« La propagande ne cessera jamais d'exister. Les esprits intelligents doivent comprendre qu'elle leur offre l'outil moderne dont ils doivent se saisir à des fins productives, pour créer de l'ordre à partir du chaos. »

~ Dernier paragraphe du livre d'Edward Bernays Propaganda, comment manipuler l'opinion en démocratie 1928
Bernays a tout dit en un paragraphe conclusif qui résume ce petit bouquin de 109 pages, ce qui nous amène à dire une chose néanmoins : oui la propagande existera toujours... en société étatico-capitaliste. Elle est un instrument essentiel de sa survie, mais dans une société des sociétés ayant aplati non pas la « courbe des stats du corona » mais la pyramide du pouvoir en dissolvant de nouveau le pouvoir en son corps social, elle n'aura absolument plus aucune raison d'être.
Guerre contre peuple Macron Covid-19
© Projet KO
L'affirmation de Bernays ne tient que dans le paradigme illusoire de la division et du chaos fabriqués. Notons au passage également que la devises Ordo ab Chao est la devise... du Nouvel Ordre Mondial. Bernays, neveu de Sigmund Freud, et comme tant d'autres scientifiques, faisait partie du sérail. Un grand esprit ayant malheureusement mis son talent au service de la pourriture élitiste, mort au grand âge de 104 ans. On ne peut pas comprendre le monde d'aujourd'hui sans étudier ces esprits de l'ombre œuvrant ou ayant œuvré pour l'idéologie de la domination. Connaître son ennemi dans ce monde de folie pure, c'est déjà 50 % au moins de la victoire...


Si la crise du coronavirus est réelle, elle n'en est pas moins sur-gonflée à des fins propagandistes et de contrôle social. Pas convaincu(e)s ?... Lisez la suite et tous les liens corollaires. Nous ne détenons pas la vérité. Nous ne sommes que des poteaux indicateurs, parfois des techniciens de surface, on dépoussière c'est tout.


La grande expérience d'ingénierie sociale planétaire : le coronavirus SRAS-CoV-2

Le monde tel qu'on le connaît est virtuellement à l'arrêt. Des milliards de personnes dans le monde entier sont sous les effets d'un confinement plus ou moins drastique selon les pays. Au delà de la tragédie pour les familles des personnes décédées, il n'y a plus un endroit sur terre qui ne soit pas affecté d'une manière ou d'une autre par cet événement : le déferlement d'une nouvelle maladie, jusqu'ici inconnue, se propageant par contagion due à un nouveau coronavirus, le SRAS-COV-2, une espèce dite mutante proliférant chez une espèce de chauve-souris chinoise et qui serait passée de l'animal à l'humain via un marché de grossistes alimentaires de la ville de Wuhan en Chine en novembre 2019. C'est ce que nous dit du moins la « version officielle » des faits supposés.


11-Septembre & Covid-19
© Inconnu
Le virus dont la période d'incubation est de deux semaines ou plus (ce qui est très long pour un coronavirus), provoque une forte fièvre, des troubles aigus de la respiration et est particulièrement dangereux d'après les statistiques officielles, pour les populations plus âgées (moyenne d'âge des décès en Italie est de 78 ans), les patients souffrant de maladies multiples (plus de 50 % des victimes décédées en Italie et positives au CoV19 avaient 3 ou plus maladies annexes comme facteurs de co-morbidité) même si des personnes plus jeunes sont infectées et décèdent en bien moins grand nombre.

En Italie, le point chaud européen pour la maladie selon les « statistiques », le taux de mortalité des patients qui n'ont été infectés que par le CoV19 et rien d'autre est de 1,7 %, cela ne représentant que 12 % environ des décès imputés au même virus.


De par le monde les chiffres sont aussi sauvages qu'une horde de mustangs dans les grandes prairies, on nous parle de taux de mortalité allant de 0,98 % en Corée du Sud à 10 % en Italie, en passant par un 4 % en Chine et 2 % en France et 1,7 % aux USA et soudainement bien plus, tout cela pour un même virus.


Il est important à notre sens de toujours prendre ces chiffres avancés avec les pincettes qui s'imposent dans la mesure où il y a autant de critères d'analyse de données qu'il y a de pays semble t'il...

Quoi qu'il en soit, il y a trois façons de concevoir l'origine de cette maladie :
  • Le CoV19 est une occurrence naturelle. Les virus existent, naissent, meurent (question intéressante: un virus est-il un être vivant ?...), mutent et font partie de la nature. Les conditions de passage d'un tel virus de l'animal à l'humain existaient à Wuhan comme ailleurs. Cela s'est déjà produit à maintes reprises dans l'histoire humaine, ceci n'est qu'une anecdote supplémentaire, un blip sur le radar de l'histoire de la planète et accessoirement de l'humanité.
  • Le CoV19 est le résultat d'une recherche en manipulation génétique de laboratoire médical. Sa « fuite » vers l'extérieur est le résultat d'un accident. Il semblerait que le virus ait pu « s'échapper » du laboratoire P4 (niveau 4 en bio-hazard sécurité) de la ville de Wuhan, point de départ de la pandémie.
  • Le CoV19 est le résultat d'une recherche en manipulation génétique à des fins d'armement biologique militaire américain ayant impliqué le développement du virus dans des laboratoires universitaires sous financement militaires, notamment à l'université de Caroline du Nord entre 2006 et 2015 et sa mise sous forme d'armement militaire dans les laboratoires externes du Pentagone comme en Ukraine et en Géorgie. Le virus a ensuite été volontairement lâché sur le marché de Wuhan, impliquant ainsi la Chine.
L'une de ces trois versions est correcte. Nos lecteurs auront compris au fil de nos traductions et publications que nous pensons la 3e version être la bonne, ceci n'engage bien entendu que nous, mais nous sommes loin d'être les seuls à le penser et le dire.


Bien des pistes mènent à ce nouveau « faux-drapeau », véritable attaque contre l'humanité et il ne fait nul doute que si celle-ci sort enfin de ce cauchemar, « l'affaire du CoV19 » aura ses analystes en profondeur de la même manière que les événements du 11-Septembre 2001 ont les leurs. Ce seront sans doute du reste, les mêmes... amenant les réflexions et les analyses pertinentes, les trolls d'usage et toutes les histoires de couverture possible et imaginables de la part des gouvernements, si toutefois ceux-ci survivent ce marasme à venir.

Ceci est une perspective envisageant ce qui a pu se passer en amont et à l'instant de la mise en marche de l'événement. Regardons un peu les causes directes de celui-ci et ici, un parallèle avec le 11-Septembre est particulièrement judicieux semble-t-il...

Quelle que soit l'idée que chacun puisse avoir sur l'origine des attentats du 11-Septembre, il est indéniable que cet événement a eu des répercussions mondiales depuis près de 20 ans maintenant. Une « guerre contre le terrorisme » fabriquée qui a embarqué l'occident conquérant, emmené par l'empire anglo-américano-sioniste, dans un « choc des civilisations » préalablement planifié par certains idéologues, choc soi-disant « inévitable » entre le monde occidental et le monde musulman. Il y a eu un monde d'avant le 11-Septembre et un monde après le 11-Septembre 2001. Il en sera de même pour le coronavirus CoV19.


Le 11-Septembre a vu la création internationale du croquemitaine barbu islamo-fasciste. Médias à la botte, agences de « relations publiques », think-tanks, gouvernements et autres lobbies de la pensée ont mis les bouchées doubles pour faire croire qu'un barbu islamiste se cachait sous chaque plumard en occident. Que l'ennemi barbichu si envieux de nos « libertés » ne rêvaient que de nous éparpiller aux quatre vents ou de nous égorger, que nous devions porter le fer chez l'ennemi si on ne voulait pas vivre bientôt sous la charia, l'empire se lançant dans une vaste campagne d'anéantissement de régimes politiques de fait hostiles aux diktats anglo-américains, de leur redécoupage du monde et sur la manne pétrolière et gazière. Nous parlons ici dans l'ordre chronologique de l'Afghanistan (2001 à aujourd'hui), de l'Irak (2003 à aujourd'hui), du Soudan (2005 à aujourd'hui, bien que la guerre au Soudan dure depuis 1983 en fait et s'articule en plusieurs épisodes), de la Libye (2011 à aujourd'hui), de la Syrie (2011 à aujourd'hui), l'Iran étant la dernière cible et le plus gros morceau de la région à faire tomber sous l'effet domino impérialiste.


Virus mortel est la capitalisme
© Inconnu
Dans les pays occidentaux, plusieurs vagues d'attentats supplémentaires (faux-drapeaux ou pas selon ce que l'on adhère ou pas aux version officielles...) ont forcé des législations liberticides dont le Patriot Act de 2001 après le 11 septembre aux Etats-Unis est le modèle de tous. Tout ceci a forcé des changements de comportements et d'attitudes dans les populations. En y regardant de plus près, on se rend vite compte que toutes ces lois et mesures liberticides n'influent en rien sur l'occurrence ou non des actions terroristes qui ont toujours sporadiquement lieu, le plus souvent dans des moments de détresse des gouvernements posant toujours la question d'une « utilité concertée voire fabriquée » ?... Non, dans la très vaste majorité des cas, les lois liberticides, les états d'urgence proclamés ne font qu'aider les gouvernements à mieux contrôler les populations dans des périodes où ces mêmes gouvernements se livrent à des destructions sociales massives, livrant des nations entières et leurs services publics aux harpies du capitalisme financier ultralibéral transnational, suscitant gronde, fronde et rébellion chez les peuples opprimés et plus facilement matées sous couvert de lois martiales et d'états d'urgence. De plus, cela donne du grain à moudre pour les « experts » en ingénierie sociale qui possèdent maintenant un accès direct à de gigantesques terrains d'expériences sociales sur des populations manipulées et aux abois.


Reportons-nous maintenant à ce qui se passe en France et ailleurs sur la planète durant cette pandémie de coronavirus. La France, et une bonne partie du monde sont « confinées ». Tout ou presque s'est arrêté. On demande aux gens de rester chez eux, de ne sortir que sous autorisation (Ausweis bitte !... Brrrrr...), de dénoncer les « comportements déviants » en instituant une forme de « honte sociale » pour ceux ou celles qui prendraient tout ça trop à la légère. On nous impose des comportements de sécurité sanitaire étiquetés « distanciation sociale », gardez vos distances avec cet autrui potentiellement malade, infecté, coupable... Vilipendez ceux qui ne respectent pas la distance de sécurité en attendant que la police du comportement fasse ce boulot pour laquelle elle sera créée. Dénoncez les comportements déviants ! Soyez de bons citoyens de ce « meilleur des mondes » en marche et vous serez socialement récompensés. Surtout ne loupez pas un soir à 20h00 pile d'aller sur votre balcon applaudir les personnels sanitaires, ces nouveaux soldats au front, ces héros et experts dont nous n'oserions pas douter.


Toutes ces nouvelles normes induites, soi-disant « spontanées », naissant de la nécessité et de l'urgence peuvent en fait être vues comme des caractéristiques, des rouages d'une gigantesque expérience d'ingénierie sociale planétaire.

expérience d'ingénierie sociale planétaire
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Nous sommes des rats de laboratoire. On nous a injecté avec une saloperie quelconque, on nous met dans des situations de stress exponentielles et on nous observe à la loupe, individuellement et collectivement tout en modifiant nos comportements. La question essentielle des ingénieurs menant cette expérience in vivo est celle-ci : Jusqu'où peut-on pousser le bouchon avant que ça se fissure, que trop soit trop ou que ça pète ? Pensons à cela comme à une expérience de Milgram à l'échelle planétaire... Vous savez cette expérience scientifique qui voyait des étudiants recrutés pour un projet bidon, administrer à la commande d'une autorité « experte », des décharges électriques fictives sur un sujet (acteur faisant partie de l'équipe de test) lorsque celui-ci répondait mal à une question. Ils ont planté le décors, induit le stress (physique, le virus et psychologique, le confinement) et donnent des ordres qui seront de plus en plus drastiques, dans le même temps ils analysent les réponses. Qui obéit, qui se couche, qui se rebelle et pourquoi ? Comment ajuster le curseur pour que la vaste majorité des gens obéissent aux injonctions des autorités « expertes » ? Le but ? Analyser et perfectionner un système de contrôle planétaire pour les populations et mettre en place des rouages de contrôle social en maintenant les gens dans la peur constante, mais une peur ayant générée de nouvelles normes sociales acceptées de la vaste majorité. Il faudra ensuite gérer les « asociaux », ce que faisait le goulag et les hôpitaux psychiatriques soviétiques. On y viendra, graduellement.


Tout cela n'a pas disparu, mais n'est qu'en mutation constante... comme un virus. L'État, le capitalisme et son diktat marchand ne sont que des virus, pire, des parasites qui drainent l'énergie et le bien-être de l'humanité. ls sont anti-humains par essence.

De la même manière qu'il y a un « avant » et un « après » 11 septembre 2001, il y aura un « avant » et un « après » CoV19... Ceci est en train d'être imprégné dans notre inconscient jour après jour, semaine après semaine d'obéissance servile aux « autorités » ordonnant le confinement.

Obéissance aveugle
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Alors obéissance aveugle à la nouvelle norme sociale ou désobéissance, dissidence à cette ingénierie sociale bientôt associée à l'entité technotronique pour une dominance totale ? Il faudra bientôt choisir et plus tôt que beaucoup ne le croient.

Se préoccuper de sa santé et de celle d'autrui ne veut pas dire d'accepter la dictature technotronique sécuritaire et sanitaire et n'empêche en rien de rejoindre la résistance ! Une méga-crise économique va déferler sur le monde dans les mois à venir. Cette crise sanitaire du CoV19 a aussi été mise en place pour servir de bouc émissaire. Tout sera blâmé sur le virus et rien sur les pauvres oligarques d'un capitalisme moribond qui passeront de fait pour rien d'autre que des victimes à qui on garantira le sauvetage, une fois de plus alors que des millions seront à la soupe populaire ou son équivalent mortifère.

Tout ceci servira à faire passer des mesures de contrôle encore plus draconiennes sur des peuples abasourdis, KO debout dans les cordes. L'effet rasoir à trois lames : le CoV19 prépare le terrain et commence le chaos voulu, la crise économique accentue ce chaos avec les résidus de la crise sanitaire, l'oligarchie arrive sur son cheval blanc avec sa solution toute prête à faire accepter par les gens, la dictature technotronique sans argent liquide et au contrôle social draconien, pour sauver l'humanité à coup de 5G, de nanotechnologie, d'IA, de puce RFID et de vaccins bouillons de culture pour gérer le bétail humain à l'échelle planétaire.


La véritable question est : Accepterons-nous tout ça au prétexte que, comme d'habitude, c'est « pour notre bien » ? Quand assez est-il assez ? En 1994, les peuples natifs du Chiapas mexicain, descendants des peuples Mayas ont clamé haut et fort leur ¡Ya Basta!

Ils continuent aujourd'hui 26 ans plus tard. Notre tour est venu ! Tendons les mains et rejoignons le cercle de l'humanité vraie, celui de la société des sociétés. Devenons qui nous sommes, vraiment.

En 1990, lors de la crise d'Oka (au Québec) qui vit les Mohawks se révolter contre l'accaparement illégal de leurs terres sacrées (il s'agissait en l'occurrence d'un site ancestral funéraire) pour agrandir un ... club de golf, une mère de clan de la nation mohawk déclara ceci aux colons venus aux « nouvelles » et devant les caméras de la TV locale : « Regardez bien ce qui se passe ici, parce que quand ils en auront fini avec nous... ce sera votre tour ! » Tous les peuples colonisés et opprimés savent quelque chose que nous refusons, bien à tort, de voir. Toutes les crises présentes et à venir donneront raison à cette ancienne... si nous ne faisons rien pour y mettre un terme une bonne fois pour toute.