Oh, évidemment, à Boston, dès l'attentat produit, on
a eu droit à tout (*) Aux accusations en ligne, en particulier comme celle d'u
n jeune étudiant (Salaheddin Barhoum) désigné par certains comme poseur potentiel de bombes, ce qui dans un pays de gens à la gâchette sensible peut représenter un danger extrême, des accusations reprises bien trop
aventureusement par le NW Post (**). De la délation en ligne, rien d'autre, pour laquelle l'état US via le FBI a dû intervenir en demandant de cesser de le faire (était visé notamment le site du manipulateur d'extrême droite texan Alex Jones, partisan des armes à feu). Mais aussi, et c'est beaucoup plus intriguant, d'une catégorie de personnes hautement repérables grâce à leurs logos portés sur leurs couvre-chefs, notamment, apparus avant les explosions, et dont le rôle reste à établir, vu qu'il s'agît d'un groupe façon
mercenaires de Blackwater,
baptisé Craft, une société spécialisée... dans la protection événementielle et les communications, fondée par un ex-sniper à son retour d'Irak. Ce qui laisserait entendre qu'on se doutait de quelque chose à Boston, car sinon on ne voit pas l'intérêt de convoquer sur place ce genre d'escouade, au prix faramineux auquels ils facturent leur prestation. Le plus intriguant, peut-être, de toute l'histoire étant le slogan arboré fièrement par les membres de l'équipe de Craft...
Très vite, une fois les explosions passées, des internautes avides de jouer aux détectives ont donc posté en ligne des centaines de photos, voire des milliers, dont certaines mêmes en vision panoramique, fournie par leur téléphone portable. Une aubaine pour le FBI, qui disposait ainsi de scènes de crimes qu'elle n'aurait pas pu obtenir elle-même. Mais tès vite aussi, des personnages inattendus vont faire irruption. Si les deux tchetchènes sont signalés par le FBI
au lendemain du crime seulement, le soir-même, les internautes ont trouvé d'autres personnages tout aussi intiguants. Ils s'habillent tous de la même façon, portant blouson foncé et pantalon clair, tous munis de chaussures de l'armée (des "
Tactical Sport Desert Tan"). Certains communiquent entre eux par téléphone à oreillette, et plusieurs sont porteurs de lourds sacs à dos, ce qui fait que très vite les internautes les désignent comme des terroristes potentiels (
N°1 même chez certains !). A étudier de plus près ces personnes, on découvre assez vite qu'ils affichent un logo... étange, celui d'une tête de mort sans mâchoire, déjà vu quelque part.... car fort ressemblant à celui des mercenaires chargés de surveiller il y a quelques années des plateformes pétrolières irlandaises.... et retrouvés après en... Bolivie en train de fomenter des coups d'état. L'un d'entre eux sera accusé d'avoit attenté à la vie du président Morales.
Commentaire: Très intéressant en effet. Alors, les « sites Web extrémistes » que Tamerlan visitait n'étaient pas « al_qaïda_forever.aol.com » et toutes les absurdités mises en place par la CIA et le FBI afin de piéger les jeunes musulmans... Il a simplement élargi son esprit en visitant des sites de la communauté alternative.
En outre, en admettant qu'il n'avait pas de liens avec des groupes terroristes, le gouvernement américain reconnaît que sa « conversion à l'islam » n'était pas pertinente - le fait est que Tamerlan était « converti » à la Vérité.
Nous nous demandons dans quelle mesure Tamerlan était au fait des méthodes de « La Bête » ? Il n'était quand même pas naïf des pièges mensongers du Bureau fédéral à propos de jeunes musulmans dans de faux complots terroristes ?
À la lumière de cela, il semble très peu probable qu'il ait volontiers participé à cette terreur du deal de « l'exercice »-devenant réel.
Une tactique souvent utilisée dans les « attentats suicides » israéliens est de contraindre le jeune Palestinien à se trouver un certain jour, en un certain lieu, et à un certain moment, sous la menace qu'à défaut de le faire, cela entraînerait une visite préjudiciable auprès de sa famille...