Les Maîtres du MondeS


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Face à la Miviludes, la santé alternative joue la carte du « laisser dire »

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Les Ecoles de naturopathie, comme ici Euronature, sont organisées au sein d´une fédération nationale,
la Fenahman.
Ayurveda, naturopathie, thérapies énergétiques et autres méthodes de santé « non conventionnelles » sont régulièrement discréditées par l´instance chargée de la lutte contre les dérives sectaires, la Miviludes (voir notre article). Qu´en pensent les praticiens visés ?

Edité par la Miviludes (Mission interministérielle de lutte contre les sectes, rattaché auprès du premier ministre), le nouveau guide « Santé et dérives sectaires » jette une fois de plus le discrédit sur la médecine non-conventionnelle, déjà mise en mal dans les deux précédents rapports annuels 2010 et 2009. Le présent guide cite une quarantaine d'approches alternatives, susceptibles de conduire à des « dérives sectaires ».

Naturopathie, ayurvéda, gemmothérapie, décodage biologique, kinésiologie, thérapies quantiques, la liste est longue et « non exhaustive » pour la Miviludes, qui souhaite mettre en garde les patients qui s´écartent de la médecine officielle. « Les dangers de ce marché alternatif de la guérison et du bien-être » tiennent essentiellement au fait qu'elles ne sont « ni réglementées ni validées scientifiquement », écrit la mission interministérielle.

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Big Brother : la Grèce sera bien le Laboratoire du Nouvel Ordre Mondial

Nous l'annoncions avant même que la crise ne prenne son ampleur actuelle : La Grèce, l'un des plus petits pays de l'Europe « occidentale » constituera bel et bien LE Laboratoire des élites néo-mondialistes des expériences in vivo et pour imposer leurs mesures de contrôle des masses par un système néo-totalitaire à la Big Brother.

Même les grands médias alignés en conviennent désormais :

Pour [NDLR : prétendument] lutter contre la fraude, Athènes veut devenir le Big Brother des porte-monnaies, titre sans rire TF1 !
Le gouvernement grec travaille à la création d'un vaste fichier électronique recoupant toutes les transactions des contribuables avec les banques, les caisses d'assurance, les hôpitaux... En ligne de mire [NDLR 911NWO.INFO : Comme prétexte] : la fraude fiscale, endémique en Grèce .
Et ce qu'il faut remarquer dans cette chronique d'une mort annoncée (celle de la démocratie à l'échelle planétaire), c'est que les lecteurs de TF1 (nombreux faut-il le rappeler) se réjouissent en commentaires de telles mesures liberticides « Enfin, c'est pas trop tôt ! » claironne le premier idiot utile à être validé par la Modération de TF1, « La Grèce est un exemple grandeur nature des dégâts occasionné par la corruption des élites et du travail au noir banalisé à tout les niveaux. » bredouille le second, qui visiblement n'a toujours pas compris que la magouille se jouait au niveau suprême...

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Meilleur du Web: Ici gît la France (496-2012)

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A tout homme aimant un tant soit peu la France, à tout individu soucieux de ne pas la voir saborder sa prospérité, sa démocratie et son art de vivre, à tout dissident en guerre contre l'oligarchie financière et ses desseins mondialistes, le pathétique spectacle de ces millions de Français, mystifiés par le Théâtre de Guignol, se rendant comme des moutons bien dressés aux urnes par aller voter leur propre mise en esclavage, est un coup de massue sur la nuque.

Le résultat avait beau être connu d'avance, en cette soirée d'avril 2012, les patriotes et dissidents ont mal à la France. C'est le cœur serré de colère, d'écœurement et, reconnaissons-le, aussi de tristesse, que votre serviteur a découvert les scores des différentes marionnettes que les presstituées osèrent pendant des mois appeler candidats à l'élection présidentielle.

Cinq ans de félonies ouvertes et assumées, de grossièreté et de mépris du peuple n'ont pas empêché des Français, par paquets de millions, de voter une nouvelle fois pour l'homme qui dans l'Histoire de France compte le plus d'acte de haute trahison à son actif, ce président infâme, qui déshonora le drapeau français en le trempant dans le sang de 50 000 libyens qui, jusqu'à preuve du contraire, ne nous avaient rien fait : Nicolas Sarkozy.

Display

Machines à voter : recette pour une fraude électorale parfaite

UN INFORMATICIEN NÉERLANDAIS VIENT DE DÉMONTRER À QUEL POINT LES ORDINATEURS DE VOTE (DONT S'ÉQUIPENT PLUS D'UNE CENTAINE DE VILLES EN FRANCE) SONT FACILES À PIRATER.

Par Antonio Fischetti, paru dans Charlie Hebdo n°756 du 13 décembre 2006. Dessins : Honoré.

Pour la présidentielle de 2007, plus d'un million de Français voteront sur des ordinateurs. Fini le bulletin papier, ils appuieront sur une touche, un peu comme pour choisir un billet à la SNCF. Vu que le dépouillement ne prend que quelques minutes (un clic, une addition, c'est fini !), les municipalités sont ravies. Mais, pour bon nombre d'informaticiens, ce procédé est antidémocratique car il autorise une fraude indétectable.

Impossible !, arguent les fabricants. Ah, bon, impossible ? Chiche, a répondu l'informaticien néerlandais Rop Gonggrijp. Il s'est procuré une machine à voter et nous a montré comment procéder. Cela, dans le but de stopper dans l'oeuf la progression du vote électronique avant qu'il ne se répande en France.

Gear

Machines à voter, la fraude en images

http://www.ordinateurs-de-vote.org/Machines-a-voter-recette-pour-une.html#som...
http://www.ordinateurs-de-vote.org/petition/

Installer lEprom sur un appareil de lecture relié à un ordinateur (système en vente partout pour une centaine deuros). Connaître le contenu de lEprom demande un peu de travail au début, mais rien dinsurmontable, à en croire Rop : « Nimporte quel bon informaticien peut faire ça. On passe un mois la première fois, puis, une fois quon a compris, cest beaucoup plus rapide. » Reprogrammer ensuite lEprom afin de favoriser le candidat désiré. Le remettre dans la machine à voter. Voilà, cest fini. Personne ne remarquera la modification.


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Meilleur du Web: Hacking Democracy (La démocratie piratée)

Cette vidéo expose les dangers des machines à voter utilisées lors des élections américaines. Selon des sources officielles, 1 000 000 de votes ont été effectués aujourd'hui en France à l'aide de ces machines. Se passerait-il en France ce qui s'est passé aux États-Unis ? Et quid du deuxième tour ? Grâce à ces machines, les résultats, et donc la présidence, peuvent basculer en un seul clic, au bénéfice de ceux qui ont instauré le vote électronique. Alors, démocratie, ou dictature cachée ?


Alarm Clock

SOTT Focus: Merah sacrifié pour offrir les élections à Sarkozy ?

Ce communiqué réalisé par Sott.net se penche sur le parcours de Mohamed Merah, qui, selon la thèse officielle, a abattu 7 personnes à Toulouse et Montauban en mars 2012. Nos recherches ont révélé des éléments troublants montrant que Merah était un agent des services secrets qui a été sacrifié afin que Sarkozy ait son petit « 11 septembre » et qu'il soit réélu. C'est du moins ce qu'il espère.


Cult

Meilleur du Web: Pédophilie institutionnalisée : Zembla - Les dossiers X

Ce documentaire de 2004 diffusé à la télévision néerlandaise expose les crimes abominables des fonctionnaires belges corrompus qui ont protégé Dutroux parce qu'il travaillait pour eux.


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« DSK, Hollande, etc. » - le nouveau film de Pierre Carles


Commentaire :
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Voir la première version du film sur le site de Pierre Carles : lien


Texte paru dans la revue Tête-à-tête, N° 3, Images du pouvoir, Printemps 2012

Pascal Benvenuti (Tête-à-tête) : Pourriez-vous nous parler du film que vous préparez actuellement ?

Pierre Carles : Il s'agit d'un remake de Juppé, forcément..., que j'ai réalisé en 1995 pour Arte [1]. Cette enquête révélait comment la presse - en l'occurrence le journal Sud-Ouest, qui est en situation de monopole à Bordeaux, et France 3 Aquitaine - fabriquait un élu. En surmédiatisant la candidature d'Alain Juppé à la mairie de Bordeaux bien avant les élections municipales, alors qu'il ne s'était pas officiellement déclaré candidat, la presse faisait sa campagne.

On peut établir un parallèle avec ce qu'il s'est passé en 2010 et 2011, lorsque Dominique Strauss-Kahn qui n'était pas officiellement candidat à la présidence de la République - il l'était en réalité, on le sait aujourd'hui, mais faisait lui aussi semblant de ne pas s'être décidé - était le chouchou des grands médias. La majorité de la presse n'arrêtait pas de souligner qu'il était le mieux à même d'occuper le poste de président de la République. Les patrons de presse ont tellement vu en lui l'homme idéal pour défendre leurs intérêts que leurs journaux n'ont pas arrêté de donner un écho important aux moindres signes de sa candidature.

C'est ce qu'il s'est passé avec Alain Juppé en 1994 à Bordeaux. À l'époque, il était ministre des affaires étrangères et numéro deux du RPR derrière Jacques Chirac. Ses moindres allées-venues à Bordeaux donnaient lieu à des reportages. Même scénario avec Strauss-Kahn. Les deux hommes n'étaient pas officiellement déclarés candidats, ne voulaient pas apparaître comme des hommes politiques ayant des ambitions politiciennes, donnaient l'impression de se sacrifier : « Vous m'appelez, vous avez envie que je me présente, que je sois candidat. Bon, d'accord, si vous insistez je serai candidat. Je vais me sacrifier, je vais faire don de ma personne ».

Gear

Machines à voter, machines à frauder

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"Vous verrez ! Je vous réserve une surprise." Voilà quels étaient les mots du Candidat-Président de la République mardi 27 mars à Nantes, à propos de l'élection présidentielle.

Quelle pourrait être cette surprise ? Peut être devrions-nous nous interroger sur ce que Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'intérieur, a autorisé par l'arrêté du 17 novembre 2003(JO 27/11/2003) : l'usage des machines à voter électronique.

Cet agrément, basé sur une loi vieille de 1969, est le premier du genre dans l'histoire de la démocratie française, jusque là encore dans les mains des citoyens. Cette autorisation n'a pourtant, selon le document officiel, « pas de limitation de durée ». De plus, la société agréée « pour vérifier la conformité des modèles de machines à voter » est une société anonyme privée, humblement nommée « Bureau Veritas ». Au vu du travail des organismes en charge des machines à voter, que l'on peut observer dans le consternant documentaire Hacking democracy (Pirater la démocratie) qui revient sur les fraudes concernant la réélection de George Bush en 2004, on peut légitimement développer un comportement de méfiance par rapport à ces ordinateurs de vote.

Car, et peut être l'apprendrez-vous en lisant ces lignes, ces machines à voter ne vous apporteront rien d'autre qu'un modeste sentiment de satisfaction : celui d'avoir fait partie de l'avant-garde du progrès, faisant de vous des précurseurs de la démocratie moderne. Et quelle modernité ! La victoire des intérêts privés et de l'opacité sur la transparence et la pureté de l'investissement citoyen dont la justification officielle, à savoir « alléger les ressources humaines et financières nécessaires au déroulement des élections et de réduire la durée du dépouillement et de la centralisation des résultats » laissera les démocrates sur leur faim.