Covid


Vader

SOTT Focus: Les sept étapes pour le passage d'une pandémie à un totalitarisme

Il n'y a que sept étapes entre la déclaration d'une pandémie et un totalitarisme permanent - et de nombreuses juridictions sont sur le point d'entamer la cinquième étape.

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Comme si c'était planifié à l'avance, des milliards de personnes dans le monde entier sont forcées, pas à pas, d'adopter un mode de vie radicalement différent, qui implique beaucoup moins de liberté et d'autonomie personnelle, physique et financière.

Voici le modèle pour la mise en place de ce programme.

Étape 1

Un nouveau virus commence à se répandre dans le monde. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) déclare une pandémie.

Les agences internationales, les responsables de la santé publique, les politiciens, les médias et d'autres voix influentes attisent la peur en se concentrant presque exclusivement sur la contagiosité du virus et sur le nombre croissant de cas, et en qualifiant le virus d'extrêmement dangereux.

En quelques jours, les gouvernements aux niveaux national et local déclarent également l'état d'urgence. À la vitesse de l'éclair, ils imposent des mesures de confinement qui enferment la plupart des gens chez eux - à commencer par la fermeture des écoles - et paralysent une grande partie de l'économie mondiale. Les marchés mondiaux implosent.

Le public abasourdi, craintif et crédules - convaincu ces dernières années que leur corps n'a pas la capacité naturelle de réagir aux agents pathogènes en produisant des anticorps qui leur confèrent une immunité durable - se plie en grande partie de son plein gré.

Commentaire:


Cult

Coronavirus - Pourquoi l'hystérie ne retombe-t-elle pas ?

La diminution du nombre de morts, le désengorgement des hôpitaux et l'annonce de la fin du confinement devraient normalement avoir atténué la peur du virus. On peut donc se demander pourquoi on continue, sur les plateaux de télévision, à entretenir l'hystérie, à grand coups de propagande anxiogène. Comme les médias dominants sont la voix de leurs maîtres, c'est sans doute que l'oligarchie a intérêt à maintenir un certain niveau d'hystérisation.

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© Inconnu
A mon avis, il y a deux raisons, à cela. D'une part il ne faut pas perdre le contrôle de la population et d'autre part il faut la préparer à de plus grandes souffrances.

Noémie Klein a expliqué tout ça dans la Stratégie du choc. Une population submergée par des émotions fortes ne peut plus penser logiquement. Ses défenses tombent et elle accepte de se soumettre à des mesures restrictives et/ou abusives qu'elle n'aurait jamais acceptées autrement. Tétanisée, elle se laisse dépouiller de ses libertés, de ses droits, de ses biens collectifs ou personnels, en échange de vagues promesses de sécurité.

Arrow Down

Bienvenue dans le nouveau monde : la distanciation sociale de la démocratie

« La distanciation sociale est là pour rester beaucoup plus que quelques semaines. Elle bouleversera notre mode de vie, d'une certaine manière pour toujours. ». C'est ce qu'ont annoncé les chercheurs du Massachusetts Institute of Technology, une des plus prestigieuses universités étasuniennes (MIT Tenchnology Review,We're not going back to normal, 17 mars 2020).
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Ils citent le rapport présenté par les chercheurs de l'Imperial College London, selon lequel la distanciation sociale devrait devenir une norme constante et être assouplie ou intensifiée selon le nombre d'hospitalisés à cause du virus dans les services de thérapie intensive. Le modèle élaboré par ces chercheurs, et par d'autres, ne concerne pas seulement les mesures à prendre contre le coronavirus. Il devient un véritable modèle social, dont on prépare déjà les procédures et les instruments que les gouvernements devraient imposer par des lois.

Les deux géants étasuniens de l'information Apple et Google, jusqu'ici rivaux, se sont associés pour insérer dans les systèmes opérationnels de milliards de téléphones iPhone et Android, dans le monde entier, un programme de "traçage des contacts" qui avertit les usagers si quelqu'un infecté par le virus s'approche d'eux. Les deux sociétés garantissent que le programme "respectera la transparence et la vie privée des usagers".

Biohazard

Le laboratoire de Wuhan rompt le silence sur l'origine du Covid-19

Pointé du doigt par des médias américains comme une possible source du Covid-19, le laboratoire P4 chinois à Wuhan nie catégoriquement toute responsabilité. Selon son chef, le laboratoire a un système de gestion strict, alors que personne au monde n'a les connaissances nécessaires pour créer un tel virus.
Whuan laboratory, P4
© AFP 2020 HECTOR RETAMAL
Le directeur du laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan, Yuan Zhi-ming, a commenté les allégations selon lesquelles l'établissement serait à l'origine de la création artificielle du nouveau coronavirus dans son laboratoire, dans une interview accordée à la chaîne de télévision chinoise CGTN.
«Nous savons exactement quel type de recherche sur les virus est effectué dans notre institut et comment l'institut traite les échantillons. Comme nous le disons depuis longtemps, ce virus ne pouvait en aucun cas venir de chez nous. Nous avons un système de gestion strict, il y a un règlement sur la recherche et d'autres choses du genre, donc nous en sommes absolument sûrs», a-t-il déclaré.
Cependant, de son avis, ces rumeurs resteront longtemps dans les medias, car l'Institut de virologie et le laboratoire BSL-4 sont situés à Wuhan, berceau de l'épidémie du Covid-19. Yuan Zhi-ming a également mentionné le sénateur américain Tom Cotton qui réitère depuis longtemps que le virus provient de l'Institut de virologie de Wuhan «sans fournir de preuve ni aucun lien logique».

Commentaire: Les Etat-Unis veulent absolument faire porter le chapeau à la Chine, peut-être bien parce que c'est de chez eux que le virus provient ? Voir : L'origine du virus serait aux Etats-Unis ? Pékin refuse de porter le chapeau


Corona

Les 8500 respirateurs produits par Air Liquide inutilisables en réanimation !

ventilator, respirator
© Maxppp / Ip3 PressL’entreprise Air Liquide, associée à PSA, Valeo et Schneider Electric, produit notamment ces respirateurs de type "T60" (notre photo) mais aussi des modèles plus basiques comme l'"Osiris 3".
Air Liquide s'est associé à PSA, Valeo et Schneider Electric pour produire 10 000 respirateurs artificiels. Cette mobilisation de l'industrie française doit répondre aux besoins urgents des soignants. Mais une enquête de la cellule investigation de Radio France montre qu'ils sont inadaptés aux malades du Covid-19.

Comme dans toute guerre, il y a un branle-bas de combat. À la mi-mars, sur son flanc droit, le gouvernement est sous le feu des critiques pour n'avoir pas pu livrer suffisamment de masques aux personnels soignants. Il doit donc reprendre l'avantage. L'heure est à la mobilisation. Pas question d'être pris en défaut sur son flanc gauche : celui des respirateurs artificiels. La France disposait de de 5 000 lits de réanimations au début de la crise. Le ministère de la Santé veut en équiper 14 000. Encore faut-il les doter du matériel qui doit aller avec.

En France, il n'existe qu'un seul fabriquant de respirateurs artificiels : Air Liquide Medical Systems. Pour répondre à la crise, l'entreprise s'attelle déjà à la fabrication de 1024 appareils d'un modèle appelé "T60". Il est plutôt conçu pour le transport des malades, mais il peut, si nécessaire, s'adapter aux besoins d'un service de réanimation. Air Liquide fait part à l'État de son intention d'augmenter sa production.

Agnès Pannier-Runacher, la secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie et des Finances, saisit alors la balle au bond : "Combien pouvez-vous produire de respirateurs en plus ?" demande-t-elle à la direction."Nous souhaiterions vous passer une commande de 10 000 unités"

Heart

Entretien avec André Comte-Sponville : « Laissez-nous mourir comme nous voulons ! »

C'est une opinion qui contraste dans la symphonie actuelle autour du coronavirus et du confinement. André Comte-Sponville, philosophe français, déplore qu'on sacrifie les jeunes au détriment des personnes âgées, la liberté sur l'autel de la santé. Et il interroge notre rapport à la mort. Auteur d'une vingtaine d'ouvrages, dont Petit Traité des grandes vertus (Seuil), ou Traité du désespoir et de la béatitude (PUF), le philosophe français jette un pavé dans la mare.
André Comte-Sponville, philosophe français, le 17 mars 2019 à Paris.
© JOEL SAGET/AFPAndré Comte-Sponville, philosophe français, le 17 mars 2019 à Paris.

Le Temps : Pour la première fois dans l'Histoire, l'humanité se donne pour mission de sauver tout le monde. Une bonne nouvelle ?

André Comte-Sponville : Je suis partagé. A première vue, c'est une réaction sympathique. Mais c'est aussi un projet parfaitement absurde. Si l'espérance de vie a crû considérablement, et c'est tant mieux, le taux individuel de mortalité, lui, n'a pas bougé depuis 200 000 ans. Il est toujours de un sur un, donc de 100 % ! Bref, j'ai deux nouvelles à vous annoncer, une bonne et une mauvaise. La mauvaise, c'est que nous allons tous mourir. La bonne, c'est que l'énorme majorité d'entre nous mourra d'autre chose que du Covid-19 !

Le Temps : A 68 ans, vous devriez pourtant vous réjouir du principe de précaution !

André Comte-Sponville : Moi qui suis un anxieux, je n'ai pas peur de mourir de ce virus. Ça m'effraie beaucoup moins que la maladie d'Alzheimer ! Et si je le contracte, j'ai encore 95 % de chances d'en réchapper. Pourquoi aurais-je peur ? Ce qui m'inquiète, ce n'est pas ma santé, c'est le sort des jeunes. Avec la récession économique qui découle du confinement, ce sont les jeunes qui vont payer le plus lourd tribut, que ce soit sous forme de chômage ou d'endettement. Sacrifier les jeunes à la santé des vieux, c'est une aberration. Cela me donne envie de pleurer.

Stock Down

Suède : La propagation du virus s'est réduite malgré des règles sur la population peu contraignantes

Le principal épidémiologiste suédois a déclaré mercredi que la nation nordique commence à voir un plateau dans les cas de coronavirus malgré la décision controversée du gouvernement de s'abstenir d'un confinement à l'échelle nationale, une réponse au virus que les critiques estiment dangereusement décontractée.
Suède
© Anders Wiklund/TT via APLes gens sont assis dehors au soleil, dans le centre de Stockholm, le samedi 11 avril 2020.
Stockholm a été un cas particulier en Europe, rejetant les restrictions sévères imposées aux foules et aux entreprises que beaucoup de ses voisins ont adoptées pour lutter contre la menace du COVID-19.

Le Dr Anders Tegnell, épidémiologiste suédois, a déclaré mercredi lors d'une téléconférence à Washington que le développement "assez lent" du virus en Suède contribue à la décision des autorités de garder le pays ouvert, alors que de nombreux pays voisins adoptent des politiques strictes en matière.

Bien que le nombre de cas en Suède ait atteint près de 12 000 personnes infectées et environ 1 200 décès, les autorités suédoises ne demandent pas une fermeture totale à l'échelle nationale, permettant aux restaurants et aux entreprises de rester ouverts au public, tant que les groupes sont limités à quelques personnes à la fois.

Commentaire: Lire aussi :


Life Preserver

SOTT Focus: COVID-19, ACE2, et récepteurs nicotiniques et cholinergiques anti-inflammatoires améliorant les fonctions cognitives

J'ai récemment consulté des études de cas portant sur les dommages cardiaques chez des personnes infectées par le COVID-19. En fait, en décembre dernier, un membre de mon entourage proche a subi une myopéricardite fulminante parallèlement à une étrange infection pulmonaire dont il s'est miraculeusement remis. Je considère le SRAS-CoV-2 (le virus qui provoque la maladie du COVID-19) comme un suspect probable dans la maladie de mon ami, même si cet épisode est antérieur au début officiel de la pandémie en Europe.
COVID-19 ACE2
© Getty Images/selvanegraSur cette illustration, le COVID-19 se lie au récepteur ACE2 sur des cellules humaines grâce à sa protéine spike (S)
L'article suivant de LiveScience fournit quelques indices sur la manière dont le cœur et les poumons peuvent être gravement affectés en cas d'infection par le COVID-19 :
Un lien mystérieux entre le coronavirus et le cœur

« Nous voyons des cas de personnes qui n'ont pas de maladie cardiaque sous-jacente », qui souffrent de lésions cardiaques, a déclaré le Dr Erin Michos, directrice adjointe de cardiologie préventive à la Johns Hopkins School of Medicine. Les lésions cardiaques ne sont pas typiques dans les cas bénins de COVID-19, et ont tendance à se produire plus souvent chez les patients qui présentent des symptômes graves et qui sont hospitalisés, a-t-elle déclaré. [...]

Les cellules cardiaques et pulmonaires sont recouvertes de protéines de surface connues sous le nom d'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2) - ces molécules servent de « portes d'accès » permettant au virus de s'introduire dans les cellules. Mais cette enzyme est une « épée à double tranchant ». D'une part, la molécule ACE2 agit comme une passerelle pour que le virus pénètre dans la cellule et se réplique, mais d'autre part, elle sert normalement une fonction « protectrice », a déclaré le Dr Michos.

Lorsque les tissus du corps sont endommagés - soit par un virus invasif tel que le SRAS-CoV-2 soit par d'autres moyens, le processus naturel de guérison du corps implique la libération de molécules inflammatoires, telles que de petites protéines appelées cytokines, dans la circulation sanguine. Mais paradoxalement, trop d'inflammation peut en fait aggraver les choses. L'enzyme ACE2 agit comme un anti-inflammatoire, empêchant les cellules immunitaires d'infliger encore plus de dommages aux cellules du corps.

Mais lorsque le virus s'attache aux protéines ACE2, celles-ci sont mises hors service, ce qui réduit possiblement la protection anti-inflammatoire qu'elles procurent. Ainsi, le virus peut devenir un facteur aggravant, en endommageant directement les cellules et en empêchant le corps de protéger les tissus contre les dommages inflammatoires.

« Si le muscle cardiaque est enflammé et endommagé par le virus, le coeur ne peut pas fonctionner », affirme le Dr Michos.

Le nouveau coronavirus pourrait également endommager le cœur indirectement. Selon ce scénario, le système immunitaire du patient « se détraque », précise le Dr Michos. Ce scénario s'est produit chez certains patients vraiment malades qui ont des marqueurs inflammatoires très élevés - ou des protéines qui signalent des niveaux élevés d'inflammation dans le corps.

C'est ce qu'on appelle une « tempête de cytokines », ajoute le Dr Michos. Les tempêtes de cytokines endommagent les organes de tout le corps, y compris le coeur et le foie. On ne sait pas pourquoi certaines personnes ont une réponse aussi élevée par rapport à d'autres, mais certaines personnes pourraient y être génétiquement prédisposées, affirme le Dr Michos. [...]

Il est vraiment difficile de déterminer si avoir plus d'ACE2 est utile ou nocif, car ces protéines sont le moyen par lequel le virus pénètre dans les cellules, mais on sait aussi qu'elles protègent les cellules contre les dommagess, déclare le Dr Michos.

Bizarro Earth

Meilleur du Web: C'en est terminé des héros : les Français suspendent leur Liberté et celle de tous les autres aussi

hhhhh
© Inconnu
La France est cet étrange pays qui n'a cessé de collaborer avec divers envahisseurs avant de se révolter avec honneur ; un pays d'abord lâche, puis toujours brave. Sans y réfléchir, comme à son habitude, elle vient d'abandonner la devise de ses aïeux, que sans nul doute elle retrouvera bientôt avec gloire.

Bad Guys

Les portes de l'enfer : Il a été prouvé que les vaccins contre les coronavirus provoquent une inflammation des poumons suivie de la mort

Au début, l'expérience semblait réussie car tous les animaux ont développé une réponse robuste avec des anticorps au coronavirus. Cependant, lorsque les scientifiques ont exposé les animaux vaccinés au virus à l'état sauvage, les résultats ont été terrifiants. Les animaux vaccinés ont souffert de réactions hyper-immunes, notamment d'une inflammation dans tout leur corps, en particulier dans leurs poumons. Les chercheurs avaient observé cette même "réponse immunitaire intensifiée" lors des essais sur l'homme de tests de vaccin anti-VRS (Virus respiratoire syncytial) qui avaient échoué dans les années 1960. Deux enfants étaient alors décédés.
bill gates
© DR
Par l'Equipe de Défense de la Santé des Enfants :

Voici l'étude de 2012 : L'immunisation par les vaccins contre le coronavirus du SRAS conduit à une immunopathologie pulmonaire en conflit avec le virus du SRAS.

"Toutefois, l'essai sur des souris ayant reçu l'un des vaccins a conduit à l'apparition d'une immunopathologie de type Th2 suggérant qu'une hypersensibilité aux composants du coronavirus du SRAS a été induite. La prudence est de mise dans l'application d'un vaccin contre le CoV-SARS chez l'homme".

Pourquoi est-ce que les plus grands promoteurs de vaccins au monde, comme Paul Offit et Peter Hotez, nous mettent frénétiquement en garde contre les dangers uniques et effrayants, inhérents au développement d'un vaccin contre les coronavirus ?