Des universités anglaises tolèrent-elles l'apologie de la pédophilie ? « L'intérêt pédophile est naturel et normal pour les mâles humains ». « Au moins une minorité non négligeable d'hommes normaux aimerait avoir des relations sexuelles avec des enfants ... » Ces citations ne proviennent pas de la presse soixante-huitarde ou de la propagande immonde du PIE (Paedophile Information Exchange) qui bénéficiait autrefois du soutien de personnalités politiques de premier plan.Non, ces propos qui présentent la pédophilie comme « naturelle et normale » datent de juillet 2014 et ont été prononcés lors d'une session académique d'été organisée par l'Université de Cambridge ! Parmi les thématiques abordées très officiellement :
« Libérer le pédophile: une analyse discursive » et
« Les enjeux de l'hébéphilie »... L'hébéphilie est présentée comme la préférence sexuelle pour les très jeunes adolescents dans la puberté précoce, généralement entre 11 et 14 ans !
Parmi les participants à cette session d'été de l'Université de Cambridge, il y avait un homme très enthousiaste, Tom O'Carroll, délinquant sexuel pédophile multirécidiviste, militant de longue date pour la légalisation des rapports sexuels avec des enfants et ancien dirigeant du
Paedophile Information Exchange (PIE) . « Merveilleux! », Écrivit-il sur son blog à propos de ce qu'il entendit à l'Université de Cambridge en juillet 2014.
Commentaire: C'est un système parfait qui est mis en place : le médecin éventuellement récalcitrant (dans sa façon de voir la médecine, de soigner les gens, d'utiliser ou pas tel ou tel traitement), constituait jusqu'à présent le maillon faible de la chaine de contrôle de l'État. Le voici à présent sous la coupe d'une administration coercitive ayant le pouvoir de faire ou de défaire indirectement une clientèle. Sous la menace constante d'une répression financière et administrative protéiforme, il y a fort à parier que la majorité des toubibs feront ce que la bureaucratie leur demandera, à savoir : « soigner » la population comme on leur dit de le faire.