisiens à respecter le confinement est diffusé depuis le 18 mars dernier par les drones de la préfecture de police. Les autorités ont en effet déployé ces appareils dans le cadre du « dispositif de surveillance aérien » contre la propagation du Covid-19 et Didier Lallement, le préfet de police, était même venu les observer voler dans le centre de la capitale, lors de la phase d'essai.

Contactée, la PP explique que les engins « sont équipés d'une gamme d'accessoires permettant d'optimiser les différentes interventions », avec notamment « un haut-parleur qui informe le public par des messages d'informations et de mise en garde des contrevenants ». Le tout, audible « jusqu'à 40 mètres de distance. »

Cult

Comment l'une des grandes sociétés pharmaceutiques les plus corrompues prévoit de s'accaparer le marché des traitements au COVID-19

L'un des fabricants de vaccins aux États-Unis les plus politisés mais aussi les plus scandaleux, avec des liens troublants avec les attaques à l'anthrax de 2001 et la crise des opioïdes, va considérablement profiter de la crise actuelle du coronavirus.
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En août 2001, la société biopharmaceutique BioPort a été confrontée à une menace de catastrophe imminente. Une série de scandales au sein de la société, des renflouements fédéraux controversés et de graves effets indésirables sur la santé des troupes américaines ont amené le Congrès et le Pentagone à reconsidérer son contrat de plusieurs millions de dollars pour fournir à l'armée un vaccin contre l'anthrax.

Créée dans le seul but d'acquérir une société publique du Michigan qui détenait la licence exclusive de fabrication du seul vaccin contre l'anthrax approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, BioPort a cherché à élargir rapidement la taille et la portée de ses contrats avec l'Armée Américaine. Cette stratégie a été rendue possible grâce à l'ancien Chef de l'État-major Interarmées, l'Amiral William Crowe, qui a joué un rôle déterminant dans la montée du monopole de BioPort sur les vaccins et dans l'embauche intensive d'anciens responsables gouvernementaux comme lobbyistes.

Pourtant, peu après avoir décroché ces contrats de plusieurs millions de dollars et obtenu un monopole sur les vaccins contre l'anthrax, BioPort a affirmé que ses finances étaient chancelantes et qu'elle devait être renflouée à hauteur de 24 millions de dollars à la demande du Pentagone, qui a invoqué des « préoccupations de sécurité nationale » pour justifier sa décision.

Cependant, les auditeurs du Pentagone avaient constaté qu'une grande partie de l'argent accordé à BioPort n'était pas comptabilisée et que l'argent qu'ils avaient pu retracer n'avait pas été affecté à la rénovation de leur installation de production de vaccins, qui avait perdu sa licence jusqu'à ce que de nombreux problèmes sanitaires (sanitaires et autres) soient réglés. Pendant ce temps, des dizaines de soldats qui avaient souffert des effets néfastes du vaccin contre l'anthrax de BioPort, certains handicapés à vie, ont commencé à s'exprimer, soumettant le produit le plus critique et la principale source de revenus de BioPort à une surveillance indésirable.

Cut

Une mobilité (un peu) renouvelée, l'exemple suisse et la nouvelle vision écolo ?

Des villes silencieuses, des autoroutes désertes, des trains fantômes. La crise sanitaire a immobilisé la Suisse. Va-t-elle modifier durablement les comportements des pendulaires, comme l'espèrent Vincent Ducrot, le nouveau directeur des CFF, et son prédécesseur Andreas Meyer ? Contribuera-t-elle à atteindre l'un des buts derrière lesquels les entreprises de transport courent depuis des années: mieux répartir les déplacements durant la journée afin de décharger les heures de pointe et de mieux remplir les trains aux heures creuses ?

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Des villes silencieuses, sans mouvement, sans vie.

Commentaire : La vie "après le Coronavirus" sera tout à fait différente. Mais pas trop puisque le confinement nous aura habitué en quelque sorte à vivre chez soi, par la force des choses. La nouvelle écologie qui va décider tout ce que nous devons faire ou non, penser ou non, forcera doucement les gens à continuer de travailler chez soi, étudier chez soi, etc. Ne pas trop prendre la voiture, qui "pollue", ne pas trop marcher dans les rues, ne pas trop sortir. Ne pas voyager en avion. Prendre le train, comme au XIXe siècle.


Commentaire: En fait, le nouvel ordre mondial ne veut pas que vous voyagiez. Les voyages seront choses du passé. À moins d'être pucé RFID et de pouvoir prouver de son immunité numérique et/ou de sa vaccination bien à jour.


Arrow Up

La Suède a raison, l'économie devrait rester ouverte

Parfois, la meilleure chose à faire, c'est de ne rien faire du tout. Prenez la Suède, par exemple, où le gouvernement a décidé de ne pas fermer l'économie, mais d'adopter une approche plus réfléchie et plus équilibrée.
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La Suède a gardé ses écoles primaires, ses restaurants, ses magasins et ses salles de sport ouverts, même si moins de gens sont dehors en public ou continuent de travailler comme ils le feraient normalement. En même temps, le gouvernement a tenu les Suédois bien informés afin qu'ils comprennent les risques que le virus représente pour leur santé et celle des autres.

Commentaire: Lire aussi :


Colosseum

Meilleur du Web: Covid-19 et confinement : le « modèle italien » est un échec

C'était le soir du 11 mars, il y a plus d'un mois : le Premier ministre Giuseppe Conte signait le décret qui transformait toute l'Italie en zone rouge, une mesure annoncée deux jours plus tôt face à l'avancée de la contagion et de la mort, qui avait été jusqu'alors dramatiquement sous-estimée. Tout était fermé, à l'exception des activités essentielles, jusqu'au 25 mars : « L'Italie est fermée pendant deux semaines », titrait le Corriere della Sera. L'effet de ce grand effort, déclarait Conte à l'époque, nous ne le verrons que dans quelques semaines. Calcul logique : si l'incubation du virus peut durer jusqu'à 14 jours, ce n'est qu'après cette période que nous aurons une diminution des contagions. Jusqu'au 11 mars, on enregistrait 12 462 cas et 827 morts au total.
Confinement Covid-19
© Inconnu
Arrivons au 25 mars et voyons les effets de ce grand effort : le total des cas enregistrés est passé à 74 386, mais les morts à 7 503. L'augmentation des cas était prévisible mais la multiplication par dix des décès n'était pas exactement dans les plans. Depuis lors, vingt jours supplémentaires de ségrégation dans les maisons et d'inactivité économique se sont écoulés et nous avons atteint un total de 162 488 cas vérifiés (mais le chiffre, comme nous le savons, est fortement sous-estimé), tandis que les morts ont dépassé 21 000, avec une croissance qui continue à être d'environ 600 par jour (c'est-à-dire bien au-delà des 463 au total comptés jusqu'au 9 mars, jour où le gouvernement a décidé le confinement).

Donc, nous n'avons pas vu les résultats annoncés le 11 mars, deux semaines plus tard, et même pas maintenant que plus d'un mois s'est écoulé, bien qu'avec un effort d'optimisme nous continuions à dire que nous sommes sur le pic. Par ailleurs, ces derniers jours, beaucoup de gens disent que même les morts sont beaucoup plus nombreux que ce qui est officiellement comptabilisé.