Traduction : Expovaccins

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Il n'y a pas une seule mère vivante qui, disposant de TOUTES les informations disponibles, permettrait que quiconque vaccine son enfant. Une des toutes premières fonctions de l'ensemble du système immunitaire, qui est pratiquement toujours contournée par les vaccins injectables, est précisément d'empêcher toute intrusion indésirable dans la circulation sanguine.

Tous les vaccins sont dangereux. Regardez l'image d'un enfant - son nez, sa bouche, tout son système digestif, respiratoire, urogénital, la surface de sa peau constituent un merveilleux système immunitaire particulièrement évolué, conçu pour affronter pratiquement toutes les toxines, les organismes pathogènes, les éliminer directement (1), ou les transformer biochimiquement (2) avant qu'ils n'accèdent à la circulation sanguine. Les protéines alimentaires sont décomposées au cours du processus de digestion en une chaîne courte d'acides aminés avant d'entrer dans le flux sanguin. Ou bien ce sont des allergies alimentaires qui se produisent pouvant entraîner des troubles chroniques. (3)


Dans son imagination la plus folle, la science médicale n'aurait pas pu espérer reproduire tout ce processus. C'est ainsi que l'injection intramusculaire vaccinale qui contient des antigènes de maladies, des neurotoxines, des protéines étrangères (4), sans parler des contaminants inconnus ; cette injection ne peut que s'appeler une agression.

Pour les partisans de la vaccination, c'est comme si la réalité biologique, tout le travail métabolique et de biochimie immunitaire qui s'enclenche à chaque exposition, pouvait tout simplement être négligé sans conséquences. C'est un peu comme si on espérait qu'il serait aussi sans conséquence d'injecter de l'air directement dans le sang, alors qu'il doit passer par les processus respiratoires au cours duquel l'oxygène est extrait biologiquement et ensuite transmis aux cellules sanguines.

Ironiquement, la seule raison pour laquelle le paradigme se maintient, c'est parce que l'atteinte est tellement énorme. Si après une vaccination, votre bras s'atrophiait immédiatement, tout le monde comprendrait. Au lieu de cela, beaucoup d'effets secondaires immédiats, même quelque peu alarmants ne sont que temporaires et faciles à faire passer comme monnaie courante, guère inquiétante, alors que la grande partie des problèmes vaccinaux qui sont de nature auto-immune ou neurologique se produisent souvent bien longtemps après la vaccination. Cette réaction plus tardive est un peu comme une arme dans les mains de l'industrie du vaccin.

Il est très difficile pour des parents qui ne sont pas au fait des risques des vaccins de rapporter une réaction qui se produit quelques jours, voire quelques semaines après une vaccination, et tout spécialement quand l'information du corps médical précise le contraire et que le médecin lui-même nie toute relation avec le vaccin.



Pourtant, des immunologistes nous disent qu'il faut parfois des mois et même des années pour que des maladies auto-immunes induites par des adjuvants puissent apparaître. Comme ce peut être le cas pour le lupus, l'épilepsie, le diabète, l'asthme, les troubles sanguins, l'arthrite, le Guillain-Barré, l'encéphalite, les troubles autistiques. (6).

Ce « retard » est le gouffre temporel qui sépare la dure réalité de la vaccination - (la stimulation intentionnelle aberrante, ainsi que la méfiance par rapport aux capacités essentielles innées du système immunitaire déjà naturellement présent au niveau des muqueuses et des processus digestifs) - de la prise de conscience généralisée de ses conséquences.

Regardez autour de vous : les conséquences sont évidentes parce que nous avons aujourd'hui affaire à de l'auto-immunité de groupe. L'impact des maladies auto-immunes et neurologiques aux États-Unis dont beaucoup sont gravement invalidantes, certaines même mortelles, font passer au second plan les chiffres de mortalité et de dommages dus aux maladies infectieuses.

Les adjuvants aux sels d'aluminium présents dans les vaccins qui, selon les schémas vaccinaux, sont administrés seize fois avant qu'un enfant ait atteint l'âge de deux ans (7),ont, dans différentes études, été liés à des maladies auto-immunes ou à des troubles neurologiques (8), (9).Le Dr Victor Vaughn, toxicologue, a déclaré à la FTC que les sels d'aluminium sont toxiques quand ils sont injectés (10) Ces adjuvants sont utilisés par les chercheurs qui étudient l'auto-immunité, car lorsqu'ils sont injectés à des animaux de laboratoire, ils déclenchent la polyarthrite rhumatoïde et autres maladies auto-immunes. (11)



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Le mercure est toujours présent dans les flacons multi-doses de vaccins contre la grippe (4). La plupart des vaccins administrés proviennent de ces flacons qui sont bien sûr moins chers et davantage susceptibles d'être utilisés par les médecins. Mais la majorité des vaccinés ne sont pas au courant des énormes différences de concentration de mercure d'une dose unique par rapport à un flacon multi-doses. Au cours d'une émission télévisée, on a présenté une séance de vaccination antigrippale qui s'est tenue dans une école élémentaire l'hiver dernier. Au cours de cette séance de vaccination, chaque enfant a reçu un vaccin provenant d'un flacon multi-dose. Il n'y a pas de doute que les parents se sont vu refuser toute notification ou avertissement quant à la teneur en mercure. - Le mercure est présent sous forme de traces dans plusieurs autres vaccins. Mais le CDC caractérise une trace comme étant une quantité biologiquement peu convaincante bien que les limites les plus basses de sécurité pour les toxines injectées ne soient pas connues. Il ne pourrait d'ailleurs y en avoir puisque chaque enfant est un cas individuel avec des caractéristiques uniques, un métabolisme, une histoire, une alimentation uniques. - Comme Il n'existe aucune possibilité de pouvoir prédire avec précision quelle sera la réaction d'un enfant, c'est le principe de précaution qui doit prévaloir par rapport à cette possible injection.



Il y a quelques années, un site de défense des droits à la santé a envoyé quatre échantillons de vaccins à un laboratoire pour analyse. Deux échantillons étaient étiquetés comme contenant une trace de thiomersal, les deux autres n'en contenant aucune. Mais on finit par détecter du mercure dans les quatre échantillons. (12) Il y avait bien entendu une concentration significativement plus faible dans les échantillons ne contenant apparemment pas de thiomersal. Mais il faut le rappeler : il n'y a pas de limites inférieures de sécurité pour les toxines injectées.



L'aluminium et le mercure peuvent fonctionner en synergie - leur neurotoxicité combinée est plusieurs fois supérieure à la somme de leurs toxicités individuelles. (13) A l'âge de 6 mois, des millions de bébés reçoivent pratiquement simultanément les deux produits à la fois au cours de leur séance programmée de vaccination que par euphémisme on appelle « visite de bien-être ». Au cours de cette séance, les enfants reçoivent à la fois le vaccin contre la grippe, ainsi que plusieurs autres vaccins. La même opération se répète à 18 mois. (7)

Aux Etats-Unis, avant que les vaccins ne soient introduits, la mortalité par maladies infectieuses, en baisse représentait 1 cas pour 100.000 de la population générale.

Compte tenu de la bonne alimentation, de l'hygiène de vie, la majorité des personnes qui développent des maladies infectieuses en sortent indemnes et recouvrent une santé normale. (15)

En attendant, 1 enfant sur 6 développe des troubles d'apprentissage, de la polyarthrite juvénile, du diabète juvénile, de l'asthme, des allergies potentiellement mortelles, autant de maladies qui sont montées en flèche par rapport à la situation d'il y a quelques dizaines d'années.

D'après une annonce officielle les taux d'autisme étaient de 1 sur 68 (aujourd'hui 1 sur 50 ndr). Mais la base de données utilisée pour faire ces calculs datait de plusieurs années et était déjà dépassée. Si le taux d'autisme continue d'augmenter, dans moins de trois ans, on risque de voir qu'un garçon sur 10 recevra le diagnostic d'autisme (16). Cinq ans plus tard, ce sera 1 garçon sur 5 et environ 1 fille sur 25.


Le CDC est parfaitement conscient de cette marée apparemment incontrôlable, mais chaque fois que les chiffres sont publiés, ces gens feignent la surprise ou même le manque manifeste d'intérêt. Nous voyons aussi apparaître d'autres types de recherche, comme cette étude qui relie l'autisme à des facteurs environnementaux agissant sur l'utérus. Mais, comme toujours, on fait délibérément très attention à éviter de mentionner de quelque manière que ce soit les vaccins comme facteur causal possible.

Quand on considère les résultats possibles sur seulement deux générations, on ne peut que constater que la santé physique et l'acuité mentale se sont dégradées au-delà de toute description. Il ne serait même pas exagéré de parler de tsunami. Un pays dont la situation se dégraderait à ce point ne pourrait probablement pas survivre. Plusieurs facteurs sont évidemment en cause, depuis les psychotropes qui passent dans l'eau aux aliments génétiquement modifiés privés de nutriments précieux. Mais il n'y a qu'une seule atteinte directe à la fonction naturelle de notre système immunitaire, et c'est la vaccination - cette injection intramusculaire avec son cortège de mercure, d'aluminium, de formaldéhyde, de cellules de fœtus avortés, de polysorbate 80, de néomycine, de MSG, d'éthanol, de protéines et autres contaminants inconnus. Dans les trois vaccins disponibles contre la grippe (4), on trouve le Triton X-100. Par rapport à ce produit, l'information que l'on trouve sur le site du fabricant (17) comprend ma mention de danger suivante (18) :

H302 : Nocif en cas d'ingestion/ toxicité aiguë par voie orale


Injecter régulièrement une substance qui est hautement toxique, relève de la folie, surtout quand elle contourne les réactions du corps destinées à protéger la circulation sanguine de pareille menace. Si ce genre de toxine était ingérée, la réaction immunitaire la plus immédiate serait probablement l'élimination soit par vomissements, soit par voie intestinale ou peut-être même par voie cutanée. Pendant ce temps, les processus métaboliques continueraient de fonctionner, en commençant au moins par le travail de détoxification du foie pour empêcher que la substance toxique pénètre dans le système circulatoire. Quant à la vaccination, elle déverse directement les ingrédients vaccinaux dans les capillaires des muscles, à partir desquels le produit est immédiatement absorbé dans le flux sanguin.

L'actuelle vaccination de routine des femmes enceintes avec le vaccin contre la grippe et le DTCa est relativement récente, mais contribue à faire empirer la situation. Il est probable que ces femmes reçoivent le vaccin contre la grippe à partir de flacons multi-doses qui contiennent 25 mcg de mercure par dose. Quant au DTCa, il apporte lui aussi sa propre charge de toxiques : aluminium , formaldéhyde, etc. Il est parfaitement connu que le fœtus peut être affecté d'une manière catastrophique par des toxines transmises par la mère par le cordon ombilical au travers du placenta. La chose a été démontrée il y a 50 ans au cours de la maladie de Minamata. Il s'agissait d'un empoisonnement au mercure par l'intermédiaire de la consommation de poissons hautement contaminés par les eaux usées d'une usine chimique à Minamata au Japon. Certains enfants sont nés avec la maladie, mais par un étrange coup du sort, les femmes enceintes ont été moins touchées parce qu'elles avaient passé le mercure toxique à leurs bébés. (19), (20). Il est assez grave que des vaccins soient administrés dans les heures qui suivent la naissance. Quand il arrive que les choses tournent mal, il est un peu tard pour penser à l'état de santé dont aurait pu bénéficié l'enfant s'il n'avait pas été ainsi immédiatement vacciné. Nous sommes maintenant en train de favoriser des lésions neurologiques chez l'enfant à naître.



Le système immunitaire fonctionne au niveau moléculaire. On pourrait le comparer à un moteur de voiture : vacciner ce serait comme si on s'amusait à filtrer une poignée de détritus que l'on déverserait au-delà du filtre dans le carburateur pour espérer un meilleur rendement du moteur - et quand plus tard ou le lendemain votre voiture a des ratés et tombe en panne, votre mécanicien qui pourtant vous a donné toutes les instructions nécessaires, vous dit avec assurance qu'il n'y a aucun rapport et qu'il vous conseille de ramener la voiture au garage pour parer à ce nouveau problème inattendu. Sur le plan mécanique, c'est évidemment absurde, mais en ce qui concerne la vaccination, il s'agit d'une analogie très précise. Alors qu'il devrait y avoir du discernement et la reconnaissance d'une relation causale entre la vaccination et ses conséquences, nombre de facteurs interviennent pour empêcher cette reconnaissance comme : le gouffre du temps qui sépare la vaccination des troubles neurologiques et auto-immuns, le courant constant de la désinformation, l'escamotage de toute critique, la fausseté du mythe de la sécurité et de l'efficacité des vaccins, la contrainte sociale ainsi que l'absurdité de l'immunité de groupe.

Notes :

1. http://www.immunologyaew.com/index.html

2. http://preventdisease.com/news/12/091612_How-Your-Body-Gets-Rid-of-Toxins-Naturally.shtml

3. http://www.carbsmart.com/pdigestion.html

4. http://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/downloads/appendices/B/excipient-table-2.pdf

5. Dr. Shoenfeld's video at: http://vaccinesafetyconference.com/videos.html