Les Maîtres du MondeS


Syringe

La Fondation Gates finance un système de surveillance des contestataires des vaccins

Là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir pourrait-on dire.

La Fondation Gates (qui finance les vaccinations et les OGM avec les intérêts et non le capital de la fortune de B. Gates) finance à présent la mise au point d'un système d'alerte et de surveillance et des mouvements anti-vaccins, ce qui sous-entend "établir un système d'alerte et de monitoring mondial par internet pour trouver, analyser et contrecarrer les campagnes de désinformation sur les vaccins, de façon à soutenir les efforts mondiaux de vaccination."

Cette fondation a donc attribué des financements au Pr Seth. C. Kalichman, du Département de Psychologie de l'Université du Connecticut, pour la mise en forme de ce projet.

Newspaper

Un journaliste du New York Times fait relire le papier de sa collègue à la CIA

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Un exemplaire du New York Times devant une porte, en 2009 (RICHARD B. LEVINE/NEWSCOM/SIPA)
Le 5 août 2011, Mark Mazzetti, reporter au New York Times et spécialiste de la sécurité nationale, envoie un e-mail à la porte-parole de la CIA. Il lui transmet l'article d'une de ses collègues avant publication, accompagné de ces mots :
« Ça ne vient pas de moi... et merci d'effacer ce message après l'avoir lu. Vous voyez, rien d'inquiétant ! »
Sauf que mardi, un groupe conservateur américain appelé Judicial Watch (surveillance judiciaire) rend public l'e-mail du journaliste, provoquant des réactions en chaîne dans la presse et les excuses de Mark Mazzetti pour son comportement peu déontologique.

Un film sur la mort de Ben Laden

A l'origine, Judicial Watch s'intéresse à des conversations entre l'administration Obama et des producteurs hollywoodiens préparant un film sur la mort d'Oussama Ben Laden. Le groupe conservateur accuse la Maison-Blanche de compromettre la sécurité nationale pour communiquer et se mettre en valeur.

Red Flag

Manufacturing Dissent : Quand une pseudo révolution apporte la mort


Manufacturing Dissent
est un documentaire qui décrypte de façon implacable, la guerre psychologique menée par les médias « mainstream » et l'establishment politique de l'Occident et ses alliés visant à faciliter aux États-Unis, l'agenda européen et israélien de se débarrasser de l'actuel gouvernement syrien. Il montre comment les médias ont contribué directement à l'effusion de sang en Syrie.

Le documentaire déconstruit les principales allégations que ces acteurs ont présenté, à savoir que le gouvernement syrien procède systématiquement à la répression des manifestations pacifiques, et donc, qu'il a perdu sa légitimité. Il montre comment de telles allégations sont étayées par des preuves inexistantes, Houla et Daraya viennent encore de faire la démonstration. Il ne s'agit donc que de propagande pour servir les intérêts de la politique étrangère de leur pays.

Manufacturing Dissent apporte la preuve des faux rapports diffusés ou publiés par des médias comme CNN, BBC, Al Jazeera et d'autres, notamment sur la base d'entretiens avec un échantillon bien défini de la population syrienne. De l'acteur à l'artisan, en passant par le journaliste ou le résident de Homs, tous ou presque tous, ont tous été touchés par la crise.

Newspaper

Comme c'est surprenant - USA : pas de poursuites contre la CIA sur la mort de détenus dans ses prisons

WASHINGTON - Les Etats-Unis ont mis fin à l'enquête sur la mort de deux personnes détenues dans des prisons secrètes de la CIA après le 11-Septembre et décidé de renoncer à des poursuites, a annoncé jeudi le ministère de la Justice.

Le ministère renonce à des poursuites car les preuves recevables (devant un tribunal, ndlr) seraient insuffisantes pour obtenir une condamnation au-delà du doute raisonnable, justifie le ministre de la Justice Eric Holder dans un communiqué.

L'enquête avait débuté en août 2009 quand M. Holder avait demandé à un procureur de passer en revue les interrogatoires de la CIA menés sur 101 détenus dans des lieux tenus secrets hors des Etats-Unis, pour déterminer si des lois avaient été enfreintes.

Attention

Quelques réflexions sur la criminalisation de la divergence d'opinion, suite à la dernière audience du procès contre le NDAA

Traduit par Résistance 71

Mardi dernier, je me trouvais au quinzième étage du Southern U.S. District Court de New York, dans la salle d'audience de la juge Katherine Forrest. Il s'agissait de la dernière audience concernant les poursuites engagées par moi-même en janvier contre le Président Barack Obama et son Secrétaire de la Défense, Leon Panetta. Ce procès, que j'ai intenté avec Me Carl J. Mayer et Me Bruce I. Afran, concerne la Section 1021 du projet de loi intitulé « National Defense Authorization Act » (NDAA). Six autres plaignants, dont Noam Chomsky et Daniel Ellsberg, nous ont rejoints par la suite.

Cette partie du NDAA, ratifiée par B. Obama le 31 décembre 2011, nous enlève certaines de nos protections constitutionnelles les plus importantes. Elle permet au pouvoir exécutif d'ordonner à l'armée l'arrestation de tout citoyen étasunien soupçonné d'activités terroristes ou d'association avec des terroristes. Les personnes placées en garde-à-vue par l'armée - désormais chargée de faire respecter la législation nationale - peuvent perdre leur droit à une procédure et à un habeas corpus réglementaires, et être maintenues en détention pour une durée indéfinie dans les bâtiments de l'armée. Cette loi permet de menacer activistes et dissidents, dont les droits étaient jusque-là protégés par le Premier Amendement, d'une incarcération à durée indéterminée dans les prisons militaires, y compris dans nos colonies pénitentiaires maritimes. L'intitulé de la loi lui-même, « the Homeland Battlefield Bill » (NdT: qu'on pourrait traduire par "Loi sur le champ de bataille du territoire national"), évoque un crédo totalitaire dans lequel les ennemis, qu'ils se trouvent au sein de la patrie ou à l'étranger, doivent être combattus sans relâche.

Family

Pédophilie : le Vatican épargné par la justice américaine

Soulagement au Vatican: dans l'Oregon, un juge fédéral a estimé que les prêtres catholiques ne pouvaient être considérés comme des employés du Vatican. Ce qui ferme la porte pour l'instant aux poursuites visant le Saint-Siège dans les affaires de pédophilie impliquant des clercs.
Jeff Anderson
© DRJeff Anderson, l'avocat du plaignant anonyme qui demandait la reconnaissance de la resposabilité du Vatican dans les affaires de pédophilie
USA : LE VATICAN NE SERA PAS POURSUIVI

Le père Andrew Ronan, prêtre irlandais de l'ordre des Servites de Marie, est accusé d'avoir abusé d'un jeune garçon en 1965 aux Etats-Unis. L'enquête aura mis en évidence que les supérieurs du prêtre étaient au courant des premiers abus commis en Irlande, et qu'ils se sont contentés de le déplacer, à Chicago, puis à Benburg (Irlande) et enfin à Portland, sans que les responsables américains de l'ordre ni les évêques des diocèses concernés ne soient mis au courant des agissements du clerc. Résultat: une quinzaine de victimes. Le Vatican, lui, ne sera au courant que lorsque le père Ronan demandera à être relevé de l'état sacerdotal, en février 1966.

Pour la victime qui a lancé l'affaire, la mort de son agresseur - et l'absence de procès qui s'ensuit - est inacceptable. Cet anonyme de l'Oregon engage donc l'avocat Jeff Anderson, l'avocat-star des victimes de pédophilie par le clergé aux Etats-Unis, et porte plainte contre le Vatican, en tant qu'employeur - et donc responsable - du père Ronan en 2002. Pour lui, Rome est responsable de l'inaction des supérieurs directs du prêtre.

Newspaper

Les experts sont formels...

Comment les consultants rédigent l'information (extraits du livre L'Industrie du mensonge).

lies
Les publicitaires ont compris depuis longtemps que l'un des moyens les plus efficaces de convaincre le public est de faire passer un message par la voix d'un « spécialiste » unanimement reconnu - chercheur, médecin ou professeur d'université. Le spot publicitaire où apparaît un acteur professionnel vêtu d'une blouse blanche de laboratoire annonçant avec autorité que « la recherche prouve » la supériorité absolue du produit présenté est devenu un genre télévisuel à part entière. Les consultants sont désormais également passés maîtres dans l'art de se faire cautionner par un « expert indépendant » censément impartial - ruse grossière qui, malgré la réputation de méfiance des journalistes, marche pratiquement à tous les coups.

Une agence-conseil offre par exemple un service d'« assistance » en ligne, Profnet, dont le siège se trouve à Stony Brook, à l'université de l'État de New York. Les journalistes en quête d'informations sont invités à envoyer à cette adresse e-mail leurs demandes, relayées à plus de 800 professionnels des relations publiques, appartenant à des instituts de recherche de 16 pays, qui se chargent de trouver des chercheurs susceptibles de fournir des réponses. Inutile de dire que cette information « gratuite » est favorable aux produits et services que ces officines ont pour but de promouvoir [14]. Les agences de lobbying financent aussi des « instituts de recherche à but non lucratif » dont les « experts indépendants » roulent bien évidemment pour eux.

Le Conseil américain pour la science et la santé, par exemple, est un groupe-écran utilisé fréquemment par les industriels. Son activité tourne autour de l'agro-alimentaire et de l'industrie chimique. Dirigé par Elizabeth Whelan, il se présente comme un institut scientifique « indépendant » et « objectif ». Cette prétention a été examinée à la loupe, en mars 1990, par un chroniqueur du Washington Post, Howard Kurtz. Dans une enquête menée pour la Columbia Journalism Review, il s'est intéressé de très près aux financements dont bénéficie le Conseil américain pour la science et la santé [15]. Il se trouve que celui-ci fait volontiers l'éloge de la restauration rapide et que ses financeurs comptent Burger King ; qu'il minimise les liens entre nourriture trop grasse et maladies cardio-vasculaires et encaisse les subsides d'entreprises agro-alimentaires comme Oscar Meyer, Frito Lay et Land O'Lakes ; qu'il prône les vertus de la saccharine et touche des subventions de Coca-Cola, Pepsi, NutraSweet et de l'Association nationale des boissons non alcoolisées ; enfin, qu'Elizabeth Whelan fulmine contre une campagne lancée par un homme d'affaires du Nebraska contre les huiles tropicales trop riches en graisses - contenues en abondance dans le pop-corn - et que des fabricants d'huile de palme financent le Conseil pour la science et la santé. « Il n'y a jamais eu un seul cas de risque sanitaire lié à l'utilisation raisonnable de pesticides agréés dans notre pays », prétend ce très indépendant conseil qui reçoit de l'argent d'une flopée de fabricants de pesticides. Whelan ne mâche pas ses mots à l'égard des écologistes, qu'elle accuse de se laisser aveugler par « l'idéologie » et d'avoir pour seul objectif de « détruire la libre entreprise. [...] Ces gens détestent le seul mot de "profit", et ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour ruiner les entreprises [16] ».

Che Guevara

La rébellion éclate dans une école du Texas : les étudiants refusent d'être contraints de porter une puce RFID

Le "tracking" des 4000 étudiants devait être effectif à partir du 27 août dernier.
RFID
© inconnu
Des élèves et parents s'insurgent contre le plan du district de San Antonio de munir les étudiants d'une carte à puce RFID pour surveiller leur emplacement exact en tout temps. Des sources rapportent que les parents et les étudiants se sont confrontés à la commission scolaire hier soir en exposant leurs préoccupations au sujet de la vie privée et d'autres questions.

Selon un rapport déposé dans cette affaire, les systèmes RFID peuvent être développés pour une utilisation dans une école et les étiquettes RFID peuvent être lues par n'importe qui n'importe où et ce, secrètement. Comme les appareils de lecture RFID fonctionnent sans émettre de bruit, les ondes radio invisibles et les appareils de lecture peuvent être cachés, clandestins, les rendant presque impossible à détecter ».

Ceci signifie que le pistage via la puce RFID ne se limite pas à une école, mais à toutes personnes ou organismes gouvernementaux qui possèdent un dispositif de lecture.

Camera

Le journaliste d'une chaîne anglaise balance sur le conflit Syrie-Iran


Ce que dit ce journaliste britannique (Dan Glazebrook), lors d'un JT en direct, serait tout simplement impossible ou censuré en France, et lui viré pour ses opinions.

Evil Rays

La Manipulation, c'est Maintenant !

Le Petit Journal de Canal + tacle Ayrault ... La cible de la rentrée de Yann Barthès ? Le premier ministre Jean-Marc Ayrault et les jeunes socialistes.


La scène a été filmée pendant les universités d'été du Parti socialiste à La Rochelle et plus précisément pendant la conférence donnée par l'ancien maire de Nantes aux jeunes socialistes. Alors que tout semblait s'être déroulé dans le meilleur des mondes, avec un premier ministre qui a été à la hauteur des questions posées par les jeunes, le petit journal a capté les préparatifs de cette grande conférence. Où tout était très organisé...