Note du rédacteur : Est-il possible que quelque chose ait jailli des cendres de Merkozy qui tiendront le règne de la puissance dans l'UE, tout en jetant de côté leur démocratie pour de l'autocratie ?
L'Allemagne, la France et neuf des pays les plus puissants de l'Europe ont réclamé un président élu de l'Union Européenne et une fin du veto de la Grande-Bretagne sur la politique de défense, dans un modèle prototype radical pour l'avenir du continent.
Dans un document publié après une réunion entre les 11 ministres des affaires étrangères à Varsovie, le bloc a dressé une carte d'une vision pour l'« avenir de l'Europe ».
Ainsi que l'appel pour un chef d'état unique, élu élu pour l'Europe, le bloc a exigé une nouvelle politique de défense, sous le contrôle d'un ministère des affaires étrangère paneuropéen commandé par la baronne Ashton, qui « pourrait par la suite impliquer une armée européenne ».
Dans le but « d'empêcher un simple Etat membre de pouvoir obstruer des initiatives », en référence à l'opposition britannique à une armée européenne, le groupe dirigé par les allemands a exigé une fin des veto nationaux existants sur les politique, des domaines des affaires étrangères et de la défense. Ceci donnerait à l'UE la puissance d'imposer une décision à la Grande-Bretagne, si elle était soutenue par une majorité d'autres pays.